Orthographe : accords
Modérateur : moderateur
Orthographe : accords
Bonjour , pour jeudi j'ai un exercice où il faut faire les accords manquants : je l'ai déjà :
Les soirs de mai , à l'heure où la terre et le ciel s'anéantissaient avec lenteur dans une paix suprême , je quittais la ville et gagnais les champs : les coteaux aride couverts de ronces et de genévriers ; ou bien les bords de la petite rivière, ce torrent de décembre , si discret aux beaux jours ; ou encore un coin perdu de la plaine tiède des embrasements de midi, vaste terrains jeune et rouge plantés d'amandiers aux branches maigres de vieux oliviers grisonnant et de vigne laissant sur le sol leurs ceps entrelacé . Pauvre terre desséché , elle flamboie au soleil , gris et nu , entre les prairies gras de la Durance et les bois d'oranges du littoral .
Les soirs de mai , à l'heure où la terre et le ciel s'anéantissaient avec lenteur dans une paix suprême , je quittais la ville et gagnais les champs : les coteaux aride couverts de ronces et de genévriers ; ou bien les bords de la petite rivière, ce torrent de décembre , si discret aux beaux jours ; ou encore un coin perdu de la plaine tiède des embrasements de midi, vaste terrains jeune et rouge plantés d'amandiers aux branches maigres de vieux oliviers grisonnant et de vigne laissant sur le sol leurs ceps entrelacé . Pauvre terre desséché , elle flamboie au soleil , gris et nu , entre les prairies gras de la Durance et les bois d'oranges du littoral .
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Re: Accord....
Bonsoir Pierre,
Tu as oublié nombre d'accords dans le groupe nominal. J'ai souligné tous les GN où l'accord est à revoir.
Les soirs de mai , à l'heure où la terre et le ciel s'anéantissaient avec lenteur dans une paix suprême , je quittais la ville et gagnais les champs : les coteaux aride couverts de ronces et de genévriers ; ou bien les bords de la petite rivière, ce torrent de décembre , si discret aux beaux jours ; ou encore un coin perdu de la plaine, tiède des embrasements de midi, vaste terrains jaune et rouge plantés d'amandiers aux branches maigres de vieux oliviers grisonnant et de vigne laissant sur le sol leurs ceps entrelacé . Pauvre terre desséché , elle flamboie au soleil , gris et nu , entre les prairies gras de la Durance et les bois d'oranges du littoral .
Tu as oublié nombre d'accords dans le groupe nominal. J'ai souligné tous les GN où l'accord est à revoir.
Les soirs de mai , à l'heure où la terre et le ciel s'anéantissaient avec lenteur dans une paix suprême , je quittais la ville et gagnais les champs : les coteaux aride couverts de ronces et de genévriers ; ou bien les bords de la petite rivière, ce torrent de décembre , si discret aux beaux jours ; ou encore un coin perdu de la plaine, tiède des embrasements de midi, vaste terrains jaune et rouge plantés d'amandiers aux branches maigres de vieux oliviers grisonnant et de vigne laissant sur le sol leurs ceps entrelacé . Pauvre terre desséché , elle flamboie au soleil , gris et nu , entre les prairies gras de la Durance et les bois d'oranges du littoral .
Re: Accord....
Bonjour , mon texte avec les accords :
Les soirs de mai, à l'heure où la terre et le ciel s'anéantissaient avec lenteur dans une paix suprême, je quittais la ville et gagnais les champs : Les coteaux arides couverts de ronces et de genévriers ; ou bien les bords de la petite rivière, ce torrent de décembre, si discret aux beaux jours ; ou encore un coin perdu de la plaine, tiède des embrasements de midi, vaste terrain jaunes et rouge planté d'amandiers aux branches maigres de vieux oliviers grisonnants et de vigne laissant sur le sol leurs ceps entrelacés . Pauvre terre desséché, elle flamboie au soleil, gris et nu, entre les prairies gras de la Durance et les bois d'oranges du littoral
Les soirs de mai, à l'heure où la terre et le ciel s'anéantissaient avec lenteur dans une paix suprême, je quittais la ville et gagnais les champs : Les coteaux arides couverts de ronces et de genévriers ; ou bien les bords de la petite rivière, ce torrent de décembre, si discret aux beaux jours ; ou encore un coin perdu de la plaine, tiède des embrasements de midi, vaste terrain jaunes et rouge planté d'amandiers aux branches maigres de vieux oliviers grisonnants et de vigne laissant sur le sol leurs ceps entrelacés . Pauvre terre desséché, elle flamboie au soleil, gris et nu, entre les prairies gras de la Durance et les bois d'oranges du littoral
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- Messages : 851
- Enregistré le : mer. 16 sept. 2009 10:38
Re: Accord....
Pierre,
Il demeure quelques oublis :
Vastes terrains jaunes et rouges
plantés
vignes
desséchée
grise et nue
prairies grasses.
Voilà nous avons fait le tour des problèmes. Recopie avec précision.
A bientôt sur le forum.
Il demeure quelques oublis :
Vastes terrains jaunes et rouges
plantés
vignes
desséchée
grise et nue
prairies grasses.
Voilà nous avons fait le tour des problèmes. Recopie avec précision.
A bientôt sur le forum.
Re: Accord....
D'accord et merci beaucoup !