Si c'est un homme (Primo Levi)
Modérateur : moderateur
Si c'est un homme (Primo Levi)
Bonsoir sos français,
Pourrais-je avoir de l'aide sur mes questions de français svp ?
Mes questions sont sur Si c'est un homme de Primo Levi
Edition: Pocket
Il faut répondre aux questions en s'aidant de la page 17 à la page 21 du livre.
Les voici :
1) quels passages marquent la déshumanisation des déportés ?
2) quelles transformations subissent-ils ?
3) Voyage : quel est son parcours géographique ?
4) Voyage : quel est sont parcours symbolique ?
Pour les questions 3 et 4, s'intéresser aux noms de lieux ou à leur absence.
Pouvez-vous m'aider s'il vous plaît ?
Merci d'avance.
A bientôt.
Elodie
Pourrais-je avoir de l'aide sur mes questions de français svp ?
Mes questions sont sur Si c'est un homme de Primo Levi
Edition: Pocket
Il faut répondre aux questions en s'aidant de la page 17 à la page 21 du livre.
Les voici :
1) quels passages marquent la déshumanisation des déportés ?
2) quelles transformations subissent-ils ?
3) Voyage : quel est son parcours géographique ?
4) Voyage : quel est sont parcours symbolique ?
Pour les questions 3 et 4, s'intéresser aux noms de lieux ou à leur absence.
Pouvez-vous m'aider s'il vous plaît ?
Merci d'avance.
A bientôt.
Elodie
Si c'est un homme (Primo Levi)
Bonjour Elodie,
Je te conseille de lire la charte d'utilisation du site : tu y verras qu'en aucun cas les professeurs de Sos Français ne font le travail à la place des élèves ! Si tu veux que nous t'aidions, tu dois nous proposer un premier travail, même imparfait. Cela te permettra d'ailleurs de mieux cibler tes difficultés, tu verras mieux ce qui te gêne. Je suis sûre que tu peux répondre à certaines des questions posées. Relis ton texte, reprends les questions, propose un premier jet et nous t'aiderons à l'améliorer.
Pa ailleurs, pourras-tu veiller à utiliser les majuscules correctement dans tes messages (j'ai dû en ajouter presque partout avant de publier ta question !). Et pourrais-tu également scanner ton texte pour les professeurs qui n'en disposeraient pas ? Merci !
Bon courage pour ton premier travail.
Je te conseille de lire la charte d'utilisation du site : tu y verras qu'en aucun cas les professeurs de Sos Français ne font le travail à la place des élèves ! Si tu veux que nous t'aidions, tu dois nous proposer un premier travail, même imparfait. Cela te permettra d'ailleurs de mieux cibler tes difficultés, tu verras mieux ce qui te gêne. Je suis sûre que tu peux répondre à certaines des questions posées. Relis ton texte, reprends les questions, propose un premier jet et nous t'aiderons à l'améliorer.
Pa ailleurs, pourras-tu veiller à utiliser les majuscules correctement dans tes messages (j'ai dû en ajouter presque partout avant de publier ta question !). Et pourrais-tu également scanner ton texte pour les professeurs qui n'en disposeraient pas ? Merci !
Bon courage pour ton premier travail.
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Bonjour SOS français,
1) quels passages marquent la déshumanisation des déportés ?
2) quelles transformations subissent-ils ?
3) Voyage : quel est son parcours géographique ?
4) Voyage : quel est son parcours symbolique ?
Pour les questions 3 et 4, s'intéresser aux noms de lieux ou à leur absence.
Monsieur pouvez-vous m’expliquer les questions pour que moi après je puisse vous donner mes réponses car là je n’ai pas compris les questions.
Merci de votre aide
A bientôt
1) quels passages marquent la déshumanisation des déportés ?
2) quelles transformations subissent-ils ?
3) Voyage : quel est son parcours géographique ?
4) Voyage : quel est son parcours symbolique ?
Pour les questions 3 et 4, s'intéresser aux noms de lieux ou à leur absence.
Monsieur pouvez-vous m’expliquer les questions pour que moi après je puisse vous donner mes réponses car là je n’ai pas compris les questions.
Merci de votre aide
A bientôt
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Elodie,
1) Tu dois trouver des moments dans le texte qui montrent que les personnages cessent d'être des hommes, de se comporter en êtres humains. Regarde bien ce qu'ils font, comment ils agissent, ce qu'ils disent, ce qu'ils pensent.
