explication de texte

[alexandra]

pour les lignes, oui je mettrai entre parenthèses après.

Pour mon introduction :

C 'est un article extrait du quotidien El païs , écrit en 2003 par Javier Marias. Il a été colaborateur, essayiste.
Le titre du texte est "Le politiquement correct", qui est aussi le thème de ce texte. Javier Marias montre l'exemple de la publicité.
Quel est l'enjeu de la publicité dans le politiquement correcte ?
Tout d'abord, nous verrons la présentation de l'affaire de la montre puis l' explication du scandale dans une deuxième partie. Et pour finir, nous nous intéresserons au point de vue de l'auteur sur cet article .

partie 1 :

Il essaye d'être objectif dans la présentation des faits.Il devient subjectif en donnant son point de vue qui condamne une uniformisation de cette façon de penser, qu'il a peur de voir se généraliser et il a l'impression que c'est déjà le cas. La publicité est un exemple de ce thème. Il y a un grand contrôle sur la publicité. Cela est trivial. L'auteur la qualifie de stupide, d'une chose insignifiante, brève. Cependant, la publicité incite les personnes à acheter les produits qui sont en promotion. Le narrateur donne l'exemple de Marlen Aznarez (ligne 4). De plus, la publicité peut être mensongère car elle influence les gens. Le premier but est de vendre et d'être efficace. En conséquence, son objectif est de créer un impact. Or,'El Pais' reçoit des plaintes. Leur sujet est le sexisme. Malen Aznarez condamne le sexisme dans le pays et commente les plaintes par l'insertion de la montre , ligne 5-6, "Les femmes sont compliquées et non pas ponctuelles."


partie 2 :

C'est un commentaire sexiste, un cliché. C'est un slogan pour provoquer, faire rire. Javier décide de retirer la publicité car c'est une preuve de sexisme, une image dégradée, nocive des femmes. C'est un slogan comique, humeur du second niveau, que le journaliste appelle : la subjectivité. ce qui le gêne c'est l'exagération du scandale pour les choses petites selon lui. Le journaliste peut avoir peur des retombées. C'est absurde de retirer la publicité.



JE VOUDRAIS que vous me dites si mes deux parties là sont correctes ou pas , est ce que les phrases sont correctes , ....est ce que j'ai bien séparé la partie 1 et la partie 2.
Les éléments sont ils dans le bon endroit.



pour la partie 3, je travaille dessus et vous tiens au courant par la suite ....

[professeur 12]

Aexandra,
Tu regarderas ton envoi où des corrections de langue, de syntaxe, et d'articulations logiques ont été apportées. Cela convient.
On a donc procédé à la suppression des redites.

Intro. : problématique correcte
En 1/ donne la définition de "trivial" (cf. dictionnaire)
Evite les répétitions de mots
des progrès quant à l'emploi des liens logiques, des rajouts ont été faits.
Explique le slogan final.

En 2/ explication correcte du scandale
Définis le mot "subjectivité" pour qu'on te comprenne.

A tout à l'heure !

[alexandra]

partie 3 :
Le premier exemple de discrimination cité par Marias, est celle du slogan de la publicité d'une montre d'une marque : «presque aussi compliqué que d'une femme, mais ponctuelle,« Je reçois des accusations de «sexisme». Le deuxième exemple est un chapitre d'un roman qui dit: «Quand vous êtes seul, quand on vit seul ...". La discrimination a été alléguée par une femme qui serait plutôt «quand une personne ..." au lieu de "quand vous ...". Mais ce n'était pas vraiment un cas de discrimination parce que le narrateur était un homme, il semblait donc logique d'utiliser le masculin.Ces deux exemples sont très différents, car dans le premier cas il s'agit d'une publicité, alors que dans le second cas, la discrimination a eu lieu sur le chapitre d'un roman.
Je pense donc que l'auteur d'un roman a beaucoup plus de liberté d'écriture que le publiciste.
En outre, il n'y avait pas de discrimination ici parce que le narrateur était un homme, il était logique de mettre tout sur les hommes. Dans le cas de la publicité, cette annonce est très sexiste. Le rôle d'une publicité est d'attirer l'attention et de faire sourire les gens.
Et c'est précisément ce que fait cette annonce.On ne peut pas dire quoi que ce soit dans une publicité (pas dire n'importe quoi) , car il ya des problèmes graves dont l'on ne peut parler sur une annonce (publicité). Les hommes et les femmes sont très différents,et donc s'il n'y a plus de sexisme , il faut accepter la réalité. Il semble un peu absurde ce contrôle qui est exercé par certains, parce qu'ils veulent absolument qu'il y ait une égalité totale entre hommes et femmes, mais (ce contrôle)il n'a jamais pu être parce qu'ils possèdent des différences. En outre, chacun a le droit de s'exprimer, d'exprimer ses points de vue, sa vision. Surtout dans le cas du roman.
Il y a des cas de publicité ou des types de discours public qui utilisaient des mots racistes ou de très graves problèmes, et quand il s'agit de discrimination ou de censure,il peut y avoir (comporter) des conséquences graves. Mais dans d'autres cas , il faut exagérer. la publicité selon l'auteur peut dire tout ce qui le veut.


