Rédaction: Point de vue de Taratonga

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professeur 14
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Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par professeur 14 » mer. 17 oct. 2012 17:31

Bonjour,

Si tu choisis le sen figuré avec l'idée des deux masques du personnage, tu devrais être plus précis dans le vocabulaire. Le Français n'est pas hypocrite s'il trouve le gâteau vraiment bon; en revanche il est envieux s'il désire récupérer les toiles comme celle qui sert à envelopper le dessert (sachant qu'une toile froissée ou abîmée a moins de valeur).
"Gentil" est un terme trop vague, il faudrait définir mieux les sentiments du personnage. La justesse du vocabulaire est importante en 3ème. Cherche des synonymes ou plutôt des mots approchants.
Bon courage.
Mimi3

Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par Mimi3 » mer. 17 oct. 2012 17:34

Merci beaucoup. Mais est-ce que vous voyez la manipulation ? Et aussi, est-ce que j'ai encore des fautes d'orthographes ?
professeur 14
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Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par professeur 14 » mer. 17 oct. 2012 17:38

Bonsoir,

Nous avons déjà répondu à tes deux questions. Relis bien mes deux messages précédents.
Tu n'as pas tenu compte de mes corrections ou conseils. La manipulation serait encore plus nette si dès le début, je le répète, la narratrice exposait son plan de tromperie.
C'est à toi qu'il revient de travailler maintenant.

Bon courage pour corriger les erreurs que tu n'as pas encore su corrigées.
A bientôt sur ce forum.
professeur 14
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Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par professeur 14 » mer. 17 oct. 2012 17:46

Bonjour,

Voici quelques éléments à corriger (soulignés et en gras): Attention les erreurs de majuscule (ponctuation), d'accord ou d'imprécision du vocabulaire ont déjà été signalé dans les messages précédents. Prends le temps d'en tenir compte, cela évitera des échanges inutiles.

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’avait rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi cela parle…

Un matin, je me promenai vers le port et je saluai mes amis. Un bateau arriva de France remplis de français. NON, Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Il était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les masculins français. Après des minutes d'observation, je fus surprise parce que celui-ci me regardait puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, il dit : « bonjour ». Puis, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Après que l'homme m'avait parlé pendant des heures, DEJA SIGNALE DEUX FOIS.j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un artiste. En fait, le Français avait tout quitté ! Il avait arrêté de pratiquer son art et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur mon île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il était sensible aux qualités de l’humanité. A TOI DE CORRIGER VRAIMENT. DEJA SIGNALE DEUX FOIS. A cet instant, je m’étais dit que l’homme pouvait être quelqu'un de bien et je pourrais m’entendre avec lui.


REPRENDS LES AUTRES MESSAGES, LES MEMES REMARQUES RESTENT, TU N4AS PAS TOUT CORRIGE.

Bon courage pour corriger Vraiment.
A bientôt sur le forum.
Mimi3

Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par Mimi3 » mer. 17 oct. 2012 18:34

J'ai modifié ma rédaction car je me suis rendu compte en lisant mon cours que je devais montrer au français que les préjugés sont faux. Est-ce qu'on peut bien voir que j'ai bien mis la manipulation et ainsi montrer que les préjugés sont faux ?


Donc voilà ma rédaction corrigée :

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’avait rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi cela parle…

Un matin, je me promenai vers le port et je saluai mes amis. Un bateau arriva de France remplis de Français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Il était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les masculins français. Après des minutes d'observation, je fus surprise parce que celui-ci me regardait puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, il dit : « bonjour ». Puis, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Cependant, l'homme me parla des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un artiste. En fait, le Français avait tout quitté ! Il avait arrêté de pratiquer son art et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur mon île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il voulait revenir aux vrais valeurs humaines. A cet instant, je m’étais dit que l’homme pouvait être quelqu'un de bien et je pourrais m’entendre avec lui.