2) Examine comment ils sont au début et compare-le à ce qu'ils sont devenus à la fin : qu'est-ce qui a changé dans leur physique, leur comportement, leur façon de penser et d'agir ?
3) Tu dois ici définir le parcours réel que font ces hommes : d'où partent-ils ? par où passent-ils ? où parviennent-ils ? Le texte doit te donner des repères géographiques précis.
4) Ce voyage réel s'accompagne d'une profonde transformation chez les déportés, comme tu l'auras constaté en répondant aux premières questions. Ce qui t'est demandé ici, c'est de comprendre que le voyage a aussi une portée symbolique, de l'ordre des idées (exemple : le paradis, l'enfer peuvent être des lieux symboliques).
Voilà comment je peux expliciter les consignes pour toi. J'espère que cela te permettra de commencer. N'oublie pas de scanner le texte (sinon, je ne pourrai pas t'aider davantage, je ne l'ai pas chez moi !).
Travaille bien !
1) Tu dois trouver des moments dans le texte qui montrent que les personnages cessent d'être des hommes, de se comporter en êtres humains. Regarde bien ce qu'ils font, comment ils agissent, ce qu'ils disent, ce qu'ils pensent.
2) Examine comment ils sont au début et compare-le à ce qu'ils sont devenus à la fin : qu'est-ce qui a changé dans leur physique, leur comportement, leur façon de penser et d'agir ?
3) Tu dois ici définir le parcours réel que font ces hommes : d'où partent-ils ? par où passent-ils ? où parviennent-ils ? Le texte doit te donner des repères géographiques précis.
4) Ce voyage réel s'accompagne d'une profonde transformation chez les déportés, comme tu l'auras constaté en répondant aux premières questions. Ce qui t'est demandé ici, c'est de comprendre que le voyage a aussi une portée symbolique, de l'ordre des idées (exemple : le paradis, l'enfer peuvent être des lieux symboliques).
Voilà comment je peux expliciter les consignes pour toi. J'espère que cela te permettra de commencer. N'oublie pas de scanner le texte (sinon, je ne pourrai pas t'aider davantage, je ne l'ai pas chez moi !).
Travaille bien !
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Bonjour
Voici le texte, monsieur :
" Avec la précision absurde à laquelle nous devions plus tard nous habituer, les Allemands firent l'appel. A la fin, l'officier demanda: " Wieviel StÜck ?" ; et le caporal répondit en claquant les talons que les "pièces" étaient au nombre de six cent cinquante et que tout était en ordre. On nous fit alors monter dans des autocars qui nous conduisirent à la gare de Carpi. C'est là que nous attendaient le train et l'escorte qui devait nous accompagner durant le voyage. C'est là que nous reçûmes les premiers coups : et la chose fut si inattendue, si insensée, que nous n'éprouvâmes nulle douleur ni dans le corps ni dans l'âme, mais seulement une profonde stupeur : comment pouvait-on frapper un homme sans colère ? Il y avait douze wagons pour six cent cinquante personnes. Dans le mien nous n'étions que quarante-cinq, mais parce que le wagon était petit. Pas de doute, ce que nous avions sous les yeux, ce que nous sentions sous nos pieds, c'était un de ces fameux convois allemands, de ceux qui ne reviennent pas, et dont nous avions si souvent entendu parler, en tremblant, et vaguement incrédules. C'était bien cela, très exactement : des wagons de marchandises, fermés de l'extérieur, et dedans, entassés sans pitié comme un chargement en gros, hommes, femmes et enfants, en route pour le néant, la chute, le fond. Mais cette fois c'est nous qui sommes dedans. Nous découvrons tous tôt ou tard dans la vie que le bonheur parfait n'existe pas, mais bien peu sont ceux qui s'arrêtent à cette considération inverse qu'il n'y a pas non plus de malheur absolu. Les raisons qui empêchent la réalisation de ces deux états limites sont du même ordre : elles tiennent à la nature même de l’homme, qui répugne à tout infini. Ce qui s’y