emploi des temps
Posté : dim. 17 janv. 2016 16:55
Bonjour,
Je suis en train d'écrire une interview suite à une oeuvre d'A. de Musset. Je m'aperçois que j'ai des problèmes sur l'emploi des temps. Par exemple, voici un extrait de mon écrit :
De prime abord, j’ai cru que j’aurais plus de chance de conquérir le cœur de Julie, car elle n’avait montré aucun signe de résistance lorsque je lui avais embrassé la main. Isabelle, en effet, l’avait accepté avec nonchalance, et cela était peut-être dû au fait qu’elle considérait ce geste comme une simple formalité. Je suis donc allé au petit bal et j’y ai retrouvé Julie. Elle a alors commencé à reparler du baiser avec un préambule qui m’effrayait. Elle m’a, en fait, demandé de ne plus l’approcher car elle avait peur de m’aimer. Que cette femme me parle ainsi m’a bouleversé. Je ne sus comment réagir. Le lendemain, je reçus une lettre de la marquise de Parnes en réponse à la déclaration d’amour que je lui avais envoyée un jour auparavant ; je m’attendais à de l’indolence de sa part. Or, de son écrit ressortait beaucoup de colère bien qu’il ne fut pas le langage d’une femme offensée tel que celui de Julie. Sa réaction me surprit car ma lettre était honnête et respectueuse. Je décidai donc de lui rendre visite. Je fus très étonné de voir qu’elle paraissait tranquille en me voyant arriver. J’ai alors commencé à justifier ce message en prétextant m’être trompé de destinataire. Isabelle me demanda de décrire cette autre femme, et j’en ai profité pour la flatter indirectement.
J'ai mis du passé composé, de l'imparfait, du passé simple, du plus que parfait. Je mis ces temps naturellement et j'ai l'impression d'avoir fait des erreurs.
Pouvez-vous m'aider, s'il vous plait, en prenant pour exemple la correction de cet extrait.
Victor
Je suis en train d'écrire une interview suite à une oeuvre d'A. de Musset. Je m'aperçois que j'ai des problèmes sur l'emploi des temps. Par exemple, voici un extrait de mon écrit :
De prime abord, j’ai cru que j’aurais plus de chance de conquérir le cœur de Julie, car elle n’avait montré aucun signe de résistance lorsque je lui avais embrassé la main. Isabelle, en effet, l’avait accepté avec nonchalance, et cela était peut-être dû au fait qu’elle considérait ce geste comme une simple formalité. Je suis donc allé au petit bal et j’y ai retrouvé Julie. Elle a alors commencé à reparler du baiser avec un préambule qui m’effrayait. Elle m’a, en fait, demandé de ne plus l’approcher car elle avait peur de m’aimer. Que cette femme me parle ainsi m’a bouleversé. Je ne sus comment réagir. Le lendemain, je reçus une lettre de la marquise de Parnes en réponse à la déclaration d’amour que je lui avais envoyée un jour auparavant ; je m’attendais à de l’indolence de sa part. Or, de son écrit ressortait beaucoup de colère bien qu’il ne fut pas le langage d’une femme offensée tel que celui de Julie. Sa réaction me surprit car ma lettre était honnête et respectueuse. Je décidai donc de lui rendre visite. Je fus très étonné de voir qu’elle paraissait tranquille en me voyant arriver. J’ai alors commencé à justifier ce message en prétextant m’être trompé de destinataire. Isabelle me demanda de décrire cette autre femme, et j’en ai profité pour la flatter indirectement.
J'ai mis du passé composé, de l'imparfait, du passé simple, du plus que parfait. Je mis ces temps naturellement et j'ai l'impression d'avoir fait des erreurs.
Pouvez-vous m'aider, s'il vous plait, en prenant pour exemple la correction de cet extrait.
Victor