William Wordsworth, "Les jonquilles"

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marine

William Wordsworth, "Les jonquilles"

Message par marine » ven. 3 févr. 2012 14:07

bonjour, nous sommes dans la séquence de la poésie et notre professeur nous a donné ce poème en 1er pr que nous l'analysions :

LES JONQUILLES de William Wordsworth (1815) .

J’errais solitaire comme un nuage
Qui flotte au-dessus des vallées et des monts,
Quand tout-à-coup je vis une nuée,
Une foule de jonquilles dorées ;
À côté du lac, sous les branches,
Battant des ailes et dansant dans la brise.

Drues comme les étoiles qui brillent
Et scintillent sur la Voie lactée,
Elles s’étendaient en une ligne sans fin
Le long du rivage d’une baie :
J’en vis dix mille d’un coup d’œil,
Agitant la tête en une danse enjouée.

Les vagues dansaient à leurs côtés ; mais
Elles surpassaient les vagues étincelantes en allégresse :
Un poète ne pouvait qu’être gai,
En une telle compagnie :
Je les contemplais, les contemplais mais pensais peu
Au présent qu’elles m’apportaient :

Car souvent, quand je m’allonge dans mon lit,
L’esprit rêveur ou pensif,
Elles viennent illuminer ma vie intérieure
Qui est la béatitude de la solitude ;
Et mon cœur alors, s’emplit de plaisir
Et danse avec les jonquilles.



question (travail à faire ) :

Analyser ce poème.
Donner les éléments les plus importants de ce poème; essayer de faire un plan en 3 parties que montre ce poème ; voir ce que les phrases signifient, ........ ?

ce travail nous aide à nous préparer pour la seconde , c'est pour notre futur en fait
notre professeur regarde notre niveau pour la seconde avec ce poème à peu près ....
j'attends vos réponses avec impatience et vous remercie d'avance.....

Moi, je n'ai pas vraiment compris le texte
On a d'abord un terme qui se répète, le mot important dans ce texte , ce sont les jonquilles ......
professeur 6
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Re: travailler sur un poème

Message par professeur 6 » sam. 4 févr. 2012 07:59

Marine,
Il faudrait que tu sois plus précise quant au travail demandé. Ton professeur a sans doute donné des consignes; lesquelles ?
D'autre part, nous voulons bien t'aider, mais nous ne ferons pas le travail à ta place. Lis mieux ce poème, qui n'est pas difficile, essaie de comprendre l'importance des jonquilles pour le poète : pour cela analyse par exemple les temps utilisés et tu verras déjà apparaître deux moments. Relève aussi des figures de style et explique-les. Voici quelques conseils, quelques pistes. A toi de travailler !
A bientôt, propose-nous ce que tu as trouvé et nous pourrons mieux t'aider.
professeur 13
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Re: travailler sur un poème

Message par professeur 13 » sam. 4 févr. 2012 09:07

Tu es bien en classe de Première ?
Tu as donc su lire que ce forum s'adresse à des collégiens.
Nous en sommes désolés, mais nous ne pourrons t'aider davantage si tu es en Lycée.
marine

Re: travailler sur un poème

Message par marine » sam. 4 févr. 2012 11:24

La consigne est : analyser le poème .
Je suis en 3ème, notre professeur nous prépare pour la rentrée en seconde.
Je vais essayer de regarder cela de plus près
....
professeur 12
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Re: travailler sur un poème

Message par professeur 12 » sam. 4 févr. 2012 12:06

Bonjour Marine,
Le professeur précédent t'a donné de très bons conseils pour débuter ton analyse. Envoie - nous les résultats de tes recherches.
marine

Re: travailler sur un poème

Message par marine » sam. 4 févr. 2012 12:34

La poésie est écrite en tetrametre iambique.

il y a des rimes : ABABCC.

COMMENT peut-on séparer la 1 ere phrase par exemple en tetrametre iambique ? svp
Le poète nous dit, en termes très simples, l'impression que la vision d'un "champ" de jonquilles a mise et laissée dans son esprit.
" En une telle compagnie :
Cette vision revient parfois à son esprit et l'emplit de plaisir :
"Elles viennent illuminer ma vie intérieure
Qui est la béatitude de la solitude ;
Et mon cœur alors, s’emplit de plaisir
Et danse avec les jonquilles."

"J'ai erré seul comme nuage"
c'est une comparaison car on a comme , le poète se compare sa vie à un nuage ...
on retrouve le mot jonquilles au moins deux fois dans le texte, répétition


Voilà, je ne sais pas quoi dire d'autre sur ce poème ?
professeur 12
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Re: travailler sur un poème

Message par professeur 12 » sam. 4 févr. 2012 13:26

Marine,
Pour tétramètre tu veux dire en fait : trimètre ?
Il faudra organiser davantage ta réponse. Si ce travail doit te préparer à la seconde, alors ton professeur a dû t'expliquer l'organisation de la réponse !?
Sinon nous ferons plu simple...
marine

Re: travailler sur un poème

Message par marine » sam. 4 févr. 2012 13:38

Non tétramètre , j'ai vu cela sur internet.