oppose, c’est d’abord notre connaissance toujours imparfaite de l’avenir ; et cela s’appelle, selon le cas, espoir ou incertitude du lendemain. C’est aussi l’assurance de la mort, qui fixe un terme à la joie comme à la souffrance. Ce sont enfin les inévitables soucis matériels, qui, s’ils viennent troubler tout bonheur durable, sont aussi de continuels dérivatifs au malheur qui nous accable et, parce qu’ils le rendent intermittent, le rendent du même coup supportable. Ce sont justement les privations, les coups, le froid, la soif qui nous ont empêchés de sombrer dans un désespoir sans fond, pendant et après le voyage. Il n’y avait là de notre part ni volonté de vivre ni résignation consciente : rares sont les hommes de cette trempe, et nous n’étions que des spécimens d’humanité bien ordinaires. Les portes s’étaient aussitôt refermées sur nous, mais le train ne s’ébranla que le soir. Nous avions appris notre destination avec soulagement : Auschwitz, un nom alors dénué de signification pour nous ; mais qui devait bien exister quelque part sur terre. Le train roulait lentement, faisant de longues haltes énervantes. A travers la lucarne, nous vîmes défiler les hauts rochers dépouillés de la vallée de l’Adige, les noms des dernières villes italiennes. Quand nous franchîmes le Brenner, le deuxième jour à midi, tout le monde se mit debout mais personne ne souffla mot. La pensée du retour ne me quittait pas, je me torturais à imaginer ce que pourrait être la joie surhumaine de cet autre voyage : les portes grandes ouvertes car personne ne penserait plus à fuir, et les premiers noms italiens … et je regardai autour de moi et me demandai combien, parmi cette misérable poussière humaine, seraient frappés par le destin. Des quarante-cinq occupants de mon wagon, quatre seulement ont revu leur foyer, et ce fut de beaucoup le wagon le mieux loti. La soif et le froid nous faisaient souffrir : à chaque arrêt, nous demandions de l’eau à grands cris, ou au moins une poignée de neige, mais notre appel fut rarement entendu ; les soldats de l’escorte éloignaient quiconque tentait de s’approcher du convoi. Deux jeunes mères qui avaient un enfant au sein gémissaient jour et nuit, implorant de l’eau. Nous supportions un peu mieux la faim, la fatigue et l’insomnie, rendues moins pénibles par la tension nerveuse ; mais les nuits étaient d’interminables cauchemars. Rares sont les hommes capables d’aller dignement à la mort, et ce ne sont pas toujours ceux auxquels on s’attendrait. Bien peu savent se taire et respecter le silence d’autrui. Notre sommeil agité était souvent interrompu par des querelles futiles et bruyantes, des imprécations, des coups de pied et de poing décochés à l’aveuglette pour protester contre un contact fastidieux et inévitable. Alors quelqu’un allumait une bougie, et la lugubre clarté de la flamme laissait apparaître, sur le plancher du wagon, un enchevêtrement uniforme et continu de corps étendus, engourdis et souffrants, que soulevaient çà et là de brusques convulsions aussitôt interrompues par la fatigue. De la lucarne, on voyait défiler des noms connus et inconnus de villes autrichiennes-Salzbourg, Vienne- puis Tchèques, et enfin polonaises. Au soir du quatrième jour, le froid se fit intense : le train, qui traversait d’interminables sapinières noires, prenait visiblement de l’altitude. Partout, une épaisse couche de neige. Nous devions être sur une ligne secondaire, car les gares étaient petites et quasiment désertes. Durant les arrêts, personne ne tentait plus de communiquer avec le monde extérieur : désormais, nous nous sentions « de l’autre côté ». Il y eut une longue halte en rase campagne, puis un nouveau départ extrêmement lent, et enfin le convoi s’arrêta définitivement, en pleine nuit, au milieu d’une plaine silencieuse et sombre".
Je vous enverrai un peu après mes réponses aux questions. A bientôt.