Trois mois passèrent, l'homme habitait toujours sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreux, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé dans une jolie toile que j’avais peint. Ce tableau ressemblait à celle de Gauguin. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le Français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je lui en referais un autre le jour même. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrait la bouche mais ne disait rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Je fus choquée pendant des minutes. Pendant ces minutes, je me disais qu’il m’avait lancé ce regard car mes vêtements ne couvraient pas mes seins ou bien parce que j’avais enveloppé le gâteau dans une toile. Après il partit sans explication. Puis, je pensai… Et pensai encore… Et c’est là, que je me dis qu’il croyait que j’étais une folle vu que ma toile qui ressemblait à Gauguin couvrait le gâteau. Et comme Gauguin était un célèbre artiste, peut-être il croyait que je prenais tous sorts de tableaux coûteux pour recouvrir mes cadeaux. Par la suite, j’avais l'impression d'être un monstre ! Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je voulais le manipuler pour qu'il pensait que les toiles étaient celles de Gauguin car peut-être il voudrait les prendre pour les vendre. En réalité, je voulais qu’il parte de mon île avec mes toiles qui ressemblaient à Gauguin parce que je ne l’aimais plus en tant qu’ami parce qu’il m’avait lancé un regard de préjuger. Le lendemain, il vint chez moi pour me faire un compliment sur mon gâteau. Ce compliment, ne me fit ni chaud ni froid donc je souriai avec indulgence puis je continuai à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, l'homme Français vint chez moi. Je croyais qu’il allait m’agresser. Il me posa des questions… Mais il y en avait qu’une question qui m’avait beaucoup surprit ! C'était celle-là : « Tout... un tas ? » Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc en lui faisant croire cela, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir mes douzaines de toiles dans une grange. Il les observait comme s’il était un connaisseur. On aurait cru que c'était un amateur d'art. J’avais décidé de lui offrir tous mes tableaux. Pourquoi tout ? Parce que j'avais qu'une seule hâte, de le voir partir ! De plus, cela prouvait que tout ce qu’il avait dit auparavant comme être ’’sensible à l’humanité’’ prouvait qu’il mentait. Personnellement, si j'avais dit à quelqu'un que j'étais sensible à l'humanité à la première rencontre, je n'aurais jamais accepté un tel don ! Mais malheureusement, ''mon amateur '' accepta ! Donc, quand celui-ci accepta, il me proposa sa montre. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il ne voulait pas me la donner. Cependant, le ''Français amateur'' me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaire. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu'il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre (ce que je voulais !). Mais si seulement ce Français pouvait juste comprendre que je le manipulais et que les toiles n'étaient pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le généreux, il me proposa de l’argent. Puis il m'expliqua pourquoi il me l’offrirait. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Pendant une semaine, je n’eus aucune nouvelle du Français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’était qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulé en disant que les toiles étaient celles de Gauguin ! Puis, il pourrait voir que ‘’la sauvage’, ce qu’il m’avait représenté dans son regard n’était pas dupe à comprendre ce qui se passait dans sa tête.
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Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par professeur 14 » mer. 17 oct. 2012 19:58

Bonjour,

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’avait rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi cela parle…

Un matin, je me promenai vers le port et je saluai mes amis. Un bateau arriva de France remplis (rempli) de Français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. RAJOUTE UNE PHRASE OU DEUX SUR DES PREJUGES. COMMENT LE NARRATEUR IMAGINE-T-IL LES FRAN9AIS? RICHES APPAREMMENT ET PEU SYMPATIQUES. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Il était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les masculins français. Après des minutes d'observation, je fus surprise parce que celui-ci me regardait puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, il dit : « Bonjour». Puis, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Cependant, l'homme me parla des heures, j’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un artiste. En fait, le Français avait tout quitté ! Il avait arrêté de pratiquer son art et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur mon île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il voulait revenir aux vrais (à mettre au genre et a u noùmbre de "valeurs") valeurs humaines. A cet instant, je m’étais dit que l’homme pouvait être quelqu'un de bien et je pourrais m’entendre avec lui.

