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professeur 8

Re: rédaction

Message par professeur 8 » dim. 24 oct. 2010 18:14

Marie,

J'ai corrigé les erreurs d'orthographe de ton texte avant de le publier.

Mais il reste des erreurs dans l'emploi des temps : tu ne peux pas mettre tous les verbes à l'imparfait ! Le temps de base pour une narration au passé est le passé simple. Vois quelles actions tu dois donc mettre au passé simple.

Dans ta quatrième phrase, en outre, tu dois utiliser un subjonctif après "ils avaient peur" : ce ne sera donc pas "savait".

"et ensuite sur son père". Tu dois remettre la construction précédente "sur la joue de la mère de Julien" : "sur celle de son père" ("celle" reprend "la joue").

"Vous m'avez rien dit /je le sais que maintenant/ ça sert à rien / si vous m'aimez plus" : tu as oublié une partie de la négation dans ces expressions, pense à la rajouter (même si ton texte imite le style oral, tu dois mettre les négations en entier !)

Voilà pour la correction de la langue.

Pour ce qui est du contenu, tu n'es pas du tout hors-sujet, rassure-toi. Il me semble seulement que tu pourrais développer certaines idées : "ils étaient inquiets, ils avaient peur" explique pourquoi ils sont inquiets, de quoi ils ont peur (pense qu'ils ne savent pas encore que Julien a découvert qu'il était adopté, ils doivent donc se demander avec angoisse ce qui lui arrive, sans savoir du tout de quoi il retourne). De même, il ne suffit pas de dire "la directrice se demandait pourquoi ils pleuraient" : traduis mieux ses interrogations, montre-la (elle est mal à l'aise, elle est gênée d'assister à cette scène, elle veut se montrer amicale mais elle craint de se mêler de ce qui ne la regarde pas ...). Bref, tu n'as repris que les idées que je t'avais suggérées, mais sans rien développer : c'est dommage, ton texte est sec, on ne "voit" pas tes personnages. Etoffe-le, développe, rajoute, précise et ta production n'en sera que meilleure !

Bon courage pour le travail à partir de ce brouillon ! N'hésite pas à nous proposer tes améliorations.
Marie

Re: rédaction

Message par Marie » lun. 25 oct. 2010 09:15

Bonjour ,

Je n'ai pas trop compris pour le " subjonctif "
professeur 8

Re: rédaction

Message par professeur 8 » lun. 25 oct. 2010 09:43

Bonjour Marie,

Dans ta phrase, tu écris : "Ils avaient peur que leur fils savait". Or, après des verbes ou des expressions qui expriment la peur, la crainte, on utilise le mode subjonctif. Le verbe "savoir" qui suit "avaient peur" doit donc être au subjonctif. Cela donne : "Ils avaient peur que leur fils sache".

Avance bien dans ta rédaction avant de nous proposer tes améliorations. Continue à travailler avec courage !
Marie

Re: rédaction

Message par Marie » lun. 25 oct. 2010 10:00

Bonjour,

Alors j'ai amélioré ma rédaction :

La directrice de l'école enmena les parents de Julien chez l'infirmière. Ils étaient inquiets pour Julien , ils ne savaient pas qu'est ce qui lui est arrivé, Ils avaient peur qui est quelques choses de grave. Ils ouvrient la porte, ils virent leur fils couché et endormi. Ils réfléchirent pourquoi il aurait fait ce malèse, ils se posaient des questions et soudain ils avaient peur qu'il sache pour l'adoption et qu'il ne leur adresse plus la parole. Soudain une larme coula sur la joue de sa mère et puis celle de son père et ils se mirent tous les deux à pleurer. La directrice était gener, mal à l'aise, elle voulait les calmés mais elle craigné de se mêler de ce qui ne la regarde pas. Julien se reveilla et vit ses parents en train de pleuer.
<< Vous etes des MENTEURS ! << Cria Julien.
Ses parents sursautèrent.
<< Julien, qu'est ce qui t'arrive ?! >> dit la mère de Julien.
<< Pourquoi vous ne m'avez rien dit ?! Je le sais maintenant ! >> Cria Julien.
<< De quoi parle tu mon ... >> Demandèrent ces parents mais Julien les arrêtèrent :
<< Vous m'avez adopté et vous voulez m'abandonné ! >>
Julien se mit à pleurer et sa mère s'approcha pour lui faire un câlin mais il la repoussa brusquement.
<< Ca ne sert a rien, je le sais maintenant et si vous ne m'aimez plus dites le moi tout de suite ! >>
Le père de Julien se sentit très mal car c'est lui qui avait persuadé à sa femme de ne rien lui dire.
Marie

Re: rédaction

Message par Marie » lun. 25 oct. 2010 10:32

Bonjour ,

Ma prof ma demandé de faire une introduction narrative mais elle veut que je la fasse au début du texte ( 1/3 du texte ) et le texte doit comporter 30 lignes , et je voudrais sa voir si c'est bien une introduction narrative ?
professeur 4
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Re: rédaction

Message par professeur 4 » lun. 25 oct. 2010 10:35

Bonjour Marie ! Tu as beaucoup travaillé et avec sérieux ! Il reste encore quelques petits passages à retravailler : je vais citer quelques phrases de ton texte :
"ils ne savaient pas qu'est ce qui lui est arrivé" : "qu'est ce qui lui est arrivé" serait une bonne formulation si les personnages parlaient directement, or là ce n'est pas le cas, il faut donc écrire : "ils ne savaient pas ce qui lui était arrivé (il faut aussi penser à la concordance des temps !)

