Rédaction : convaincre
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- Messages : 636
- Enregistré le : ven. 6 févr. 2009 08:27
Re: Rédaction
Bonjour Marie,
Voilà ton texte à nouveau corrigé :
Un jour que Laila était sortie acheter des légumes pour sa maîtresse, une jeune femme d'une vingtaine d'années l'aborda, et lui demanda son chemin.
Elle était arrivée il y a deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus.Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait 2 cicatrices sur le front, Laila se demandait d'ou elle provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue l'a vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez vous ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez vous hésité ?
-je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez vous donc ?
-j'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendrez (conditionnel plutôt : vous viendriez) avec moi
-Venir avec vous ! mais je vous connait à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterai pas ! Je vais te raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes 2 cicatrices sur les front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mis à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour ça que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont morte au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit, j’avais 17 ans (à supprimer). Après c'est une autre histoire que je te raconterai peut-être un jour, si tu viens avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous ait arriver, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelque vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemples, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personnes. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! se serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travaillée donc cela ne change rien à être esclave et être libre. (mal dit et argument à revoir : travailler, avoir un métier, cela n'a rien à voir avec l'esclavage !)
Les esclaves n'étaient pas payés : c'est sans doute une différence essentielle avec le fait d'avoir un métier. Tu pourrais développer cet argument.
De plus, les esclaves subissaient des brimades, étaient maltraités, ce qui n'est pas le cas dans une vie professionnelle normale !
J'espère que tu vas corriger les dernières fautes (j'en avais déjà soulignées que tu n'as n'as pas corrigées..) et tenir compte de mes remarques.
A bientôt.
Voilà ton texte à nouveau corrigé :
Un jour que Laila était sortie acheter des légumes pour sa maîtresse, une jeune femme d'une vingtaine d'années l'aborda, et lui demanda son chemin.
Elle était arrivée il y a deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus.Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait 2 cicatrices sur le front, Laila se demandait d'ou elle provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue l'a vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez vous ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez vous hésité ?
-je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez vous donc ?
-j'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendrez (conditionnel plutôt : vous viendriez) avec moi
-Venir avec vous ! mais je vous connait à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterai pas ! Je vais te raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes 2 cicatrices sur les front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mis à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour ça que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont morte au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit, j’avais 17 ans (à supprimer). Après c'est une autre histoire que je te raconterai peut-être un jour, si tu viens avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous ait arriver, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelque vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemples, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personnes. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! se serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travaillée donc cela ne change rien à être esclave et être libre. (mal dit et argument à revoir : travailler, avoir un métier, cela n'a rien à voir avec l'esclavage !)
Les esclaves n'étaient pas payés : c'est sans doute une différence essentielle avec le fait d'avoir un métier. Tu pourrais développer cet argument.
De plus, les esclaves subissaient des brimades, étaient maltraités, ce qui n'est pas le cas dans une vie professionnelle normale !
J'espère que tu vas corriger les dernières fautes (j'en avais déjà soulignées que tu n'as n'as pas corrigées..) et tenir compte de mes remarques.
A bientôt.
Re: Rédaction
Un jour que Laila était sortie acheter des légumes pour sa maîtresse, une jeune femme d'une vingtaine d'années l'aborda, et lui demanda son chemin.
Elle était arrivée il y a deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus. Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait deux cicatrices sur le front, Laila se demandait d'où elles provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue l'a vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez vous ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez vous hésité ?
-je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez vous donc ?
-j'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendriez avec mo.
-Venir avec vous ! mais je vous connait à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterai pas ! Je vais vous raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes deux cicatrices sur les front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mis à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour ça que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont mortes au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit,. Après c'est une autre histoire que je vous raconterai peut-être un jour, si vous vieniez avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous ait arrivé, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelques vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemple, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personnes. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! ce serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travaillée donc c’est pareil que d’être esclave !
-Mais non voyons l’on n’est payés !
-payés ?
-Oui, c’est vous donnez de l’argent, vous travaillez et on vous donne de l’argent.
-Vrai ?
-Oui cela est vrai
-Alors c’est conclu, je viens avec vous !
3eme partie
Réécrivez le passage de « j’ignore mon vrai nom (ligne 29) jusqu'à la fin, en replaçant « je » par elle et en transposant le texte au passé. Respectez la valeur des temps.
J'ignore mon vrai nom, et je me suis habituée à ce nom que m'a donné ma maîtresse, comme s'il était celui que ma mère avait choisi pour moi. Pourtant je pense qu'un jour quelqu'un dira mon vrai nom, et que je tressaillirai , et que je le reconnaîtrai.
Elle ignorait son vrai nom, elle s’était habitué au nom que lui avait donné sa maîtresse, comme s’il était celui que sa mère lui avait choisi pour elle. Pourtant elle pensait qu’un jour que quelqu’un lui dirait son vrai nom, et qu’elle tressaillirai, et qu’elle le reconnaîtrai.
Marie
Elle était arrivée il y a deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus. Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait deux cicatrices sur le front, Laila se demandait d'où elles provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue l'a vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez vous ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez vous hésité ?
-je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez vous donc ?
-j'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendriez avec mo.
-Venir avec vous ! mais je vous connait à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterai pas ! Je vais vous raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes deux cicatrices sur les front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mis à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour ça que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont mortes au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit,. Après c'est une autre histoire que je vous raconterai peut-être un jour, si vous vieniez avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous ait arrivé, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelques vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemple, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personnes. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! ce serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travaillée donc c’est pareil que d’être esclave !
-Mais non voyons l’on n’est payés !
-payés ?
-Oui, c’est vous donnez de l’argent, vous travaillez et on vous donne de l’argent.
