récit de vie

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professeur 12
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Re: récit de vie

Message par professeur 12 » mar. 4 mars 2014 19:04

Yasmine,
Le deuxième paragraphe est bon, malgré une expression à reprendre. Ensuite une correction sur le mal au pied est à apporter.
Paragraphes 5 et 6 : quelques expressions soulignées en rouge à reformuler à l'aide du dictionnaire s'il le faut.
Conseil : pour des actions courtes et inhabituelles dans le récit utilise plutôt le passé simple. Voir les exemples proposés.
Le reste des paragraphes : des expressions à reprendre et quelques accords à réaliser.
Bon travail !
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » mar. 4 mars 2014 19:48

Au premier étage de l’immeuble FOSTP où nous habitions, nous visitait chaque semaine notre tante nommée Najat. Elle avait un fils Ilyass et une fille Asmaa. Ceux-ci étaient élevés autrement que nous ; ils étaient bavards et pouvaient inventer des jeux originaux, ils n'étaitent jamais ennuyés Que veux-tu dire ? . Ils cherchaient querelle à tout le monde et pour une simple et banale raison ils provoquaient une immense dispute. Par opposition, mon frère et moi évitions toutes sortes de combats et de dangers.
Parmi les jeux que mes cousins ont inventés Il faut conjuguer le verbe au plus-que-parfait et non au passé composé, un seul paraissait le plus dangereux : Lorsque l’obscurité avait envahi ma chambre et que nul rayon ne pénétrait, on s’asseyait tous au milieu de la pièce, on choisissait quelqu’un pour nous chasser, et puis, on courait dans tout les sens pour se cacher. Ce qui était évident, est qu’on se cognait les uns, les autres ; on tombait la plupart du temps, et parfois, on pleurait même de peur. Mais le plus dangereux est que personne ne connaissait ce jeu.
Un jour en s’amusant à crier et à se cacher, j’entendis soudain un assourdissant vacarme. Je me levai pour allumer la lumière mais une peur me gagna soudainement : J’arrivais à peine à respirer, mes cheveux se hérissaient, mon sang se glaça dans mes veines, mes dents claquaient et je n’arrivais plus à placer un seul mot. « Un bruit aussi sonore que celui-ci ne proviendrait que d’un voleur, d’un incendie, d’un tremblement de terre… » Toutes ces idées s’écroulèrent sur mes pensées Cette phrase est peu claire, essaie de la reformuler et me bouleversèrent. Cependant, j’entendais mon frère sangloter et ma cousine gémir de douleur. Je ne savais quoi faire et sans m’enapercevoir j’allumai la lumière.
Merci, Je tiens à vous exprimer mes remerciements les plus sincères pour m’avoir aidé.
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Re: récit de vie

Message par professeur 1 » mar. 4 mars 2014 20:23

Bonsoir Yasmine,
Tout ce qui te reste à corriger est en rouge.
Bon courage.
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » mer. 5 mars 2014 20:05

Bonsoir professeur, voici mon essai que j'ai corrigé:
Au premier étage de l’immeuble FOSTP où nous habitions, nous visitait chaque semaine notre tante nommée Najat. Elle avait un fils Ilyass et une fille Asmaa. Ceux-çi étaient élevés autrement que nous ; ils étaient bavards et pouvaient inventer des jeux originaux toujours. Ils cherchaient querelle à tous le monde et pour une simple et banale raison ils provoquaient une immense dispute. Par opposition, mon frère et moi évitions toutes sortes de combats et de dangers.
Parmi les jeux que mes cousins avaient inventés, un seul paraissait le plus dangereux : Lorsque l’obscurité avait envahi ma chambre et que nul rayon ne pénétrait, on s’asseyait tous au milieu de la pièce, on choisissait quelqu’un pour nous chasser, et puis, on courait dans touts les sens pour se cacher. Ce qui était évident, est qu’on se cognait les uns, les autres ; on tombait la plupart du temps, et parfois, on pleurait même de peur. Mais le plus dangereux est que personne ne connaissait ce jeu.
Un jour en s’amusant à crier et à se cacher, j’entendis soudain un assourdissant vacarme. Je me levai pour allumer la lumière mais une peur me gagna soudainement : J’arrivais à peine à respirer, mes cheveux se hérissaient, mon sang se glaça dans mes veines, mes dents claquaient et je n’arrivais plus à placer un seul mot. « Un bruit aussi sonore que celui-ci ne proviendrait que d’un voleur, d’un incendie, d’un tremblement de terre… » Toutes ces idées me préoccupèrent et me bouleversèrent. Cependant, j’entendais mon frère sangloter et ma cousine gémir de douleur. Je ne savais quoi faire et sans m’en apercevoir j’allumai la lumière.
Quelle surprise ! La tête du lit était par terre et ma cousine en serrant sa jambe gauche pleurait. On s’asseyait par terre essayant de comprendre, et puis en une difficulté extrême, Asmaa prononça : « Je…Je n’ai pas aperçu la…la tête du lit et je l’ai cassée par un coup de pied en essayant de sauter pour s’enfuir. Mon…J’ai mal au pied, et je ne peux pas le faire bouger. »
Que faire maintenant ? Après plusieurs réflexions, Ilyass prononça soudainement : «On n’a pas autre solutions, on doit mentir, on va dire que c’était Youness (Mon petit frère qui était endormi) qui voulait se balancer et l’avait cassé, et pour Asmaa, elle essaya de marcher. »Mes cousins, mon frère et moi, tout le monde était d’accord pour cette unique et favorable solution.
Après quelques minutes d’attente, mes parents et ma tante se présentèrent et nous racontâmes notre récit imaginaire. Heureusement , nos paroles étaient convaincantes et mes parents nous ont crus. Pendant ce temps, Asmaa essayait de cacher sa douleur et réussit à persuader sa mère de passer la nuit avec moi. Comme ceci, j’avais passé des heures et des heures à consoler Asmaa qui ne pouvait pas dormir. Elle tournait et retournait, elle posait sa jambe sur l’oreiller, sur un coussin, sur le bureau, elle se tenait droite, assise, couché sur le dos, sur un côté, la tête en bas… Aucune de ses positions ne lui convenait.
Le lendemain matin, quand les rayons de soleil se faufilaient entre les trous de la fenêtre, j’observais soudainement la jambe d’Asmaa qui avait pris une couleur bleuâtre et ressemblait à un gros ballon bleu. Je la fis remarquer la nouvelle et nous nous mettions d’accord qu’elle resterait dans la chambre en prétendant d’être malade et qu’elle cacherait ses pieds. Mais malheureusement, mes affectueux parents insistaient pour l’emmener à l’hôpital. Ils disaient que c’était une responsabilité et qu’ils devaient prendre soin d’elle.
Là, tous nos mensonges furent révélés. On dut tout avouer, il n’y avait pas autre solution. Alors en tremblant et bégayant, je rendis compte de ce qui s’est passé. En entendant ceci, maman était furieuse et elle appela ma tante pour tout lui raconter.
On emmena Asmaa vite à l’hôpital et puis, grâce à une radiographie, on a pu voir la fracture du pied, et par obligation, le plâtre fut appliqué.

