Rédaction: Point de vue de Taratonga

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Mimi3

Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par Mimi3 » mar. 16 oct. 2012 18:05

Je dois faire une rédaction. Le but est que je dois me mettre dans la peau d'un personnage (Taratonga dans le texte. Titre du texte : faux-samblants). Et comme ce personnage manipule le narrateur, je dois mettre des mots qui montrent qu'elle le manipule. je dois ainsi mettre des lexiques mélioratifs ou bien péjoratifs. La rédaction doit être écrit au temps du passé (plus-que-parfait, imparfait et enfin passé simple).

Cependant, comme je suis quelqu'un qui fait énormément de fautes d'orthographes, j'aimerai bien que vous m'indiquer où sont situés ces fautes et ainsi si j'ai bien respecté la consigne.


Ma rédaction :


J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y a qu’un seul tableau qui m’a rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi ça parle…
Un matin, je me promenais vers le port et je saluais mes amis. Un bateau arriva de France rempli de personnes. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Ça m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Un homme maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les hommes français. Après des minutes en l’observant, je fus surprise parce que celui-ci me regarda puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, ce dernier commença la discussion par « un bonjour ». Puis lors de la conversation, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après avoir parlé pendant des heures, j’étais surpris car celui-ci était riche et se révélait qu’il était un peintre. En fait, l’homme français avait tout quitté ! Il avait arrêté de peindre et il n’avait plus d’argents ! Celui-ci avait tout abandonné parce qu’il était insensible à l’humanité. Pendant ce moment, je m’étais dit que l’homme français consistait à être une personne bien et avec qui je pourrais m’entendre.

Cela faisait actuellement trois mois que le français habitait sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreuse, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé par une jolie toile que j’avais peint. Mais aussi, je voulais savoir si l’homme français était vraiment sensible à l’humanité. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que ce fut le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, moi toute contente lui disait que je referais un autre dans la même journée. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrit la bouche mais ne dit rien. On dirait qu’il parlait tout seul vue qu’il me fixait des yeux et bougeait sa tête. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Par la suite, celui-ci partit. C’était la première fois que quelqu’un me lançait ce regard ! Dans l’après-midi, je lui envoyais un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je l’avais grattée car j’étais mécontente du regard qu’il m’avait lancé. En effet, en grattant le tableau, peut-être ce dernier réaliserait que je savais qu’il n’était pas sensible des qualités des êtres humains et il saurait que je le manipule. Le lendemain, il vint chez moi pour me dire un compliment sur mon gâteau. Quand ce dernier dit cela, ça me faisait ni froid ni chaud donc j’avais souris avec indulgence puis je m’étais bourrée de ma pipe juste pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse des merveilleuses idées ; lui envoyer trois gâteaux dont l’une serait non envelopper. Brusquement, ce dernier vint chez moi. On dirait qu’il allait m’agresser quand il commença à parler des toiles. Le français me posa des questions… Mais il y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surpris ! En effet sa question était si j’en avais un tas. J’avais voulu lui répondre avec sincérité puis je m’étais dit « non ! » parce que je voulais avoir la confirmation qu’il était toujours attiré par l’argent… Donc moi en faisant semblant que j’étais son ami lui dit que les toiles appartenaient à mon grand-père décédé.

Je lui emmenais voir mes toiles dans une grange. Il y en avait des douzaines ! Il les observait comme s’il était un professionnel en peinture. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En réalité, le but c’était qu’il refuse les tableaux vue qu’il avait tout quitté et qu’il était sensible à l’humanité. Mais malheureusement, il accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Une d’hypocrite et une autre de gentille ! Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusais car en le regardant bien, j’avais compris qu’il n’était pas sincère. Malgré tout, il me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaires. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu’il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce français pouvait juste comprendre que je le manipule et que mes toiles ne sont pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le gentil, il me proposa de l’argent. Puis il justifia pourquoi donner de l’argent. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Subséquemment, pendant une semaine, je n’avais aucune nouvelle du français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surprit quand il découvrirait que mes toiles sont des imitations de Gauguin !
professeur 16
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Re: Rédaction

Message par professeur 16 » mar. 16 oct. 2012 18:56

Bonsoir Mimi3,

Tout d'abord, attention au sujet : le narrateur est censé être manipulé, or dans ton texte, Taratonga manipule aussi le français... A toi de voir si cela correspond aux attentes de ton professeur.
Attention aux accords : on ne sait pas si c'est un narrateur ou une narratrice.
De même, revois un peu l'évocation de Gauguin, qui apparait subitement dans ton texte, sans explication préalable.
J'ai souligné plusieurs formules qui, acceptables (parfois...) à l'oral, ne conviennent pas à l'écrit.
Il va falloir, effectivement, corriger les fautes que j'ai soulignées, tant lexicales que grammaticales...
Enfin, la concordance des temps est bien malmenée... Tu as utilisé les temps du récit, certes, mais pas toujours à bon escient : le plus-que-parfait, par exemple, souligne une action antérieure à une autre action au passé simple, ou à l'imparfait.
Une dernière chose : bannis les "ça" au profit de "cela" !

Voilà pour ta première version. Bon courage !