Et non notre professeur ne nous a rien dit , il veut que nous réfléchissions.

Et je ne sais pas comment vous développer cela. J'ai trouvé juste quelques élemnts que vous devez confirmer.
professeur 12
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Re: travailler sur un poème

Message par professeur 12 » sam. 4 févr. 2012 13:53

Marine,
Puisque tu effectues des recherches sur Internet, on te conseille de les poursuivre pour le poète lui-même, Wordsworth, car cela t'aidera peut-être à trouver les circonstances de composition de ce poème. Mais attention à citer tes sources et à vérifier leur fiabilité.
De plus, essaye de trouver des idées sur la jonquille : quand est-ce qu'elle apparaît, par exemple ?
Vu que tu dois exercer ta sensibilité, ce que tu as dit est un point de départ. Mais pourquoi ne cherches-tu pas les champs lexicaux principaux du poème par exemple ?
Pour la métrique, le problème vient qu'il s'agit d'une traduction, il faudrait retoruver la version anglaise pour voir si tu as raison pour le système iambique (une syllabe brève, la suivante longue)...
marine

Re: travailler sur un poème

Message par marine » sam. 4 févr. 2012 14:04

Pour la métrique, je n'ai pas compris ce que vous vouliez dire ?

Sinon sur internet, j'ai trouvé ces informations :
" c' est une poésie 1804 de William Wordsworth. Il a été inspiré le 1avril 1802 événement dans lequel Wordsworth et sa soeur, Dorothy a trouvé une « longue ceinture » de jonquilles. Il a été la première fois édité dedans 1807, et une version révisée a été libérée dedans 1815. En anthologies que la poésie est parfois intitulé « moi a erré seul comme nuage. »
La poésie est écrite dedans tetrameter iambic.

Contour
Comme la chanson de la demoiselle dans « Reaper solitaire, « la mémoire des jonquilles est gravée à l'eau-forte dans l'esprit et l'âme du haut-parleur à aimer pour toujours. Quand il se sent seul, mat ou enfoncé, il imagine aux jonquilles, et à des acclamations. Le plein impact de la beauté des jonquilles (symbolisant la beauté de la nature) ne l'a pas frappé à l'heure actuelle de les voir, quand il a regardé fixement blanc eux mais beaucoup plus tard quand il seul s'est assis, triste et seul et rappelé leur.
L'inspiration pour la poésie a pu avoir été un tour qu'il a fait avec sa soeur Dorothy autour du lac Ullswater. Dorothy plus tard a écrit dans la référence à cette promenade :
Je n'ai jamais vu des jonquilles si beau elles se sont développées parmi les pierres moussues au sujet de et au sujet de elles, certains ont reposé leurs têtes sur ces pierres comme sur un oreiller pour la lassitude et le repos a jeté et a tournoyé en l'air et a dansé et a semblé comme si elles ont verily ri avec le vent qui a soufflé sur eux au-dessus du lac, elles ont regardé si gaies jamais dansant changer jamais. (Dorothy Wordsworth, le journal de Grasmere) "



ce que j'ai trouvé : ce poème est lyrique, relève aussi peut etre du romantisme, c'est de la sensibilité....
la première ligne est une personnification car il se compare avec un nuage.
Ce poème nous rappelle une saison de printemps car on a des fleurs "les jonquilles" qui y sont évoqués . Ainsi, (par conséquent), ces fleurs montrent qu'il existe une nature dans ce poème ....avec des herbes, tout vert partout ....

en anglais, j'ai trouvé la version qui est :

"Daffodils" (1804)
I WANDER'D lonely as a cloud
That floats on high o'er vales and hills,
When all at once I saw a crowd,

A host, of golden daffodils;
Beside the lake, beneath the trees,
Fluttering and dancing in the breeze.
Continuous as the stars that shine

And twinkle on the Milky Way,
They stretch'd in never-ending line

Along the margin of a bay:
Ten thousand saw I at a glance,
Tossing their heads in sprightly dance.
The waves beside them danced; but they


Out-did the sparkling waves in glee:
A poet could not but be gay,

In such a jocund company:
I gazed -- and gazed -- but little thought
What wealth the show to me had brought:
For oft, when on my couch I lie

In vacant or in pensive mood,
They flash upon that inward eye
Which is the bliss of solitude;
And then my heart with pleasure fills,
And dances with the daffodils.
Verrouillé