Trois mois passèrent, l'homme habitait toujours sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreux, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé dans une jolie toile que j’avais peint. Ce tableau ressemblait à celle de Gauguin. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le Français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je lui en referais un autre le jour même. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrait la bouche mais ne disait rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! AJoute une phrase du genre: Moi qui croyais que les Français étaient tous très polis et respectueux!)Je fus choquée pendant des minutes. Pendant ces minutes, je me disais qu’il m’avait lancé ce regard car mes vêtements ne couvraient pas mes seins ou bien parce que j’avais enveloppé le gâteau dans une toile. Après il partit sans explication. Puis, je pensai… Et pensai encore… Et c’est là, que je me dis qu’il croyait que j’étais une folle vu que ma toile qui ressemblait à Gauguin couvrait le gâteau. Et comme Gauguin était un célèbre artiste, peut-être il croyait (peut-être croyait-il) que je prenais toutes sortes de tableaux coûteux pour recouvrir mes cadeaux. Par la suite, j’avais l'impression d'être un monstre ! Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je voulais le manipuler pour qu'il pensait que les toiles étaient celles de Gauguin car peut-être il voudrait les prendre pour les vendre. En réalité, je voulais qu’il parte de mon île avec mes toiles qui ressemblaient à Gauguin parce que je ne l’aimais plus en tant qu’ami parce qu’il m’avait lancé un regard méprisant et plein de préjugés (ATTENTION? IL FAUT MODIFIER LE PASSAGE OU IL EST QUESTION DE LA SAUVAGERIE DU FRANCAIS: ECRIS PLUTOT QU'IL JETTE UN REGARD EN COIN DE DEGOUT A LA NARRATRICE, ET QU'IL CROYAIT NE PAS ETRE VU AU MOMENT OU IL LANCE CE REGARD). Le lendemain, il vint chez moi pour me faire un compliment sur mon gâteau. Ce compliment, ne me fit ni chaud ni froid donc je souriai (passé simple du verbe sourire: regarde dans ton manuel pour les verbes du troisième groupe). avec indulgence puis je continuai à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, l'homme Français NON, DEJA SIGNALE vint chez moi. Je croyais qu’il allait m’agresser. Il me posa des questions… Mais il y en avait qu’une question qui m’avait beaucoup surprit ! C'était celle-là : « Tout... un tas ? » iNUTILE, A SUPPRIMER Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc en (NON: pour) lui faisant croire cela, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir mes douzaines de toiles dans une grange. Il les observait comme s’il était un connaisseur. On aurait cru que c'était un amateur d'art A SUPPRIMER. J’avais décidé de lui offrir tous mes tableaux. Pourquoi tout ? Parce que j'avais qu'une seule hâte, de le voir partir ! De plus, cela prouvait que tout ce qu’il avait dit auparavant comme être ’’sensible à l’humanité’’ prouvait qu’il mentait. Personnellement, si j'avais dit à quelqu'un que j'étais sensible à l'humanité à la première rencontre, je n'aurais jamais accepté un tel don ! Mais malheureusement, ''mon amateur '' accepta ! Donc, quand celui-ci accepta, REPETITION A SUPPRIMER il me proposa sa montre en échange (AJOUTER: en échange). Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il ne voulait pas vraiment ( AJOUTER: vraiment) me la donner. Cependant, le ''Français amateur'' me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaire. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu'il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre (ce que je voulais !). Mais si seulement ce Français pouvait juste comprendre que je le manipulais et que les toiles n'étaient pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le généreux, il me proposa de l’argent (Mais il n'a plus de fortune en arrivant sur l'île; précise qu'il propose d'envoyer l'argent de la vente des toiles). Puis il m'expliqua pourquoi il me l’offrirait. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Pendant une semaine, je n’eus aucune nouvelle du Français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’était qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulé en disant que les toiles étaient celles de Gauguin ! Puis, il pourrait voir que ‘’la sauvage’ , ce qu’il m’avait représenté dans son regard n’était pas dupe à comprendre ce qui se passait dans sa tête. TRES MALADROIT, PROBLEME DE SYNTAXE. CE PASSAGE EST A REECRIRE: "la sauvage" n'avait pas été dupe et avait bien compris qu'à la première occasion l'homme d'affaire égoïste l'emporterait sur l'homme généreux venu chercher la simplicité loin de son pays.

Il reste des erreurs d'orthographe que tu n'as pas corrigées en tenant compte des messages précédents.
Les préjugés semblent plutôt bien montrés. La manipulation existe dans ton texte, sans être forcément très convaincante.
Corrige ton travail qui répond assez bien au sujet.

Conseil à l'avenir: relis-toi mieux et plus tranquillement.
Bon courage et à bientôt sur ce forum.
Mimi3

Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par Mimi3 » mer. 17 oct. 2012 20:30

Bonsoir, merci beaucoup.