Mimi3 a écrit :Je dois faire une rédaction. Le but est de me mettre dans la peau d'un personnage (Taratonga dans le texte. Titre du texte : faux-samblants). Et comme ce personnage manipule le narrateur, je dois mettre des mots qui montrent qu'elle le manipule. je dois ainsi mettre des lexiques mélioratifs ou bien péjoratifs. La rédaction doit être écrit au temps du passé (plus-que-parfait, imparfait et enfin passé simple).

Cependant, comme je suis quelqu'un qui fait énormément de fautes d'orthographes, j'aimerai bien que vous m'indiquer où sont situés ces fautes et ainsi si j'ai bien respecté la consigne.


Ma rédaction :


J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y a qu’un seul tableau qui m’a rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi ça parle…
Un matin, je me promenais vers le port et je saluais mes amis. Un bateau arriva de France rempli de personnes. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Ça m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Un homme maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les hommes français. Après des minutes en l’observant, je fus surprise parce que celui-ci me regarda puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, ce dernier commença la discussion par un "bonjour". Puis lors de la conversation, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après avoir parlé pendant des heures, j’étais surpris car celui-ci était riche et se révélait être un peintre. En fait, l’homme français avait tout quitté ! Il avait arrêté de peindre et il n’avait plus d’argents ! Celui-ci avait tout abandonné parce qu’il était insensible à l’humanité. Pendant ce moment, je m’étais dit que l’homme français semblait être une personne bien et avec qui je pourrais m’entendre.

Cela faisait actuellement trois mois que le français habitait sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreuse, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé par une jolie toile que j’avais peint. Mais aussi, je voulais savoir si l’homme français était vraiment sensible à l’humanité. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que ce fut le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, moi toute contente lui disait que je referais un autre dans la même journée. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrit la bouche mais ne dit rien. On dirait qu’il parlait tout seul vue qu’il me fixait des yeux et bougeait sa tête. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Par la suite, celui-ci partit. C’était la première fois que quelqu’un me lançait ce regard ! Dans l’après-midi, je lui envoyais un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je l’avais grattée car j’étais mécontente du regard qu’il m’avait lancé. En effet, en grattant le tableau, peut-être ce dernier réaliserait que je savais qu’il n’était pas sensible des qualités des êtres humains et il saurait que je le manipule. Le lendemain, il vint chez moi pour me dire un compliment sur mon gâteau. Quand ce dernier dit cela, ça ne me faisait ni froid ni chaud donc j’avais souris avec indulgence puis je m’étais bourrée de ma pipe juste pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse des merveilleuses idées ; lui envoyer trois gâteaux dont l’une serait non envelopper. Brusquement, ce dernier vint chez moi. On dirait qu’il allait m’agresser quand il commença à parler des toiles. Le français me posa des questions… Mais il n'y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surpris ! En effet sa question était si j’en avais un tas. J’avais voulu lui répondre avec sincérité puis je m’étais dit « non ! » parce que je voulais avoir la confirmation qu’il était toujours attiré par l’argent… Donc moi en faisant semblant que j’étais son ami lui dit que les toiles appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenais voir mes toiles dans une grange. Il y en avait des douzaines ! Il les observait comme s’il était un professionnel en peinture. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En réalité, le but c’était qu’il refuse les tableaux vue qu’il avait tout quitté et qu’il était sensible à l’humanité. Mais malheureusement, il accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Une d’hypocrite et une autre de gentille ! Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusais car en le regardant bien, j’avais compris qu’il n’était pas sincère. Malgré tout, il me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaires. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu’il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce français pouvait juste comprendre que je le manipule et que mes toiles ne sont pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le gentil, il me proposa de l’argent. Puis il justifia pourquoi donner de l’argent. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Subséquemment, pendant une semaine, je n’avais aucune nouvelle du français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surprit quand il découvrirait que mes toiles sont des imitations de Gauguin !
Mimi3

Re: Rédaction

Message par Mimi3 » mar. 16 oct. 2012 19:21

En fait,je me suis mise dans la peau de Taratonga donc elle, elle devient le narateur de cette rédaction. C'est pour cela que je mets "e" à la fin de certains mots et verbes. Je voudrai savoir si il y a trop de répétitions dans la rédaction s'il vous plaît.

Merci en avance d'avoir répondu.
PS: On a pas étudié le plus-que-parfait c'est pour ça que je l'utilise n'importe comment.

Correction :

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y a qu’un seul tableau qui m’a rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi ça parle…
Un matin, je me promenais vers le port et je saluais mes amis. Un bateau arriva de France rempli de personnes. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Ça m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Un homme maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les hommes français. Après des minutes en l’observant, je fus surprise parce que celui-ci me regarda puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, ce dernier commença la discussion par un "bonjour". Puis lors de la conversation, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après avoir parlé pendant des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un peintre. En fait, l’homme français avait tout quitté ! Il avait arrêté de peindre et il n’avait plus d'argent ! Celui-ci avait tout abandonné parce qu’il était insensible à l’humanité. Pendant ce moment, je m’étais dit que l’homme français semblait être une personne bien et avec qui je pourrais m’entendre.