"Ils avaient peur qui est quelques choses de grave" : commence plutôt ta phrase ainsi : "ils avaient peur que ..."

"Ils ouvrient" : attention à la conjugaison du passé-simple !

"Ils réfléchirent pourquoi il aurait fait ce malèse" : commence plutôt ta phrase par "ils se demandèrent...", regarde aussi dans le dictionnaire l'orthographe du dernier mot que tu as utilisé !

"soudain ils avaient peur qu'il sache pour l'adoption" : utilise le passé simple après "soudain" ; retravaille la dernière partie de ta phrase "qu'il sache..." : il y aurait une formulation plus jolie !

"puis celle de son père" : puis SUR celle de son père

"La directrice était gener" : ton dernier mot est mal orthographié...il ne faut pas utiliser l'infinitif ici ...
"elle voulait les calmés ": à corriger
"elle craigné" : à corriger
" de ce qui ne la regarde ": il y a une concordance de temps à appliquer ici.
"etes" : à corriger

"<< Julien, qu'est ce qui t'arrive ?! >> dit la mère de Julien. " :le verbe "dire" n'est pas ici le plus adéquat, de plus tu peux préciser comment est la voix de la mère à ce moment précis, dans quel état d'esprit elle est ou encore quels gestes elle fait à ce moment là.

"parle tu" : attention à l'accord du sujet avec le verbe.
"ces parents ": à corriger
J"ulien les arrêtèrent" : attention à l'accord du sujet avec le verbe.
"vous voulez m'abandonné" : à corriger
Bon courage pour la suite !
professeur 4
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Re: rédaction

Message par professeur 4 » lun. 25 oct. 2010 10:38

Marie a écrit :Bonjour ,

Ma prof ma demandé de faire une introduction narrative mais elle veut que je la fasse au début du texte ( 1/3 du texte ) et le texte doit comporter 30 lignes , et je voudrais sa voir si c'est bien une introduction narrative ?
Tu as bien fait une introduction narrative, il faudrait essayer de la développer encore un peu : essaie d'imaginer cette scène comme s'il s'agissait d'un film et visualise ce que feraient les acteurs : cela pourra peut-être t'aider à trouver de l'inspiration !
Marie

Re: rédaction

Message par Marie » lun. 25 oct. 2010 10:47

Merci beaucoup ! :D

Quand j'aurai fini toute ma rédaction je vous l'enverrai .

A bientôt !
Marie

Re: rédaction

Message par Marie » lun. 25 oct. 2010 13:12

Bonjour,

J'ai amélioré mon texte et j'ai terminé l'histoire :

La directrice de l'école enmena les parents de Julien chez l'infirmière. Ils étaient inquiets pour lui, ils ne savaient pas ce qui lui était arrivé, ils avaient peur que quelques choses de grave lui était arrivé. Ils ouvrirent la porte et ils virent leur fils couché et endormi. Ils se demandèrent pourquoi il aurait fait ce malaise, ils se posaient des questions et soudain ils avaient peur que qu'il sache pour l'adoption et qu'il ne leur adresse plus la parole. Soudain une larme coula sur la joue de se mère et sur celle de son père et ils se mirent tous les deux à pleurer. La directrice était gênée, mal à l'aise, elle voulait les calmer mai elle craigner de se mêler de ce qui ne la regardait pas. Julien se réveilla et vit ses parents en train de pleurer.
<< Vous êtes que des MENTEURS ! >> Cria Julien. Ses parents sursautèrent.
<< Julien, qu'est ce qui t'arrive ?! >> demanda sa mère d'une voix douce en s'approchant doucement de Julien .
<< Pourquoi vous ne m'avez rien dit ? >> Cria julien en pleurant << Je le sais, si vous me cachez encore quelques choses autant me le dire tout de suite ! >> La directrice, gênée, sortit de l'infirmerie pour les laisser seul un moment.
<< De quoi parles-tu mon .... >> Demanda son père mais Julien l'arrêta. << Vous m'avez adopté et vous voulez m'abandonner ! >> Julien se mit a pleurer et sa mère s'approcha pour lui faire un câlin mais il la repoussa brusquement.
<< Nous allons tout t'expliquer ! >> dit la mère a Julien.
<< Ça ne sert a rien, je le sais maintenant et si vous ne m'aimez plus dites le moi tout de suite. Je l'ai remarqué , votre amour pour moi n'est plus le même depuis que Agnès est là ! >> Le père de Julien se sentit très mal car c'est lui qui avait persuadé à sa femme de ne rien lui dire à propos de l'adoption.
<< Ta mère n'y est pour rien, je lui est dit de ne rien te dire pour l'instant, pour pas que tu sois terrorisé, mais je ne sais pas qui t'a mis cette terrible idée, mais c'est un mensonge! Nous t'aimons et tu resteras notre fils pour la vie! >> Expliqua le père a Julien. Julien respira un grand coup et ajoute :
<< Vous n'allez pas d'abandonner ? >>
<< Mais pas du tout mon chéri ! >> dit la mère de Julien. << Nous sommes quand même désolé de t'avoir caché cet " nouvelle " . >>
professeur 8