Sur notre chemin à la maison, ma tante était en colère et elle ne cessait de poser des questions : Qui avait inventé le jeu ? Qui avait poussé Asmaa ? (Elle croyait qu’Asmaa n’était pas tombée comme ça et elle en était certaine) Qui avait allumé la lumière ?... On n’avait pas de réponse, mais soudain Ilyass répondit : «C’était la faute de Yasmine ; elle avait inventé le jeu, elle avait poussé Asmaa et c’était moi qui avait allumé la lumière.
Surprise, ma gorge se noua. Et je regardais ce spectacle sans intervenir. En entendant ces faux aveux, maman d’un regard furieux, dur, qui luit de colère m’annonçait ce qui m’attendait de punitions et je ne pus intervenir.
Qui aurait cru que mes cousins tant aimés allaient m’accuser de tout ceci !
Pendant plusieurs jours, j’étais victime et je ne cessais de couvrir mes cousins malgré tout. Pourquoi ? Je ne parvenais pas à y répondre. Je supportais les humiliations et je m’asseyais seule à lire « Tintin sur la lune », je ne jouais avec personne et je patientais. J’étais certaine qu’un jour justice serait rendue.

Et c’est ce qui s’est passé.

Après 25 jours, Asmaa s’est rendue une seconde fois chez le docteur pour enlever finalement le plâtre et retourner à sa vie ordinaire. Elle était heureuse comme un oiseau dans l’air, et on pouvait voir un large sourire se dessiner sur son visage. Durant la séance, le docteur prononça : «Ah !! Tu t’es bien rétablie grâce à ta patience. La prochaine fois ne joue pas dans l’obscurité car si quelqu’un t’avait poussé je ne sais pas que ce qu’il te serait arrivé. »
En entendant ceci, ma tante Najat n’avait rien compris. Elle regardait sa fille avec curiosité. Alors en quittant le cabinet du docteur, elle interrogea Asmaa : «Ne crois tu pas que tu me dois des confessions ? » Asmaa pâlit de rougeur, tous ces mensonges ne peuvent pas être pardonnés simplement. Mais elle devait avouer.
Alors en arrivant à la maison, on interpella tout le monde pour assister à une réunion familiale. Tout le monde était étonné et on n’avait rien compris, on regardait les uns, les autres avec curiosité. Soudain Mamie articula : «N’allez- vous rien dire ? ». Par ses mots, Asmaa prononça : «Maintenant que je ne mets plus de plâtre, il est temps que justice soit rendue. Ilyass n’as-tu pas d’aveux ? ». Etonné, surpris, Ilyass prononça : «Pardon Yasmine c’était de ma faute, écoutez tout le monde Yasmine est innocente, c’était Asmaa et moi qui avions inventé le jeu et Asmaa n’avait pas aperçu la tête du lit à cause de l’obscurité et l’avait cassé. Pardon. »
En entendant ces aveux, mon cœur sauta de joie, et maman, les larmes aux yeux me prit dans ses bras en disant : «Je savais que tu ne pourrais pas le faire, tu es ma fille, pardonne moi, je ne t’ai pas cru, pardonne moi ! »
Malgré ses aveux, Asmaa et Ilyass devrait être punis, alors on les priva de tout ce qui est sucré et ils devaient lire une bande dessinée et en rendre compte dans un résumé.
Comme ceci justice était rendue et on ne joua plus à ce dangereux jeu !





Fin

Avez d'autres remarqueqs?
Merci infiniment.
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Re: récit de vie

Message par professeur 13 » jeu. 6 mars 2014 00:50

L'expression est de qualité, mais il reste des fautes d'orthographe.
A ce stade de l'année de 3°, tu dois savoir les corriger toute seule.
Je te demanderais donc de te relire en faisant attention aux fautes d'accords (sujet/verbe + participe passé).
Bon courage.
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » jeu. 6 mars 2014 19:30

Merci infiniment.
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Re: récit de vie

Message par professeur 12 » jeu. 6 mars 2014 20:21

Yasmine,
Pour compléter le professeur 13 :
Il y a aussi une expression à clarifier soulignée en rouge. Deux améliorations ont été suggérées à certains de tes mots (ou expressions) employés. Tu as bien tenu compte des remarques précédentes des professeurs, donc tu as bien progressé. Continue ainsi !
Verrouillé