Cela faisait actuellement trois mois que le français habitait sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreuse, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé par une jolie toile que j’avais peinds. Mais aussi, je voulais savoir si l’homme français était vraiment sensible à l’humanité. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis comme j'étais contente, je lui disait que je referais un autre dans la même journée. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrit la bouche mais ne dit rien. On dirait qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et bougeait sa tête. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Par la suite, celui-ci partit. C’était la première fois que quelqu’un me lançait ce regard ! Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je l’avais grattée car j’étais mécontente du regard qu’il m’avait lancé. En effet, en grattant le tableau, peut-être ce dernier réaliserait que je savais qu’il n’était pas insensible à aux qualités des êtres humains et il saurait que je le manipule. Le lendemain, il vint chez moi pour me dire un compliment sur mon gâteau. Quand ce dernier dit cela, ça ne m'avait fait ni chaud ni froid donc je souriais avec indulgence puis je me bourrai de ma pipe. juste pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l'un serait non enveloppé. Brusquement, ce dernier vint chez moi. On avait dit qu’il allait m’agresser quand il commença à parler des toiles. Le français me posa des questions… Mais il n'y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surpris ! En effet, il posa une question en bagayant : "Tout... Un tas ?"
Je voulais lui répondre avec sincérité puis me dit "non !" parce que je voulais avoir la confirmation qu’il était toujours attiré par l’argent… Donc moi en faisant semblant que j’étais son amie lui dit que les toiles appartenaient à mon grand-père décédé.
Je l'emmenai voir mes toiles dans une grange. Il y en avait des douzaines ! Il les observait comme s’il était un professionnel en peinture. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En réalité, le but c’était qu’il refuse les tableaux car il avait tout quitté et il était sensible aux qualités que peuvent apporter les être humains. Mais malheureusement, il accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Un d'hypocrite et un autre de gentil ! Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il n’était pas sincère. Malgré tout, il me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaires. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu’il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce français pouvait juste comprendre que je le manipule et que mes toiles ne sont pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le gentil, il me proposa de l’argent. Puis ce dernier expliqua pourquoi il m'avait donner son argent. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Subséquemment, pendant une semaine, je n'eus aucune nouvelle du français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surpri quand il découvrirait que mes toiles étaient des imitations de Gauguin !
professeur 13
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Re: Rédaction

Message par professeur 13 » mar. 16 oct. 2012 21:19

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y a qu’un seul tableau qui m’a rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi ça parle…
Un matin, je me promenais vers le port et je saluais mes amis. Un bateau arriva de France rempli de personnes. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Ça m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Un homme maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les hommes français. Après des minutes en l’observant, je fus surprise parce que celui-ci me regarda puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, ce dernier commença la discussion par un "bonjour". Puis lors de la conversation, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après avoir parlé pendant des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un peintre. En fait, l’homme français avait tout quitté ! Il avait arrêté de peindre et il n’avait plus d'argent ! Celui-ci avait tout abandonné parce qu’il était insensible à l’humanité. Pendant ce moment, je m’étais dit que l’homme français semblait être une personne bien et avec qui je pourrais m’entendre.

Cela faisait actuellement trois mois que le Français habitait sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreux, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé par une jolie toile que j’avais peinds. Mais aussi, je voulais savoir si l’homme français était vraiment sensible à l’humanité. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis comme j'étais contente, je lui disait que je referais un autre dans la même journée. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrit la bouche mais ne dit rien. On dirait qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et bougeait sa tête. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Par la suite, celui-ci partit. C’était la première fois que quelqu’un me lançait ce regard ! Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je l’avais grattée car j’étais mécontente du regard qu’il m’avait lancé. En effet, en grattant le tableau, peut-être ce dernier réaliserait que je savais qu’il n’était pas insensible à aux qualités des êtres humains et il saurait que je le manipule. Le lendemain, il vint chez moi pour me dire un compliment sur mon gâteau. Quand ce dernier dit cela, ça ne m'avait fait ni chaud ni froid donc je souriais avec indulgence puis je me bourrai de ma pipe. juste pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l'un serait non enveloppé. Brusquement, ce dernier vint chez moi. On avait dit qu’il allait m’agresser quand il commença à parler des toiles. Le français me posa des questions… Mais il n'y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surpris ! En effet, il posa une question en bagayant : "Tout... Un tas ?"
Je voulais lui répondre avec sincérité puis me dit "non !" parce que je voulais avoir la confirmation qu’il était toujours attiré par l’argent… Donc moi en faisant semblant que j’étais son amie lui dit que les toiles appartenaient à mon grand-père décédé.
Je l'emmenai voir mes toiles dans une grange. Il y en avait des douzaines ! Il les observait comme s’il était un professionnel en peinture. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En réalité, le but c’était qu’il refuse les tableaux car il avait tout quitté et il était sensible aux qualités que peuvent apporter les être humains. Mais malheureusement, il accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Un d'hypocrite et un autre de gentil ! Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il n’était pas sincère. Malgré tout, il me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaires. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu’il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce français pouvait juste comprendre que je le manipule et que mes toiles ne sont pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le gentil, il me proposa de l’argent. Puis ce dernier expliqua pourquoi il m'avait donner son argent. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Subséquemment, pendant une semaine, je n'eus aucune nouvelle du français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surpri quand il découvrirait que mes toiles étaient des imitations de Gauguin !