Voici le texte, monsieur :
" Avec la précision absurde à laquelle nous devions plus tard nous habituer, les Allemands firent l'appel. A la fin, l'officier demanda: " Wieviel StÜck ?" ; et le caporal répondit en claquant les talons que les "pièces" étaient au nombre de six cent cinquante et que tout était en ordre. On nous fit alors monter dans des autocars qui nous conduisirent à la gare de Carpi. C'est là que nous attendaient le train et l'escorte qui devait nous accompagner durant le voyage. C'est là que nous reçûmes les premiers coups : et la chose fut si inattendue, si insensée, que nous n'éprouvâmes nulle douleur ni dans le corps ni dans l'âme, mais seulement une profonde stupeur : comment pouvait-on frapper un homme sans colère ? Il y avait douze wagons pour six cent cinquante personnes. Dans le mien nous n'étions que quarante-cinq, mais parce que le wagon était petit. Pas de doute, ce que nous avions sous les yeux, ce que nous sentions sous nos pieds, c'était un de ces fameux convois allemands, de ceux qui ne reviennent pas, et dont nous avions si souvent entendu parler, en tremblant, et vaguement incrédules. C'était bien cela, très exactement : des wagons de marchandises, fermés de l'extérieur, et dedans, entassés sans pitié comme un chargement en gros, hommes, femmes et enfants, en route pour le néant, la chute, le fond. Mais cette fois c'est nous qui sommes dedans. Nous découvrons tous tôt ou tard dans la vie que le bonheur parfait n'existe pas, mais bien peu sont ceux qui s'arrêtent à cette considération inverse qu'il n'y a pas non plus de malheur absolu. Les raisons qui empêchent la réalisation de ces deux états limites sont du même ordre : elles tiennent à la nature même de l’homme, qui répugne à tout infini. Ce qui s’y oppose, c’est d’abord notre connaissance toujours imparfaite de l’avenir ; et cela s’appelle, selon le cas, espoir ou incertitude du lendemain. C’est aussi l’assurance de la mort, qui fixe un terme à la joie comme à la souffrance. Ce sont enfin les inévitables soucis matériels, qui, s’ils viennent troubler tout bonheur durable, sont aussi de continuels dérivatifs au malheur qui nous accable et, parce qu’ils le rendent intermittent, le rendent du même coup supportable. Ce sont justement les privations, les coups, le froid, la soif qui nous ont empêchés de sombrer dans un désespoir sans fond, pendant et après le voyage. Il n’y avait là de notre part ni volonté de vivre ni résignation consciente : rares sont les hommes de cette trempe, et nous n’étions que des spécimens d’humanité bien ordinaires. Les portes s’étaient aussitôt refermées sur nous, mais le train ne s’ébranla que le soir. Nous avions appris notre destination avec soulagement : Auschwitz, un nom alors dénué de signification pour nous ; mais qui devait bien exister quelque part sur terre. Le train roulait lentement, faisant de longues haltes énervantes. A travers la lucarne, nous vîmes défiler les hauts rochers dépouillés de la vallée de l’Adige, les noms des dernières villes italiennes. Quand nous franchîmes le Brenner, le deuxième jour à midi, tout le monde se mit debout mais personne ne souffla mot. La pensée du retour ne me quittait pas, je me torturais à imaginer ce que pourrait être la joie surhumaine de cet autre voyage : les portes grandes ouvertes car personne ne penserait plus à fuir, et les premiers noms italiens … et je regardai autour de moi et me demandai combien, parmi cette misérable poussière humaine, seraient frappés par le destin. Des quarante-cinq occupants de mon wagon, quatre seulement ont revu leur foyer, et ce fut de beaucoup le wagon le mieux loti. La soif et le froid nous faisaient souffrir : à chaque arrêt, nous demandions de l’eau à grands cris, ou au moins une poignée de neige, mais notre appel fut rarement entendu ; les soldats de l’escorte éloignaient quiconque tentait de s’approcher du convoi. Deux jeunes mères qui avaient un enfant au sein gémissaient jour et nuit, implorant de l’eau. Nous supportions un peu mieux la faim, la fatigue et l’insomnie, rendues moins pénibles par la tension nerveuse ; mais les nuits étaient d’interminables cauchemars. Rares sont les hommes capables d’aller dignement à la mort, et ce ne sont pas toujours ceux auxquels on s’attendrait. Bien peu savent se taire et respecter le silence d’autrui. Notre sommeil agité était souvent interrompu par des querelles futiles et bruyantes, des imprécations, des coups de pied et de poing décochés à l’aveuglette pour protester contre un contact fastidieux et inévitable. Alors quelqu’un allumait une bougie, et la lugubre clarté de la flamme laissait apparaître, sur le plancher du wagon, un enchevêtrement uniforme et continu de corps étendus, engourdis et souffrants, que soulevaient çà et là de brusques convulsions aussitôt interrompues par la fatigue. De la lucarne, on voyait défiler des noms connus et inconnus de villes autrichiennes-Salzbourg, Vienne- puis Tchèques, et enfin polonaises. Au soir du quatrième jour, le froid se fit intense : le train, qui traversait d’interminables sapinières noires, prenait visiblement de l’altitude. Partout, une épaisse couche de neige. Nous devions être sur une ligne secondaire, car les gares étaient petites et quasiment désertes. Durant les arrêts, personne ne tentait plus de communiquer avec le monde extérieur : désormais, nous nous sentions « de l’autre côté ». Il y eut une longue halte en rase campagne, puis un nouveau départ extrêmement lent, et enfin le convoi s’arrêta définitivement, en pleine nuit, au milieu d’une plaine silencieuse et sombre".