Donc voilà :

J’ai peint plusieurs tableaux à propos de mon passé mais il n’y avait qu’un seul tableau qui m’avait rendu célèbre ! Je vais vous expliquer de quoi cela parle…

Un matin, je me promenai vers le port et je saluai mes amis. Un bateau arriva de France remplis de Français. Je me précipitai pour voir s’ils avaient des cheveux blonds ou bruns. Dans mon île, les français avaient une réputation d'être les plus riches. Cela m’amusait beaucoup car dans mon île, on était tous bruns. Le premier individu qui sortit était un homme blanc. Il était maigre avec des cheveux blonds et des yeux bleu clair. J’aimais bien voir les masculins Français. Après des minutes d'observation, je fus surprise parce que celui-ci me regardait puis vint dans ma direction. Quand il arriva devant moi, il dit : « Bonjour ». Puis, il m’exposa les raisons qui l’avaient fait venir sur l’archipel. Cependant, l'homme me parla des heures. J’étais surprise car celui-ci était riche et se révélait être un artiste. En fait, le Français avait tout quitté ! Il avait arrêté de pratiquer son art et il n’avait plus d’argent quand il arriva sur mon île ! Ce dernier avait tout abandonné parce qu’il voulait revenir aux vraies valeurs humaines. A cet instant, je m’étais dit que l’homme pouvait être quelqu'un de bien et je pourrais m’entendre avec lui.

Trois mois passèrent, l'homme habitait toujours sur mon île. Pour lui montrer que j’étais quelqu’un de généreux, je lui offris un gâteau aux noix enveloppé dans une jolie toile que j’avais peint. Ce tableau ressemblait à celle de Gauguin. Quelques heures après, alors que j’étais devant ma maison et en face de la lagune en train de fumer ma pipe, j’entendis une voix masculine. Quand je me retournai précipitamment, je vis que c'était le Français. En fait, il était venu pour me dire que mon gâteau était bon. Puis, comme j'étais contente, je lui dis que je lui en referais un autre le jour même. En le regardant bien, je vis que celui-ci ouvrait la bouche mais ne disait rien. Je croyais qu’il parlait tout seul vu qu’il me fixait des yeux et tremblait. Puis d’un coup, l’homme me jeta un regard de sauvage ! Moi, qui croyait que les français étaient très polis et respectueux. Je fus choquée pendant des minutes. Pendant ces minutes, je me disais qu’il m’avait lancé ce regard car mes vêtements ne couvraient pas mes seins ou bien parce que j’avais enveloppé le gâteau dans une toile. Après il partit sans explication. Puis, je pensai… Et pensai encore… Et c’est là, que je me dis qu’il croyait que j’étais une folle vu que ma toile qui ressemblait à Gauguin couvrait le gâteau. Et comme Gauguin était un célèbre artiste, peut-être il croyait que je prenais tous sorts de tableaux coûteux pour recouvrir mes cadeaux. Par la suite, j’avais l'impression d'être un monstre ! Dans l’après-midi, je lui envoyai un gâteau enveloppé dans une autre toile qui ressemblait aussi à celle de Gauguin. Je voulais le manipuler pour qu'il pensait que les toiles étaient celles de Gauguin car peut-être il voudrait les prendre pour les vendre. En réalité, je voulais qu’il parte de mon île avec mes toiles qui ressemblaient à Gauguin parce que je ne l’aimais plus en tant qu’ami parce qu’il m’avait lancé un regard en coin de dégoût et il croyait ne pas être vue. Le lendemain, il vint chez moi pour me faire un compliment sur mon gâteau. Ce compliment ne me fit ni chaud ni froid donc je souris avec indulgence puis je continuai à fumer devant lui pour lui montrer que je m’en moquais de ses compliments. Par la suite, j’eus la merveilleuse idée ; lui envoyer trois gâteaux dont l’un serait non enveloppé. Quelques jours après, brusquement, il vint chez moi. Je croyais qu’il allait m’agresser. Il me posa des questions… Mais il y en avait qu’une qui m’avait beaucoup surprit ! C'était celle-là : « Tout... un tas ? » Je voulus lui répondre avec sincérité puis je me dis « non ! » parce que je voulais lui faire croire que les toiles n'étaient pas de moi. Donc pour lui faire croire cela, je lui dis que les tableaux appartenaient à mon grand-père décédé.