J'ai mis en gras les fautes de langue, d'orthographe et les familiarités. J'ai souligné certaines répétitions : "l'homme", "ce dernier", "il y avait"...
Il faudrait alléger la syntaxe, trop souvent lourde, qui nuit à la clarté de ton travail.
Pourrais-tu nous donner les consignes transmises par le professeur ? Nous verrions mieux si tu es dans le sujet.
Comme l'a écrit le professeur 16, la manipulation n'apparaît pas assez clairement.
Tu as des idées, mais il faut mieux les mettre en valeur, ce qui passe par une amélioration de la langue écrite.

A bientôt.
Mimi3

Re: Rédaction

Message par Mimi3 » mar. 16 oct. 2012 21:42

.La consigne : Taratonga raconte sa rencontre avec le narrateur. Vous écrivez ce récit en insérant une brève description physique et en tenant compte des remarques faites en cours sur les perosnnages.

--> Votre récit sera écrit aux temps du passé 'Passé simple, imparfait, plus-que-parfait", à la 1ère personne du singulier.
--> Vous pourrez inventer un court dialogue si vous le souhaitez.
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Le problème c'est que je ne sais pas comment faire l'effet de manipulation.

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Correction :

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’a rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi ça parle…

Un matin, je me promenais vers le port et je saluais mes amis. Un bateau arriva de France remplis de français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Un celui-ci était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir voir les masculins français. Après des minutes en l’observant, je fus surprise parce que celui-ci me regarda puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, ce dernier commença la discussion par « un bonjour ». Puis lors de la conversation, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après avoir parlé pendant des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait d'être un artiste. En fait, l’homme français avait tout quitté ! Il avait arrêté de faire ses travaux d'artistes et il n’avait plus d’argent ! Celui-ci avait tout abandonné parce qu’il était sensible aux qualités de l’humanité. A cet instant, je m’étais dit que l’homme français consistait à être une personne bien et avec qui je pourrais m’entendre.

Trois mois passés que l'homme habitait sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreuse, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé par une jolie toile que j’avais peins. Mais aussi, je voulais savoir si celui-là était vraiment sensible à l’humanité. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je referais un autre dans la même journée. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrit la bouche mais ne dit rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Par la suite, il partit. C’était la première fois que quelqu’un me lançait ce regard ! Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je l’avais grattée car j’étais mécontente du regard que ce dernier m’avait lancé. En effet, en grattant le tableau, peut-être ce dernier réaliserait que je savais qu’il n’était pas sensible des qualités des êtres humains. Le lendemain, celui-ci vint chez moi pour me dire un compliment sur mon gâteau. Quand ce dernier dit cela, cela me fit ni froid ni chaud donc je souriais avec indulgence puis je continuais à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Brusquement, ce dernier vint chez moi. J'avais crus qu’il allait m’agresser quand ce dernier commença à parler des toiles. Le français me posa des questions… Mais il y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surprit ! En effet, celui-ci me posa une question en bégayant :  « Tout... un tas ? » Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais avoir la confirmation qu’il était toujours attiré par l’argent… Donc moi en le faisant croire que j’étais son amie lui dit que les toiles appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir mes douzaines de toiles dans une grange. Celui-ci les observait comme s’il était un professionnel en peinture. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En réalité, le but c’était qu’il refuse les tableaux vu que ce dernier avait tout quitté et qu’il était sensible aux qualités que peuvent apporter l’humanité. Mais malheureusement, l'homme français accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Un d’hypocrite et un autre de gentil ! Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il n’était pas sincère. Malgré tout, celui-ci me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaires. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps que celui-là voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce français pouvait juste comprendre que je le manipule et que mes toiles ne sont pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le gentil, il me proposa de l’argent. Puis il m'expliqua pourquoi il m'avait donner de l’argent. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Subséquemment, pendant une semaine, je n’avais aucune nouvelle du français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surpris quand il découvrirait que mes toiles étaient des imitations de Gauguin !
Mimi3

Re: Rédaction

Message par Mimi3 » mar. 16 oct. 2012 22:20

Je suis désolée de répondre si vite mais voilà, j'ai corrigé et je pense que on peut voir clairement la manipulation (enfin je pense).

Donc voilà ma correction :

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’a rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi ça parle…

Un matin, je me promenais vers le port et je saluais mes amis. Un bateau arriva de France remplis de français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Celui-ci était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir voir les masculins français. Après des minutes en l’observant, je fus surprise parce que celui-ci me regarda puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, ce dernier commença la discussion par « un bonjour ». Puis lors de la conversation, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après avoir parlé pendant des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait d'être un artiste. En fait, l’homme français avait tout quitté ! Il avait arrêté de faire ses travaux d'artistes et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur cette île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il était sensible aux qualités de l’humanité. A cet instant, je m’étais dit que l’homme français consistait à être une personne bien et avec qui je pourrais m’entendre.