Je vous enverrai un peu après mes réponses aux questions. A bientôt.
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Merci pour le texte. Travaille bien et fais-nous part de tes réponses, nous t'aiderons à les améliorer s'il le faut.
Bon courage !
Bon courage !
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Bonjour SOS français,
1) quels passages marquent la déshumanisation des déportés ?
2) quelles transformations subissent-ils ?
3) Voyage : quel est son parcours géographique ?
4) Voyage : quel est son parcours symbolique ?
Pour les questions 3 et 4, s'intéresser aux noms de lieux ou à leur absence.
1) Tu dois trouver des moments dans le texte qui montrent que les personnages cessent d'être des hommes, de se comporter en êtres humains. Regarde bien ce qu'ils font, comment ils agissent, ce qu'ils disent, ce qu'ils pensent.
1 = Je n’arrive pas à trouver cela monsieur, pouvez-vous m’aider davantage pour celle-ci ? … Merci
2) Examine comment ils sont au début et compare-le à ce qu'ils sont devenus à la fin : qu'est-ce qui a changé dans leur physique, leur comportement, leur façon de penser et d'agir ?
2) = Au début les déportés n’ont aucune douleur mais vers la fin, ils sont interrompus par la fatigue.
(je ne vois pas ce que ça pourrait être d’autre, monsieur ).
3) Tu dois ici définir le parcours réel que font ces hommes : d'où partent-ils ? Par où passent-ils ? Où parviennent-ils ? Le texte doit te donner des repères géographiques précis.
3) = Ils partent de la gare de Carpi, ils vont en route pour le néant, destination : Auschwitz, vallée de l’Adige, dernières villes italiennes, le Brenner, villes autrichiennes-Salzbourg, Vienne- puis Tchèques, et enfin polonaises, puis arrestation au milieu d’une plaine silencieuse et sombre.
(je ne sais pas si c’est cela monsieur.)
4) Ce voyage réel s'accompagne d'une profonde transformation chez les déportés, comme tu l'auras constaté en répondant aux premières questions. Ce qui t'est demandé ici, c'est de comprendre que le voyage a aussi une portée symbolique, de l'ordre des idées (exemple : le paradis, l'enfer peuvent être des lieux symboliques).
( je ne vois pas de réponses répondant à cette question dans le texte monsieur … ) .
Merci pour votre aide
A bientôt
1) quels passages marquent la déshumanisation des déportés ?
2) quelles transformations subissent-ils ?
3) Voyage : quel est son parcours géographique ?
4) Voyage : quel est son parcours symbolique ?
Pour les questions 3 et 4, s'intéresser aux noms de lieux ou à leur absence.
1) Tu dois trouver des moments dans le texte qui montrent que les personnages cessent d'être des hommes, de se comporter en êtres humains. Regarde bien ce qu'ils font, comment ils agissent, ce qu'ils disent, ce qu'ils pensent.
1 = Je n’arrive pas à trouver cela monsieur, pouvez-vous m’aider davantage pour celle-ci ? … Merci
2) Examine comment ils sont au début et compare-le à ce qu'ils sont devenus à la fin : qu'est-ce qui a changé dans leur physique, leur comportement, leur façon de penser et d'agir ?
2) = Au début les déportés n’ont aucune douleur mais vers la fin, ils sont interrompus par la fatigue.
(je ne vois pas ce que ça pourrait être d’autre, monsieur ).
3) Tu dois ici définir le parcours réel que font ces hommes : d'où partent-ils ? Par où passent-ils ? Où parviennent-ils ? Le texte doit te donner des repères géographiques précis.
3) = Ils partent de la gare de Carpi, ils vont en route pour le néant, destination : Auschwitz, vallée de l’Adige, dernières villes italiennes, le Brenner, villes autrichiennes-Salzbourg, Vienne- puis Tchèques, et enfin polonaises, puis arrestation au milieu d’une plaine silencieuse et sombre.