Re: rédaction

Message par professeur 8 » lun. 25 oct. 2010 18:36

Bonsoir Marie,

Je fais mes remarques directement sur ton texte, ce sera plus facile pour toi de corriger !

La directrice de l'école enmena (vérifie l'orthographe de ce verbe !) les parents de Julien chez l'infirmière. Ils étaient inquiets pour lui, ils ne savaient pas ce qui lui était arrivé, ils avaient peur que quelques choses (cette expression s'utilise toujours au singulier) de grave lui était arrivé. Ils ouvrirent la porte et ils (tu n'es pas obligée de répéter ce pronom sujet) virent leur fils couché et endormi. Ils se demandèrent pourquoi il aurait fait (le temps n'est pas bon : il faut le plus que parfait) ce malaise, ils se posaient des questions et soudain ils avaient peur qu'il sache pour l'adoption et qu'il ne leur adresse plus la parole. Soudain une larme coula sur la joue de sa mère et sur celle de son père et ils se mirent tous les deux à pleurer. La directrice était gênée, mal à l'aise, elle voulait les calmer mai elle craigner (conjugue ce verbe à l'imparfait et accorde-le bien avec le sujet)de se mêler de ce qui ne la regardait pas. Julien se réveilla et vit ses parents en train de pleurer.
<< Vous êtes que (tu as à nouveau oublié une partie de la négation) des MENTEURS ! >> cria Julien. Ses parents sursautèrent.
<< Julien, qu'est-ce qui t'arrive ?! >> demanda sa mère d'une voix douce en s'approchant doucement (évite la répétition en trouvant soit un autre adjectif, soit un autre adverbe) de Julien .
<< Pourquoi vous ne m'avez rien dit ? >> cria Julien en pleurant. << Je le sais, si vous me cachez encore quelques choses (voir remarque plus haut)autant me le dire tout de suite ! >> La directrice, gênée, sortit de l'infirmerie pour les laisser seul (accorde cet adjectif au nom auquel il se rapporte) un moment.
<< De quoi parles-tu mon .... >> demanda son père mais Julien l'arrêta. << Vous m'avez adopté et vous voulez m'abandonner ! >> Julien se mit a (es-tu sûre qu'il s'agisse de l'auxiliaire "avoir" ? ...)pleurer et sa mère s'approcha pour lui faire un câlin mais il la repoussa brusquement.
<< Nous allons tout t'expliquer ! >> dit la mère a (même remarque) Julien.
<< Ça ne sert a (même remarque) rien, je le sais maintenant et si vous ne m'aimez plus dites le moi tout de suite. Je l'ai remarqué , votre amour pour moi n'est plus le même depuis qu'Agnès est là ! >> Le père de Julien se sentit très mal car c'est lui qui avait persuadé à (il ne faut pas de préposition ici, le verbe "persuader" se construit avec un COD, "persuader quelqu'un" et non pas à quelqu'un) sa femme de ne rien lui dire à propos de l'adoption.
<< Ta mère n'y est pour rien, je lui est (tu t'es trompée d'auxiliaire, c'est l'auxiliaire "avoir' qu'il faut ici) dit de ne rien te dire pour l'instant, pour pas que tu sois terrorisé (tu dois vouloir dire "traumatisé", non ? ), mais je ne sais pas qui t'a mis (rajoute : "en tête") cette terrible idée, mais c'est un mensonge! Nous t'aimons et tu resteras notre fils pour la vie! >> expliqua le père a (voir plus haut) Julien. Julien respira un grand coup et ajoute (pourquoi ce présent tout à coup ? Garde le passé simple !) :
<< Vous n'allez pas m'abandonner ? >>
<< Mais pas du tout, mon chéri ! >> dit la mère de Julien. << Nous sommes quand même désolé (l'adjectif s'accorde avec "nous") de t'avoir caché cet (quel est le genre du mot "nouvelle" ? ...) " nouvelle " . >>
Verrouillé