Trois mois passés que l'homme habitait sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreuse, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé par une jolie toile que j’avais peins. Mais aussi, je voulais savoir si celui-là était vraiment sensible à l’humanité. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je referais un autre dans la même journée. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrit la bouche mais ne dit rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Par la suite, il partit. C’était la première fois que quelqu’un me lançait ce regard ! Je m'étais dit avec férocité : «  Il fait semblant d'être mon ami alors qu'il vient de me jeter un regard de sauvage ! Il va voir comment je vais le manipuler »
Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin.
Pourquoi celui de Gauguin ?
Tout simplement, je voulais le manipuler pour qu'il pensait que les toiles étaient celles de Gauguin. Ensuite, je l’avais grattée parce que je voulais lui montrer que j'étais énervée et en même temps, je m'étais dit qu'en grattant le tableau, peut-être ce dernier se posera des questions comme « Pourquoi gratté une si belle et coûteuse toile ? » Le lendemain, celui-ci vint chez moi pour me dire un compliment sur mon gâteau. Quand ce dernier dit cela, ceci me fit ni froid ni chaud donc je souriais avec indulgence puis je continuais à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, ce dernier vint chez moi. J'avais crus qu’il allait m’agresser quand il commença à parler des toiles. Le français me posa des questions… Mais il y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surprit ! En effet, celui-ci me posa une question en bégayant :  « Tout... un tas ? »
Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc en le faisant croire que j’étais son amie, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir ces douzaines de toiles dans une grange. Celui-ci les observait comme s’il était un professionnel en peinture. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En réalité, le but c’était qu’il refuse les tableaux vu que ce dernier avait tout quitté et qu’il était sensible aux qualités que peuvent apporter l’humanité. En tout cas, si j'avais dis cela à quelqu'un, je n'aurais jamais accepté ! Mais malheureusement, l'homme français accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Un d’hypocrite et un autre de gentil comme moi maintenant. Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant d'un très bon œil, j’avais compris qu’il n’était pas sincère. Malgré tout, il me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaires. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps que celui-là voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce français pouvait juste comprendre que je le manipule et que mes toiles ne sont pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le gentil, il me proposa de l’argent. Puis il m'expliqua pourquoi il me l'offriait. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Subséquemment, pendant une semaine, je n’avais aucune nouvelle du français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulée en disant que les toiles étaient celui de Gauguin !
professeur 14
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Re: Rédaction

Message par professeur 14 » mer. 17 oct. 2012 09:58

Bonjour,

Nous te remercions de tenir compte des remarques des professeurs 16 et 13. Tu trouveras nos remarques soulignées sur ton travail.

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’a rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi ça CELA parle…

Un matin(Indice de temps précis, donc les deux verbes d'action qui suivent sont au passé simple)., je me promenais vers le port et je saluais mes amis. Un bateau arriva de France remplis de français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Celui-ci (Il)était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir voir les masculins (a REECRIRE, MALADROIT)français. Après des minutes en l’observant (d'observation), je fus surprise(la narratrice est-elle au genre féminin?) parce que celui-ci me regarda(imparfait d'explication) puis il vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, ce dernier commença la discussion par « un bonjour » (A réduire : Il me dit "bonjour".). Puis lors de la conversation (inutile), il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après avoir parlé pendant des heures, (NON, ce n'est pas le narrateur qui parle beaucoup; préfère: L'inconnu me parla pendant des heures.) j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait d' ( se révéler être quelqu'un, pas de préposition "de"; à l'avenir, vérifie dans le DICTIONNAIRE, regarde les exemples que donne le dictionnaire) être un artiste. En fait, l’homme français (Préfère: le Français (les noms communs de nationalité ont une majuscule)) avait tout quitté ! Il avait arrêté de faire ses travaux d'artistes (pratiquer son art)et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur cette île (mon île? c'est celle du narrateur) ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il était sensible aux qualités de l’humanité. A cet instant, je m’étais dit que l’homme français consistait à être une personne bien et avec (A REECRIRE; conseil: évite les répétitions et écris des phrases brèves pour éliminer les lourdeurs) qui je pourrais m’entendre.

