EE : évoquer un lieu de l'enfance
Posté : lun. 20 févr. 2012 22:31
bonjour, pouvez-vous me corriger ma rédaction, me dire si je peux ajouter des choses et me dire si j'ai respecté les consignes ?
voici le sujet :
à la manière de Tahar ben Jelloun évoquez un lieu de votre enfance en commençant par"il existe..." et en concluant par" ce(cet,cette...) est dans ma mémoire"
voici le barème :
-préparer une phrase d'introduction qui indiquera le nom de l'endroit évoqué. /2
-dégager une caractéristique principale (comme étroitesse de la rue dans le texte) liée a une sensation (odeurs,couleur) employer un riche lexical des sensations. /7
-employer des expansions du nom pour décrire ce lieu. /4
-prévoir une formule qui indique que votre description s’intègre dans un récit autobiographique. /2
voici le texte :
il existe dans la medina de fès une rue si étroite qu'on appelle "la rue pour un seul" elle est la ligne d'entrée du labyrinthe,longue et sombre. les murs des maisons ont l'air de se toucher vers le haut. on peut passer d'une terrasse a l'autre sans effort. les fenêtres aussi se regardent et s'ouvrent sur des intimités. si une seule personne peut passer à la fois, il est bien sur exclu que les ânes,surtout chargés, puissent y trouver passage.
cette rue est dans ma mémoire ancrée comme un souvenir vif
voici ma rédaction :
Il existe dans la ville de F-M une petite ruelle qui donne sur des maisons étrangement disposés. Apparaît justement derrière les maisons qui bordent cette allée, un terrain agricole, où se trouve une cabane, bien humide. L'odeur des animaux qui circulent librement dans les rues ou encore l'odeur de l'alimentation qui reste à désirée, est parfois désagréable. Pour y arriver, je dois traverser un chemin, étroit et interminable, dont le début du chemin qui est situé dans mon jardin. Quand je me mets à marcher, plus je m’éloigne, plus ma maison devient petite. Sur mon chemin, je dois parfois surmonter des obstacles, comme escalader un mur, ou traverser une petite cour d’eau. Lorsque j’aperçois la cabane, je me dépêche d’y monter car c'est une petite cabane qui est suspendus à un arbre très grand. L’intérieur de celle-ci est vide, car je m’assois au sol, je ferme les yeux et me je mets à écouter les bruits qui me parviennent de l’extérieur. Parfois, mon silence s’interrompt à cause de l’odeur qui se dégage de l’extérieur. Quelques fois, lorsque j’écoute les bruits qui me parviennent d’un autre monde, appelé la Terre, -car ma cabane est un monde à part, rien que pour moi-, tel les aboiements des chiens,… j’écris des poèmes sans rien voir juste grâce aux bruits que j’entends. Les moments que je passe dans cette cabane sont vraiment très précieux pour moi car lorsque je vais à l’école, je me sens triste d’être éloigné de ma cabane, même si mon école se trouve juste à un kilomètre de chez moi. Un jour, pendant que je traversais le long chemin qui mène à la cabane et après avoir escaladé le mur, un grand chien très féroce m’empêcha de passer. Mais je courus à toute vitesse et montai le plus vite possible dans ma cabane. Depuis ce jour, ma cabane est mon héros car elle m’a sauvé d’un terrible danger. J’apporte chaque année un gâteau que je prépare pour fêter le jour de la construction de ma cabane. Les jours où je suis triste, je vais dans mon monde qui est ma cabane pour y être plus heureux. Mes meilleurs et plus mauvais jours se passe dans ma cabane.
Cette cabane est, et restera toujours dans ma mémoire.
merci d'avance pour vos réponses.
voici le sujet :
à la manière de Tahar ben Jelloun évoquez un lieu de votre enfance en commençant par"il existe..." et en concluant par" ce(cet,cette...) est dans ma mémoire"
voici le barème :
-préparer une phrase d'introduction qui indiquera le nom de l'endroit évoqué. /2
-dégager une caractéristique principale (comme étroitesse de la rue dans le texte) liée a une sensation (odeurs,couleur) employer un riche lexical des sensations. /7
-employer des expansions du nom pour décrire ce lieu. /4
-prévoir une formule qui indique que votre description s’intègre dans un récit autobiographique. /2
voici le texte :
il existe dans la medina de fès une rue si étroite qu'on appelle "la rue pour un seul" elle est la ligne d'entrée du labyrinthe,longue et sombre. les murs des maisons ont l'air de se toucher vers le haut. on peut passer d'une terrasse a l'autre sans effort. les fenêtres aussi se regardent et s'ouvrent sur des intimités. si une seule personne peut passer à la fois, il est bien sur exclu que les ânes,surtout chargés, puissent y trouver passage.
cette rue est dans ma mémoire ancrée comme un souvenir vif
voici ma rédaction :
Il existe dans la ville de F-M une petite ruelle qui donne sur des maisons étrangement disposés. Apparaît justement derrière les maisons qui bordent cette allée, un terrain agricole, où se trouve une cabane, bien humide. L'odeur des animaux qui circulent librement dans les rues ou encore l'odeur de l'alimentation qui reste à désirée, est parfois désagréable. Pour y arriver, je dois traverser un chemin, étroit et interminable, dont le début du chemin qui est situé dans mon jardin. Quand je me mets à marcher, plus je m’éloigne, plus ma maison devient petite. Sur mon chemin, je dois parfois surmonter des obstacles, comme escalader un mur, ou traverser une petite cour d’eau. Lorsque j’aperçois la cabane, je me dépêche d’y monter car c'est une petite cabane qui est suspendus à un arbre très grand. L’intérieur de celle-ci est vide, car je m’assois au sol, je ferme les yeux et me je mets à écouter les bruits qui me parviennent de l’extérieur. Parfois, mon silence s’interrompt à cause de l’odeur qui se dégage de l’extérieur. Quelques fois, lorsque j’écoute les bruits qui me parviennent d’un autre monde, appelé la Terre, -car ma cabane est un monde à part, rien que pour moi-, tel les aboiements des chiens,… j’écris des poèmes sans rien voir juste grâce aux bruits que j’entends. Les moments que je passe dans cette cabane sont vraiment très précieux pour moi car lorsque je vais à l’école, je me sens triste d’être éloigné de ma cabane, même si mon école se trouve juste à un kilomètre de chez moi. Un jour, pendant que je traversais le long chemin qui mène à la cabane et après avoir escaladé le mur, un grand chien très féroce m’empêcha de passer. Mais je courus à toute vitesse et montai le plus vite possible dans ma cabane. Depuis ce jour, ma cabane est mon héros car elle m’a sauvé d’un terrible danger. J’apporte chaque année un gâteau que je prépare pour fêter le jour de la construction de ma cabane. Les jours où je suis triste, je vais dans mon monde qui est ma cabane pour y être plus heureux. Mes meilleurs et plus mauvais jours se passe dans ma cabane.
Cette cabane est, et restera toujours dans ma mémoire.
merci d'avance pour vos réponses.