Je l'emmenai voir mes douzaines de toiles dans une grange. Il les observait comme s’il était un connaisseur. J’avais décidé de lui offrir tous mes tableaux. Pourquoi tout ? Parce que j'avais qu'une seule hâte, de le voir partir ! De ne plus voir ces gens comme lui ! Bref, il accepta mes toiles. Cela prouvait que tout ce qu’il avait dit auparavant comme  être ’’sensible à l’humanité’’ prouvait qu’il mentait. Personnellement, si j'avais dit à quelqu'un que j'étais sensible à l'humanité à la première rencontre, je n'aurais jamais accepté un tel don ! Mais malheureusement, ''mon amateur '' accepta ! Donc, quand celui-ci approuva, il me proposa sa montre en échange. Moi je la refusai car en le regardant bien, j’avais compris qu’il ne voulait pas vraiment me la donner. Cependant, le ''Français amateur'' me dit qu’il quittait mon île pour repartir en France pour des raisons humanitaire. Seulement, moi, j’avais compris depuis longtemps qu'il voulait juste s’enfuir avec mes toiles pour les vendre (ce que je voulais !). Mais si seulement ce Français pouvait juste comprendre que je le manipulais et que les toiles n'étaient pas celles de Gauguin ! Ensuite, en faisant le généreux, il me proposa de l’argent or je croyais qu'il avait tout abandonné c'est-à-dire l'argent... Puis il m'expliqua pourquoi il me l’offrirait. J’acceptai cet argent car j’en avais besoin pour acheter plus d’outils de peinture.

Pendant une semaine, je n’eus aucune nouvelle du Français ! Bref, tout ce que je savais c’était qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulé en disant que les toiles étaient celles de Gauguin ! Puis, il pourrait voir que ‘’la sauvage’, mon portrait qu'il m'avait décrit au cour de son regard n’était pas dupe à comprendre ce qui se passait dans sa tête.
professeur 14
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Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par professeur 14 » mer. 17 oct. 2012 20:57

Bonsoir,
Ton travail a avancé mais tu ne tiens toujours pas compte de toutes mes remarques. Voici un exemple:

Pendant une semaine, je n’eus aucune nouvelle du Français ! C’était vraiment un faux ami ! Bref, tout ce que je savais c’était qu’il allait être surpris quand il découvrirait que je l'avais manipulé en disant que les toiles étaient celles de Gauguin ! Puis, il pourrait voir que ‘’la sauvage’ , ce qu’il m’avait représenté dans son regard n’était pas dupe à comprendre ce qui se passait dans sa tête. TRES MALADROIT, PROBLEME DE SYNTAXE. CE PASSAGE EST A REECRIRE: "la sauvage" n'avait pas été dupe et avait bien compris qu'à la première occasion l'homme d'affaire égoïste l'emporterait sur l'homme généreux venu chercher la simplicité loin de son pays.[/u

Remplace ce que j'ai souligné et signalé en majuscules comme TRES MALADROIT par ce que je te propose après les deux points:
"la sauvage" n'avait pas été dupe et avait bien compris qu'à la première occasion l'homme d'affaire égoïste l'emporterait sur l'homme généreux venu chercher la simplicité loin de son pays.


Prends le TEMPS de relire.
Conseils pour tes prochaines rédaction: souligne les mots les plus importants dans le sujet.
Fais une lecture pour les idées.
Fais une relecture pour l'orthographe et la grammaire, avec un dictionnaire.
Bon courage et à bientôt pour un autre travail sur ce forum.
Mimi3

Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par Mimi3 » mer. 17 oct. 2012 21:31

Merci d'avoir répondu et expliqué. Je suivrai votre conseil à ma prochaine rédaction.

PS : Vous n'avez pas des astuces pour que je m'améliore en orthographe car effectivement, c'est énervant de faire tout le temps des fautes "bêtes".

Bonne soirée.
professeur 1
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Re: Rédaction: Point de vue de Taratonga

Message par professeur 1 » jeu. 18 oct. 2012 13:54

Les fautes que l'on peut faire ne sont jamais "bêtes". Elles sont souvent dues à un manque d'attention. Il faut donc se relire plusieurs fois. Chaque lecture se focalisera sur un point précis : les fautes d'accord sujet/verbe, puis nom/adjectif, les fautes de conjugaison. Pour acquérir également plus de vocabulaire, il faut lire.

A bientôt sur ce forum, peut-être.
Verrouillé