Trois mois passés que l'homme habitait sur mon île. (Trois mois passèrent.) Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreuse ( à écrire au masculin, accord avec "quelqu'un"), je lui offris un gâteau aux noix (Vraiment? ou noix de coco?) enveloppé par( erreur de préposition; pas "par" mais "dans") une jolie toile que j’avais peins (attention, problème de participe passé employé avec l'auxiliaire avoir, regarde dans ton manuel ou tes cours). Mais aussi, (manque de lgogique, à supprimer)je voulais savoir si celui-là (le nouvel habitant de l'île) était vraiment sensible à l’humanité. (généreux? à reformuler)
Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Comme j'étais contente, je lui dis que je referais un autre dans la même journée (je lui en referai un autre le jour même. IDEE SURPRENANTE). En le regardant bien, je vis qu'il ouvrit (imparfait) la bouche mais ne dit (imparfait) rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Par la suite, INUTILEil partit. IL VAUDRAIT MIEUX LE FAIRE PARTIR, PUIS EVOQUER LA REACTION DU NARRATEUR.C’était la première fois que quelqu’un me lançait ce regard ! Je m'étais dit (au passé simple) avec férocité : «  Il fait semblant d'être mon ami alors qu'il vient de me jeter un regard de sauvage ! Il va voir comment je vais le manipuler. » (venger plutôt que "manipuler)
Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. IL FALLAIT PARLER DE GAUGUIN AVANT.
Pourquoi celui (problème d'accord) de Gauguin ?
Tout simplement, je voulais le manipuler pour qu'il pense que les toiles étaient celles de Gauguin. POURQUOI, QUE FERAIT-IL ALORS? Ensuite, je l’ (NON, confus: dis que c'est ta toile) avais grattée parce que je voulais lui montrer que j'étais énervée; en plus, je m'étais dit qu'en grattant le tableau, peut-être ce dernier se posera (A REECRIRE: erreur de temps et de syntaxe) des questions comme « Pourquoi gratté une si belle et coûteuse toile ? »
Le lendemain, celui-ci (Attention, varie les reprises pronominales et nominale) vint chez moi pour me dire (faire ) un compliment sur mon gâteau. Quand ce dernier dit cela,INUTILE LONGUEUR. ceci (Cela) ne me fit ni froid ni chaud (expression: faire ni chaud ni froid) donc je souriais avec indulgence puis je continuais à (les deux verbes devraient être au passé simple) fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, ce dernier ( emploie un groupe nominal) vint chez moi. J'avais crus (à l'imparfait) qu’il allait m’agresser quand il commença à parler des toiles. Le françaisINUTILE me posa des questions sur les toiles… Mais il y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surprit ! En effet, celui-ci me posa JE NE COMPRENDS PAS. une question en bégayant :  « Tout... un tas ? »
Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc en le(mauvais pronom: lui) faisant croire que j’étais son amie, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir ces douzaines de toiles dans une grange. Celui-ci l (Répétition; il aurait été bon de dire dès la présentation du Français qu'il était amateur d'art ou antiquaire, ou peintre... ) les observait comme s’il était un professionnel en peinture. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En réalité, le but c’était qu’il refuse les tableaux vu que ce dernier avait tout quitté et qu’il était sensible aux qualités que peuvent apporter l’humanité. BIEN COMPLIQUE, a REFORMULER;il aurait fallu l'écrire avant. En tout cas, si j'avais dis (participe passé) cela à quelqu'un, moi, je n'aurais jamais accepté un tel don!
Mais malheureusement, l'homme français (maladroit, choisi une expression qui le définisse plus précisément comme par exemple "mon amateur de gâteaux")accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Un d’hypocrite et un autre de gentil comme moi maintenant. INUTILE: il s'agit plutôt du masque de la cupidité et de celui de la frugalité: être riche ne veut pas dire être méchant) Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant d'un très bon œil, j’avais compris qu’il n’était pas sincère. (Je ne comprends pas cette fin d e phrase) Malgré tout, (Ne convient pas, mauvais enchaînement) il me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaires. ( A REECRIRE, mauvais emploi d'"humanitaires") Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps que celui-là (NON: qu'il) voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce français pouvait juste comprendre que je le manipule et que mes toiles ne sont pas celles de Gauguin (attention à la consigne: écrire aux temps du passé; INUTILE de dire cela, il faut simplement que le narrateur le lui dise au moment du départ)! Ensuite, en faisant le gentil, (NON, pas le gentil mais "le généreux") il me proposa de l’argent. Puis il m'expliqua pourquoi il me l'offrait (EXPLICATION A DONNER°. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Subséquemment, iNUTILE pendant une semaine, je n’avais (erreur de temps, passé simple) aucune nouvelle du français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulée (problème d'accord du participe passé) en disant que les toiles étaient celui (accord en genre et en nombre avec "toiles)de Gauguin !

Attention, écrire une manipulation ne veut pas dire répéter le verbe "manipuler", varie le vacabulaire et les pronoms.
Prends le temps de bien lire les recommandations. Bon courage.
A bientôt sur ce forum.
Mimi3

Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par Mimi3 » mer. 17 oct. 2012 14:56

Bonjour, madame, monsieur,

J'ai pris en compte tous les commentaires que vous m'avez inscrit et j'ai corrigé tout ce qu'il n'allait pas. Cependant, j'aimerai savoir si la manipulation est visible. Et aussi, est-ce que j'ai bien respecté la consigne que mon professeur m'a donné.

PS: Le narrateur est une narratrice.

Merci d'avoir répondu et corrigé ma rédaction.
Je vous souhaite une agréable journée.

Correction :

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’avait rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi cela parle…

Un matin, je me promenai vers le port et je saluai mes amis. Un bateau arriva de France remplis de français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Il était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les masculins français. Après des minutes en d'observation, je fus surprise parce que celui-ci me regardait puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, il dit : « bonjour ». Puis, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après que l'homme m'avait parlé pendant des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un artiste. En fait, le Français avait tout quitté ! Il avait arrêté de pratiquer son art et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur mon île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il était sensible aux qualités de l’humanité. A cet instant, je m’étais dit que l’homme pouvait être quelqu'un de bien et je pourrais m’entendre avec lui.