-Vrai ?
-Oui cela est vrai
-Alors c’est conclu, je viens avec vous !
3eme partie
Réécrivez le passage de « j’ignore mon vrai nom (ligne 29) jusqu'à la fin, en replaçant « je » par elle et en transposant le texte au passé. Respectez la valeur des temps.
J'ignore mon vrai nom, et je me suis habituée à ce nom que m'a donné ma maîtresse, comme s'il était celui que ma mère avait choisi pour moi. Pourtant je pense qu'un jour quelqu'un dira mon vrai nom, et que je tressaillirai , et que je le reconnaîtrai.
Elle ignorait son vrai nom, elle s’était habitué au nom que lui avait donné sa maîtresse, comme s’il était celui que sa mère lui avait choisi pour elle. Pourtant elle pensait qu’un jour que quelqu’un lui dirait son vrai nom, et qu’elle tressaillirai, et qu’elle le reconnaîtrai.
Marie
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- Messages : 636
- Enregistré le : ven. 6 févr. 2009 08:27
Re: Rédaction
Re-bonjour Marie,
Cette fois, les mots soulignés et en caractères gras sont corrigés, car tu n'avais décidément pas corrigé certaines fautes !
Un jour que Laila était sortie acheter des légumes pour sa maîtresse, une jeune femme d'une vingtaine d'années l'aborda, et lui demanda son chemin.
Elle était arrivée il y avait deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus. Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait deux cicatrices sur le front, Laila se demandait d'où elles provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue la vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez-vous ici ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez-vous hésité ?
-Je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez-vous donc ?
-J'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendriez avec moi.
-Venir avec vous ! mais je vous connais à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterais pas ! Je vais vous raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes deux cicatrices sur le front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mise à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour cela que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont mortes au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin. Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit. Après c'est une autre histoire que je vous raconterai peut-être un jour, si vous venez avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous est arrivé, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelques vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemple, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personne. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! ce serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travailler donc c’est pareil que d’être esclave !
-Mais non voyons, l’on est payé !
-Payés ?
-Oui, vous travaillez et on vous donne de l’argent.
-Vrai ?
-Oui cela est vrai
-Alors c’est conclu, je viens avec vous !
Voyons maintenant ton exercice de réécriture ! Les mots soulignés et en caractères gras sont fautifs.
Elle ignorait son vrai nom, elle s’était habitué au nom que lui avait donné sa maîtresse, comme s’il était celui que sa mère lui avait choisi pour elle. Pourtant elle pensait qu’un jour que (à supprimer)quelqu’un lui dirait son vrai nom, et qu’elle tressaillirai, et qu’elle le reconnaîtrai.
Allez, courage, un dernier effort !
Cette fois, les mots soulignés et en caractères gras sont corrigés, car tu n'avais décidément pas corrigé certaines fautes !
Un jour que Laila était sortie acheter des légumes pour sa maîtresse, une jeune femme d'une vingtaine d'années l'aborda, et lui demanda son chemin.
Elle était arrivée il y avait deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus. Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait deux cicatrices sur le front, Laila se demandait d'où elles provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue la vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez-vous ici ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez-vous hésité ?
-Je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez-vous donc ?
-J'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendriez avec moi.
-Venir avec vous ! mais je vous connais à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterais pas ! Je vais vous raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes deux cicatrices sur le front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mise à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour cela que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont mortes au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin. Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit. Après c'est une autre histoire que je vous raconterai peut-être un jour, si vous venez avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous est arrivé, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelques vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemple, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personne. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! ce serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travailler donc c’est pareil que d’être esclave !
-Mais non voyons, l’on est payé !
-Payés ?
-Oui, vous travaillez et on vous donne de l’argent.
-Vrai ?
-Oui cela est vrai
-Alors c’est conclu, je viens avec vous !
Voyons maintenant ton exercice de réécriture ! Les mots soulignés et en caractères gras sont fautifs.
Elle ignorait son vrai nom, elle s’était habitué au nom que lui avait donné sa maîtresse, comme s’il était celui que sa mère lui avait choisi pour elle. Pourtant elle pensait qu’un jour que (à supprimer)quelqu’un lui dirait son vrai nom, et qu’elle tressaillirai, et qu’elle le reconnaîtrai.
Allez, courage, un dernier effort !
Re: Rédaction
Elle ignorait son vrai nom, elle s’était habituée au nom que lui avait donné sa maîtresse, comme s’il était celui que sa mère lui avait choisi pour elle. Pourtant elle pensait qu’un jour quelqu’un lui dirait son vrai nom, et qu’elle tressaillirait, et qu’elle le reconnaîtrait.
Je ne comprends pas pourquoi vous avez souligné lui.
Marie
Je ne comprends pas pourquoi vous avez souligné lui.
Marie
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Re: Rédaction
Dans la phrase de départ, on a : "celui que ma mère avait choisi pour moi", et non : "celui que ma mère m'avait choisi pour moi", ce qui serait incorrect. "Pour moi" suffit, donc "pour elle" suffit. Inutile de rajouter "lui" !
Bonne soirée Marie !
Bonne soirée Marie !
Re: Rédaction
Je vous remercie de m'avoir répondu, ainsi que tous les autres professeurs qui m'ont aidée.
Bonne soirée à vous aussi
Marie
Bonne soirée à vous aussi
Marie
Re: Rédaction : convaincre
Bonjour,
Je vous remercie encore une fois de m'avoir aidée.
J'ai eu ma note ce matin, j'ai eu 17/20 !
Je vous remercie encore une fois de m'avoir aidée.
J'ai eu ma note ce matin, j'ai eu 17/20 !