questions sur texte

[professeur 12]

Céline,
Ce que tu dois voir c'est la gradation du personnage. Il évolue de la préméditation de son geste au passage à l'acte puis à la dissimulation de son acte.
Ce qui montre un personnage calculateur, cynique, sans émotion. Mais à la fin il se retrouve non plus dans la position du chasseur mais du chassé par les policiers.

[céline]

Il évolue de la préméditation de son geste au passage à l'acte puis à la dissimulation de son acte.


Je n'ai pas compris cette phrase que vous avez écrite ?

[céline]

Re,


1) A propos du narrateur, nous pouvons dire qu'il n 'éprouve aucun sentiment envers le vieux monsieur. Il est considéré comme fou et un malade par les autres. Il est trop nerveux. Meme à la fin, nous voyons ses nerfs toujours continuer. Cette "folie" traduit un caractère destructeur du narrateur puisqu'il a décidé de tuer le vieux monsieur. Il y a une gradation du personnage : il évolue de la préméditation de son geste au passage à l'acte puis à la dissimulation de son acte. Ce qui montre un personnage calculateur, cynique, sans émotion. Mais à la fin il se retrouve non plus dans la position du chasseur mais du chassé par les policiers.


2) Le "coeur " est important dans l'histoire car ce coeur ci nous révèle la culpabilité du narrateur pour les policiers. Le coeur représente le battement du coeur du vieux monsieur. A la fin, ce battement du coeur devient de plus en plus vite.

Commenter :
Le titre "le coeur révélateur" montre la vie du narrateur : ce coeur révélateur signifie la culpabilité du narrateur. Ce coeur révèle que le narrateur a tué le vieux monsieur.



Pouvez vous me corriger les deux questions car mes pharses ne sont pas vraiment correctes je crois...et me rajouter quelques idées que je n'ai pas mises.
svp.....

Je vous remercie beaucoup d'avance.....

[professeur 12]

Céline,
On peut dire que tu as finalisé la pemière question, c'est bien.
Pour la 2, ton expression n'est pas tout à fait bonne : tu dois dire : "Le coeur est resté vivant malgré sa dissimulation et il trahit la mauvaise action. Cela signifie que la vie est plus forte que la mort."

[céline]

Oui je vois mais pour les 2 premières questions, qu'est ce que je pourrais rajouter encore car mon professeur a dit au minimum 30 lignes donc cela n'est pas suffisant.


Qu'est ce que je pourrais mettre svp ?

[professeur 12]

Céline,
Tes réponses doivent être développées avec des citations, des explications de figures de style, les valeurs des temps, tout à l'heure tu évoquais les pronoms. Nous avons pour l'instant évoqué le sens général pour t'aider. Maintenant justifions nos propos par le détail : ¨
Par exemple tu dis: "Il est considéré comme fou : " Vous me croyez fou ? Mais les fous ne savent rien." (ligne ?). L'opposition montre que le narrateur tient absolument à se démarquer de la folie car il a conscience de commettre un crime.
Comprends-tu cette démarche, Céline ? Peux-tu essayer de l'imiter pour chacune de tes idées ?

[céline]

Bonsoir,

J'ai mis les citations que j'ai trouvées déjà pour la première question :

" Vrai ! — je suis très nerveux, épouvantablement nerveux, je l’ai toujours été ; mais pourquoi prétendez-vous que je suis fou ? La maladie a aiguisé mes sens, — elle ne les a pas détruits, — elle ne les a pas émoussés. "

= A propos du narrateur, nous pouvons dire qu'il n 'éprouve aucun sentiment envers le vieux monsieur. Il est considéré comme fou et un malade par les autres. Il est trop nerveux. (je ne sais pas quoi dire d'autres sur ces pharses ??)


ne vous ai-je pas dit que ce que vous preniez pour de la folie n’est qu’une hyperacuité des sens ? —= Cette "folie" traduit un caractère destructeur du narrateur puisqu'il a décidé de tuer le vieux monsieur.