Trois mois passèrent, l'homme habitait toujours sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreux, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé dans une jolie toile que j’avais peint. Ce tableau avait l'air d'être celui du célèbre artiste, Gauguin. Cependant, je voulais savoir un peu plus sur lui juste en observant ses gestes. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je lui en referais un autre le jour même. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrait la bouche mais ne disait rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Après il partit. J'avais l'impression d'être un monstre ! Je dis avec férocité : «  Il fait semblant d'être sensible à l'humanité alors qu'il vient de me jeter un regard de sauvage ! Il va voir comment je vais le venger » Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Pourquoi celle de Gauguin ? Tout simplement, je voulais le manipuler pour qu'il pensait que les toiles étaient celles de Gauguin parce que peut-être il voudrait les prendre pour les vendre. Ensuite, j'avais gratté car en effet, je voulais lui montrer que j'étais énervée et en même temps, je m'étais dit qu'en grattant le tableau, peut-être ce dernier se posera des questions comme « Pourquoi gratté une si belle et coûteuse toile ? » Le lendemain, il vint chez moi pour me faire un compliment sur mon gâteau. Ce compliment, ne me fit ni chaud ni froid donc je souriai avec indulgence puis je continuai à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, l'homme Français vint chez moi. Je croyais qu’il allait m’agresser. Il me posa des questions… Mais il y en avait qu’une question qui m’avait beaucoup surprit ! C'était celle-là : « Tout... un tas ? » Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc en lui faisant croire cela, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir ces douzaines de toiles dans une grange. Il les observait comme s’il était un professionnel en peinture. On aurait cru que c'était un amateur d'art. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En tout cas, si j'avais dit cela à quelqu'un, je n'aurais jamais accepté un tel don ! Mais malheureusement, mon amateur de gâteau accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Un d’hypocrite et un autre de gentil. Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il ne voulais pas me la donner. Cependant, le français amateur me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaire. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu'il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce Français pouvait juste comprendre que je le manipulais et que mes toiles n'étaient pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le généreux, il me proposa de l’argent. Puis il m'expliqua pourquoi il me l’offrirait. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.
Pendant une semaine, je n’eus aucune nouvelle du Français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulée en disant que les toiles étaient celles de Gauguin !
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Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par professeur 14 » mer. 17 oct. 2012 16:21

Bonjour,

La manipulation serait plus visible si tu précisais assez tôt dans ta rédaction que la narratrice veut faire passer ses toiles pour celles d'un peintre célèbre, afin que le Français quitte l'île et aille les vendre. La narratrice ne cherche pas à se faire de l'argent mais elle cherche à montrer que l'hôte de passage sur l'île n'est pas si désintéressé qu'il le prétend, mais quelle est la satisfaction qu'elle peut en tirer (à part le fait de se sentir supérieure à lui)? Le comportement de la narratrice qui manipule n'est pas "gentil" comme tu l'écris dans ton texte; elle se venge bien vite pour un simple regard.

Relis bien le début de ta rédaction.
Puis revois la fin comme suit, sachant que je ne reporte pas toutes les remarques déjà portées sur ton texte et que dont tu n'as pas encore réussi à tenir compte
:
Après que l'homme m'avait parlé pendant des heures, ATTENTION A L'AIDE DEJA APPORTEE: NON, "Lh'omme me parla pendant des heures.".j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un artiste. En fait, le Français avait tout quitté ! Il avait arrêté de pratiquer son art et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur mon île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il était sensible aux qualités de l’humanité.DONNE DES PRECISIONS (Qu'est-ce que cela veut dire au juste?) A cet instant, je m’étais dit que l’homme pouvait être quelqu'un de bien et je pourrais m’entendre avec lui.

Trois mois passèrent, l'homme habitait toujours sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreux, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé dans une jolie toile que j’avais peint.REVOIS VRAIMENT LES ACCORDS DU PARTICIPE PASSE AVEC AVOIR. Ce tableau avait l'air d'être celui du célèbre artiste, Gauguin. Cependant, jNON, A SUPPRIMER.e voulais savoir (je voulais EN savoir) un peu plus sur lui juste en observant ses gestes. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le français.ATTENTION? J'AI DEJA APPORTE UNE PRECISION POUR LES NOMS DE NATIONALITE. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je lui en referais un autre le jour même. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrait la bouche mais ne disait rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant deux minutes. Après il partit (ajoute: sans explication. PROBLEME DE COMPREHENSION? POURQUOI CE COMPORTEMENT, IL NE FAIT PAS ALLUSION A LA PEINTURE ALORS QU'IL ETAIT PEINTRE) . J'avais l'impression d'être un monstre ! Je me (à ajouter) dis avec férocité : « Il fait semblant d'être sensible à l'humanité alors qu'il vient de me jeter un regard de sauvage ! Il va voir comment je vais le venger » Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Pourquoi celle de Gauguin ? Tout simplement, je voulais le manipuler pour qu'il pensait que les toiles étaient celles de Gauguin parce que peut-être (déplacer "peut-être" et le placer après "il voudrait") il voudrait les prendre pour les vendre. Ensuite, j'avais gratté car en effet, je voulais lui montrer que j'étais énervée et en même temps, je m'étais dit qu'en grattant le tableau, peut-être ce dernier se posera des questions comme « Pourquoi gratté une si belle et coûteuse toile ? » Le lendemain, il vint chez moi pour me faire un compliment sur mon gâteau. Ce compliment, ne me fit ni chaud ni froid donc je souriai avec indulgence puis je continuai à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, l'homme Français vint chez moi. Je croyais qu’il allait m’agresser. Il me posa des questions… Mais il y en avait qu’une question qui m’avait beaucoup surprit ! C'était celle-là : « Tout... un tas ? » Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc en lui faisant croire cela, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir ces douzaines de toiles dans une grange. Il les observait comme s’il était un professionnel en peinture (en connaissaur, puisqu'il avait été peintre avant) . On aurait cru que c'était un amateur d'art. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. En tout cas, si j'avais dit cela à quelqu'un, je n'aurais jamais accepté un tel don ! Mais malheureusement, mon amateur de gâteau accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques. Un d’hypocrite et un autre de gentil. NON, REVOIS LES CORRECTIONS PRECEDENTES. Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il ne voulais pas me la donner. Cependant, le français amateur me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaire. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu'il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre ! Mais si seulement ce Français pouvait juste comprendre que je le manipulais et que mes toiles n'étaient pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le généreux, il me proposa de l’argent. Puis il m'expliqua pourquoi il me l’offrirait. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.
Pendant une semaine (Ce qui signifie qu'une semaine plus tard la narratrice sut ce qu'il était devenu), je n’eus aucune nouvelle du Français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’est qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulée (NOUVEAU Problème d'accord du participe passé avec AVOIR) en disant que les toiles étaient celles de Gauguin !
Mimi3