(je ne sais pas si c’est cela monsieur.)
4) Ce voyage réel s'accompagne d'une profonde transformation chez les déportés, comme tu l'auras constaté en répondant aux premières questions. Ce qui t'est demandé ici, c'est de comprendre que le voyage a aussi une portée symbolique, de l'ordre des idées (exemple : le paradis, l'enfer peuvent être des lieux symboliques).
( je ne vois pas de réponses répondant à cette question dans le texte monsieur … ) .
Merci pour votre aide
A bientôt
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Question 1) Comment, par exemple, est traduite l'interrogation en allemand "Wieviel Stück ?"
Dans quel type de wagons fait-on monter ces voyageurs ?
"entassés sans pitié comme un chargement en gros" : comment comprends-tu cette expression ?
Voilà des pistes pour répondre à la question. Tu peux encore chercher d'autres expressions du texte qui montrent que les hommes sont considérés comme des animaux ou des choses.
Question 2) Tu réponds "ils sont interrompues par la fatigue" et je ne comprends pas ce que tu veux dire (dans le texte, ce sont les convulsions des hommes qui sont interrompues par la fatigue. De même, explique davantage ce que tu veux dire par "Au début les déportés n’ont aucune douleur" : dans quelle circonstance n"éprouvent-ils aucune douleur alors qu'ils devraient souffrir ? Relis le début du texte. De plus, tu peux sans doute trouver d'autres éléments (quand l'auteur décrit à quelles souffrances les déportés sont confrontés dans le wagon, par exemple.)
Question 3) Tu t'es contentée de relever les mots qui désignent les lieux et de les énumérer. Ce n'est que le début d'une bonne réponse : avec ce relevé, construis une phrase, indique les grands régions traversées successivement (les pays). De plus, tu n'as pas tenu compte de la remarque que ton professeur avait pris soin de mettre concernant cette question et la suivante : tous les lieux ont-ils un nom précis ?
Question 4) La réponse n'est pas explicite, c'est à dire exprimée en toutes lettres dans le texte. C'est toi qui doit déduire la réponse des éléments que tu as trouvés auparavant. Comme tu dois déjà retravailler en profondeur tes réponses précédentes, je te propose de faire d''abord cela. Nous reverrons cette dernière question quand tu auras bien avancé sur le reste.
Surtout, lis bien ces conseils, prends le temps de relire le texte, de réfléchir à nouveau, de retravailler, d"écrire des réponses un peu plus développées. Jusqu'ici, ton travail est un peu rapide et superficiel. Ne te contente pas de reprendre mes conseils pour faire ta réponse : travaille vraiment, réfléchis personnellement.
Bon courage !
Dans quel type de wagons fait-on monter ces voyageurs ?
"entassés sans pitié comme un chargement en gros" : comment comprends-tu cette expression ?
Voilà des pistes pour répondre à la question. Tu peux encore chercher d'autres expressions du texte qui montrent que les hommes sont considérés comme des animaux ou des choses.
Question 2) Tu réponds "ils sont interrompues par la fatigue" et je ne comprends pas ce que tu veux dire (dans le texte, ce sont les convulsions des hommes qui sont interrompues par la fatigue. De même, explique davantage ce que tu veux dire par "Au début les déportés n’ont aucune douleur" : dans quelle circonstance n"éprouvent-ils aucune douleur alors qu'ils devraient souffrir ? Relis le début du texte. De plus, tu peux sans doute trouver d'autres éléments (quand l'auteur décrit à quelles souffrances les déportés sont confrontés dans le wagon, par exemple.)
Question 3) Tu t'es contentée de relever les mots qui désignent les lieux et de les énumérer. Ce n'est que le début d'une bonne réponse : avec ce relevé, construis une phrase, indique les grands régions traversées successivement (les pays). De plus, tu n'as pas tenu compte de la remarque que ton professeur avait pris soin de mettre concernant cette question et la suivante : tous les lieux ont-ils un nom précis ?
Question 4) La réponse n'est pas explicite, c'est à dire exprimée en toutes lettres dans le texte. C'est toi qui doit déduire la réponse des éléments que tu as trouvés auparavant. Comme tu dois déjà retravailler en profondeur tes réponses précédentes, je te propose de faire d''abord cela. Nous reverrons cette dernière question quand tu auras bien avancé sur le reste.