J'ai enlevé un paragraphe de la partie 3 mais après je ne sais plus quoi enlever d'autre, mais pourtant j'ai encore beaucoup de phrases ..je ne sais que faire

[alexandra]

partie 1 :
tout d'abord, je ne sais pas , je n'ai pas trouvé les mots de répétitions et sinon j'ai rajouté quelques petites choses (les definitions):



Javier essaye d'être objectif dans la présentation des faits.Il devient subjectif en donnant son point de vue qui condamne une uniformisation de cette façon de penser, qu'il a peur de voir se généraliser et il a l'impression que c'est déjà le cas. La publicité est un exemple de ce thème. Il y a un grand contrôle sur la publicité. Cela est trivial c'est-à-dire banal, vulgaire, sans intérêt. L'auteur la qualifie de stupide, d'une chose insignifiante, brève. Cependant, la publicité incite les personnes à acheter les produits qui sont en promotion. Le narrateur donne l'exemple de Marlen Aznarez (ligne 4). De plus, la publicité peut être mensongère car elle influence les gens. Le premier but est de vendre et d'être efficace. En conséquence, son objectif est de créer un impact. Or,'El Pais' reçoit des plaintes. Leur sujet est le sexisme. Malen Aznarez condamne le sexisme dans le pays et commente les plaintes par l'insertion de la montre , ligne 5-6, "Les femmes sont compliquées et non pas ponctuelles."

je n'ai pas trouvé l'explication du slogan final

partie 2 :

C'est un commentaire sexiste, un cliché. C'est un slogan pour provoquer, faire rire. Javier décide de retirer la publicité car c'est une preuve de sexisme, une image dégradée, nocive des femmes. C'est un slogan comique, humeur du second niveau, que le journaliste appelle : la subjectivité. La subjectivité est un concept vulgaire. ce qui le gêne c'est l'exagération du scandale pour les choses petites selon lui. Le journaliste peut avoir peur des retombées. C'est absurde de retirer la publicité.

[professeur 12]

Alexandra,
Tu ne dois pas oublier ta problématique.
tes phrases du début sur les exemples ne sont pas très utiles.
Essaye de réfléchir à l'idée suivante : en quoi cet exemple de discrimination et de censure pose-t-il le problème de la liberté d'expression (subjectivité) ?

[professeur 12]

Alexandra,
La définition du mot "trivial" est bonne.
Pour le slogan, il reprend l'idée-préjugé, cliché mysogine des femmes toujours soi-disant en retard, ce qui est faux bien sûr.
Partie 2 : d'accord.
Reprends la 3 en répondant à la question posée.

[alexandra]

Pour la partie 3 je n 'ai pas compris votre question

[professeur 12]

Alexandra,
En fait c'est ta question, tu la poses depuis le début...
N'as-tu pas parlé de "subjectivité" ? As-tu défini ce mot ?

[alexandra]

Oui je l'ai déjà définie.


ah mais il me reste encore la conclusion à faire.


pour la partie 3, je vous ai dit, tout me semble important pour moi, dnc je n'arrive pas à enlever des phrases .

je ne sais pas vraiment quoi faire....

[professeur 12]

Alexandra,
Ce n'est pas compliqué. Pour la 3, à l'aide de ce que tuas écrit, tu réponds à ta question de problématique.
Ensuite tu fais ta conclusion et ce sera terminé.
Bon travail !