J'espère avoir répondu clairement à ta question.
Bon courage.
A bientôt sur ce forum.
Mimi3

Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par Mimi3 » mer. 17 oct. 2012 16:59

Madame ou monsieur, je ne comprends pas pourquoi "un d'hypocrite et un autre de gentil" n'est pas correct.

Voici la correction

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’avait rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi cela parle…

Un matin, je me promenai vers le port et je saluai mes amis. Un bateau arriva de France remplis de français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Il était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les masculins français. Après des minutes d'observation, je fus surprise parce que celui-ci me regardait puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, il dit : « bonjour ». Puis, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après que l'homme m'avait parlé pendant des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un artiste. En fait, le Français avait tout quitté ! Il avait arrêté de pratiquer son art et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur mon île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il était sensible aux qualités de l’humanité. A cet instant, je m’étais dit que l’homme pouvait être quelqu'un de bien et je pourrais m’entendre avec lui.

Trois mois passèrent, l'homme habitait toujours sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreux, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé dans une jolie toile que j’avais peint. Ce tableau avait l'air d'être celui du célèbre artiste, Gauguin. Je lui donnai cette toile parce que je voulais lui faire croire que ces toiles étaient celles de du célèbre artiste. De plus, je voulais savoir un peu plus sur lui en observant ses gestes. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le Français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je lui en referais un autre le jour même. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrait la bouche mais ne disait rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant des minutes. Après il partit. J'avais l'impression d'être un monstre ! Mais, il y avait quelque chose d'étrange chez lui... Je le savais puisqu'il transpirait ainsi. Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Pourquoi celle de Gauguin ? Tout simplement, je voulais le manipuler pour qu'il pensait que les toiles étaient celles de Gauguin parce que peut-être il voudrait les prendre pour les vendre. Ensuite, je l'avais grattée car en effet, je voulais qu'il parlait des toiles et qu'il s'en aille. Le lendemain, il vint chez moi pour me faire un compliment sur mon gâteau. Ce compliment, ne me fit ni chaud ni froid donc je souriai avec indulgence puis je continuai à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, l'homme Français vint chez moi. Je croyais qu’il allait m’agresser. Il me posa des questions… Mais il y en avait qu’une question qui m’avait beaucoup surprit ! C'était celle-là : « Tout... un tas ? » Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc en lui faisant croire cela, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé. En réalité, le but c’était qu’il refusait les tableaux vu que ce dernier avait tout quitté et qu’il affirmait auparavant d'être sensible à l'humanité.
Je l'emmenai voir mes douzaines de toiles dans une grange. Il les observait comme s’il était un professionnel en peinture. On aurait cru que c'était un amateur d'art. J’avais décidé de lui offrir mes tableaux. Pourquoi tout ? Parce que j'avais qu'une seule hâte, de le voir partir ! Personnellement, si j'avais dit à quelqu'un que j'étais sensible à l'humanité auparavant, je n'aurais jamais accepté un tel don ! Mais malheureusement, ''mon amateur de gâteau '' accepta ! C’était la preuve qu’il avait deux masques ; un d’hypocrite et un autre de gentil. Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il ne voulais pas me la donner. Cependant, le ''Français amateur'' me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaire. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu'il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre (ce que je voulais !). Mais si seulement ce Français pouvait juste comprendre que je le manipulais et que mes toiles n'étaient pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le généreux, il me proposa de l’argent. Puis il m'expliqua pourquoi il me l’offrirait. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Pendant une semaine, je n’eus aucune nouvelle du Français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’était qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulée en disant que les toiles étaient celles de Gauguin !
Verrouillé