Je sentis qu’il fallait crier ou mourir ! — et maintenant encore, l’entendez-vous ? — écoutez ! plus haut ! — plus haut ! — toujours plus haut ! — toujours plus haut !

= Meme à la fin, nous voyons ses nerfs toujours continuer.il s'énerve.


Misérables ! — m’écriai-je, — ne dissimulez pas plus longtemps ! J’avoue la chose ! — arrachez ces planches ! c’est là ! c’est là ! — c’est le battement de son affreux cœur ! »
= Il y a une gradation du personnage : il évolue de la préméditation de son geste au passage à l'acte puis à la dissimulation de son acte. Ce qui montre un personnage calculateur, cynique, sans émotion. Mais à la fin il se retrouve non plus dans la position du chasseur mais du chassé par les policiers.


Mais dites moi si j'ai oublié des citations importantes à citer et les explications svp ?

[professeur 12]

Céline
C'est beaucoup mieux.
Conseil : n'exagère pas la longueur des citations, essaye de donner leur numéro de ligne on peut mieux les retrouver ainsi.
As-tu repéré des figures de style et de rhétorique particulières : par exemple l'emploi important de la métonymie : "l'oeil" du vieillard qui semble sans cesse regarder le narrateur, l'épier comme s'il était l'oeil de la conscience morale...
Si tu en trouves rajoute-les à tes commentaires précédents, puis mets ensemble tout ce que tu as écrit pour le 1). Envoie-nous le tout pour qu'on le finalise. Bon courage.

[céline]

1)
" Vrai ! — je suis très nerveux, ... La maladie a aiguisé mes sens " . A propos du narrateur, nous pouvons dire qu'il n 'éprouve aucun sentiment envers le vieux monsieur. "Il est considéré comme fou : " Vous me croyez fou ? Mais les fous ne savent rien." L'opposition montre que le narrateur tient absolument à se démarquer de la folie car il a conscience de commettre un crime.Il est considéré comme fou et un malade par les autres. Il est trop nerveux. L' emploi important de la métonymie oeil montre que "l'oeil" du vieillard semble sans cesse regarder le narrateur, l'épier comme s'il était l'oeil de la conscience morale. " ne vous ai-je pas dit que ce que vous preniez pour de la folie n’est qu’une hyperacuité des sens ? ". Cette "folie" traduit un caractère destructeur du narrateur puisqu'il a décidé de tuer le vieux monsieur. " Je sentis qu’il fallait crier ou mourir ! — et maintenant encore, l’entendez-vous ?.." Meme à la fin, nous voyons ses nerfs toujours continuer. il s'énerve. " Misérables ! — m’écriai-je, — ne dissimulez pas plus longtemps ! J’avoue la chose ! — arrachez ces planches ! c’est là ! c’est là ! — c’est le battement de son affreux cœur ! » Il y a une gradation du personnage : il évolue de la préméditation de son geste au passage à l'acte puis à la dissimulation de son acte. Ce qui montre un personnage calculateur, cynique, sans émotion. Mais à la fin il se retrouve non plus dans la position du chasseur mais du chassé par les policiers. Le narrateur affirme " écoutez ! plus haut ! — plus haut ! — toujours plus haut ! — toujours plus haut ! " ; " c’est là ! c’est là ! " ; ici, le narrateur fait des répétitions.

J'ai tout repris mais je ne sais pas comment expliquer les répétitions et svp reformulez mes phrases quand elles ne sont pas bonnes.

svp ...

[céline]

Je rajoute cela dans mon message précédent,

1) C'est une fonction expressive du langage car la nouvelle que nous avons est centrée sur l'émetteur c'est à dire le narrateur car c'est lui qui parle avec "je".

Pouvez vous me corriger les phrases que j'ai écrites déjà pour la 1 ère question ? svp


Merci d'avance...