Surtout, lis bien ces conseils, prends le temps de relire le texte, de réfléchir à nouveau, de retravailler, d"écrire des réponses un peu plus développées. Jusqu'ici, ton travail est un peu rapide et superficiel. Ne te contente pas de reprendre mes conseils pour faire ta réponse : travaille vraiment, réfléchis personnellement.
Bon courage !
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Bonjour sos français :
1. ...le silence du 2 ème jour ... /les portes ouvertes, plus personne ne pense à s'enfuir : "Rares sont les hommes capables d'aller dignement à la mort .......... contact fastidieux et inévitable ."
2. Les hommes deviennent pareils à des bêtes menées à l'abattoir, ils ne cherchent plus à se révolter, ni à s'enfuir, ils sont submergés par leurs besoins primaires : la soif, la faim, le besoin de chaleur.
3. Voyage géographique: gare de Capri- l'Adige-traversée de l'Italie/ L'autriche-Vienne , etc./la Tchécoslovaquie - La Pologne -Auschwitz.
4. Voyage symbolique : passage de la vie à la mort, représenté dans tout le texte par le passage de la chaleur (l'Italie, la bougie) au froid/ par le mouvement (du train) à l'arrêt, l'immobilité à la fin du parcours/ par le passage du bruit au silence :( relis la dernière phrase) . Mais le champ lexical du froid domine tout le récit .
Merci à bientôt.
1. ...le silence du 2 ème jour ... /les portes ouvertes, plus personne ne pense à s'enfuir : "Rares sont les hommes capables d'aller dignement à la mort .......... contact fastidieux et inévitable ."
2. Les hommes deviennent pareils à des bêtes menées à l'abattoir, ils ne cherchent plus à se révolter, ni à s'enfuir, ils sont submergés par leurs besoins primaires : la soif, la faim, le besoin de chaleur.
3. Voyage géographique: gare de Capri- l'Adige-traversée de l'Italie/ L'autriche-Vienne , etc./la Tchécoslovaquie - La Pologne -Auschwitz.
4. Voyage symbolique : passage de la vie à la mort, représenté dans tout le texte par le passage de la chaleur (l'Italie, la bougie) au froid/ par le mouvement (du train) à l'arrêt, l'immobilité à la fin du parcours/ par le passage du bruit au silence :( relis la dernière phrase) . Mais le champ lexical du froid domine tout le récit .
Merci à bientôt.
Re: Si c'est un homme (Primo Levi)
Elodie,
Il me paraît étrange que tu passes si rapidement des réponses indigentes de tout à l'heure à ces dernières réponses, qui me semblent bien plus réfléchies (mais par qui ???).... Et 10 petites minutes t'ont suffi pour comprendre tout cela ?!???
Question 1) Ta réponse n'est toujours pas rédigée. T'appuyer sur le texte en le citant est une première étape, mais il faut aussi expliquer, commenter les passages que tu as relevés.
Question 2) Ta réponse convient, mais tu pourrais citer des expressions du texte pour la justifier.
Question 3) Même réponse (rédige !). Toujours pas de remarque sur la désignation des lieux (nom propre ? nom commun ?)
Question 4) Bien, mais tu dois rédiger mieux que cela. Par ailleurs, tu as oublié une remarque (un conseil donné, sans doute ?), je l'ai mise entre parenthèses, n'oublie pas de l'enlever !
Il me paraît étrange que tu passes si rapidement des réponses indigentes de tout à l'heure à ces dernières réponses, qui me semblent bien plus réfléchies (mais par qui ???).... Et 10 petites minutes t'ont suffi pour comprendre tout cela ?!???
Question 1) Ta réponse n'est toujours pas rédigée. T'appuyer sur le texte en le citant est une première étape, mais il faut aussi expliquer, commenter les passages que tu as relevés.
Question 2) Ta réponse convient, mais tu pourrais citer des expressions du texte pour la justifier.
Question 3) Même réponse (rédige !). Toujours pas de remarque sur la désignation des lieux (nom propre ? nom commun ?)
Question 4) Bien, mais tu dois rédiger mieux que cela. Par ailleurs, tu as oublié une remarque (un conseil donné, sans doute ?), je l'ai mise entre parenthèses, n'oublie pas de l'enlever !