Expression écrite : suite de texte
Modérateur : moderateur
Expression écrite : suite de texte
Bonjour,
Pour le 18 octobre je dois remettre une expression écrite :
Voici l'incipit d'une nouvelle. A vous d'en imaginer la suite en respectant les consignes suivantes :
Consignes :
Le texte est un récit complet avec un dénouement 3 p
La chute de la nouvelle réserve au lecteur un effet de surprise 2p
La suite est cohérente avec le début 1p
Donnez un titre à la nouvelle 2p
La nouvelle est organisée sous forme de paragraphes 1p
Le narrateur est omniscient 1p
Introduisez un retour en arrière 2p en jaune 2p
Introduisez une anticipation (en vert) 2 p
Orthographe lexicale et syntaxique 5p
Voici le texte :
Corentin s’étonne de n’être pas plus impressionné. Remarquez, il ne s’est jamais évanoui de sa vie. Mais il n’a jamais rencontré de cadavre non plus. Monsieur Mouron est étendu dans toute sa rondeur. Il porte son costume trois pièces et son éternel nœud papillon. Ce gros dandy cachait ses bourrelets sous des vêtements impeccables. Par terre, tas flasque comme une flaque de boue, il a l’air paisible. Son rictus s’est transformé en sourire d’ange grassouillet. Chacune de ses cuisses est un tronc d’arbre. Cette masse est couverte d’un sang qui coule encore. Une aiguille de métronome en plein cœur, quelle fin horrible pour un prof de solfège. Corentin n’est pas attendri par cet ancien ennemi qui ne respire plus, mais s’il l’a maintes fois maudit, il n’a jamais souhaité sa mort. M. Mouron abusait de son pouvoir et se servait du solfège comme d’un instrument de torture. Mais qui en voulait à ce point au prof sadique ? Combien de fois a-t-il poussé Célia la violoncelliste aux larmes ? Et la petite Natacha, n’a-t-elle pas juré que si elle le rencontrait une nuit de pleine lune, elle lui enfoncerait sa flûte dans la gorge ? Et Guillaume, si sublime au piano, garçon massif et fort qui s’est écroulé après avoir raté l’examen de fin d’année en hurlant : "Qu’il crève !" Mouron était aussi détesté par ses collègues du conservatoire. Mais nul ne le haïssait autant que la belle directrice, Madame Van den Blois, qui n’attendait que la retraite de ce croque-notes. L’a-t-elle hâtée ? Et si oui pourquoi ? Personne ne connaît le moindre détail de sa vie, mais avec l’arrivée de la police, on ne va pas tarder à être servi.
« Encore une journée à rester chez soi ! » clame une voix stridente à travers les enceintes de la radio. Derrière la fenêtre, qui reflète le brasier mourant de la cheminé, le ciel pleure de grosses gouttes tièdes. Le jour se couche. La coupole bleue dévoile, ce soir, une peinture écarlate, et dans le cabinet du commissaire Fouquet, un long soupir se fait entendre.
Merci d'avance
Marianne
Pour le 18 octobre je dois remettre une expression écrite :
Voici l'incipit d'une nouvelle. A vous d'en imaginer la suite en respectant les consignes suivantes :
Consignes :
Le texte est un récit complet avec un dénouement 3 p
La chute de la nouvelle réserve au lecteur un effet de surprise 2p
La suite est cohérente avec le début 1p
Donnez un titre à la nouvelle 2p
La nouvelle est organisée sous forme de paragraphes 1p
Le narrateur est omniscient 1p
Introduisez un retour en arrière 2p en jaune 2p
Introduisez une anticipation (en vert) 2 p
Orthographe lexicale et syntaxique 5p
Voici le texte :
Corentin s’étonne de n’être pas plus impressionné. Remarquez, il ne s’est jamais évanoui de sa vie. Mais il n’a jamais rencontré de cadavre non plus. Monsieur Mouron est étendu dans toute sa rondeur. Il porte son costume trois pièces et son éternel nœud papillon. Ce gros dandy cachait ses bourrelets sous des vêtements impeccables. Par terre, tas flasque comme une flaque de boue, il a l’air paisible. Son rictus s’est transformé en sourire d’ange grassouillet. Chacune de ses cuisses est un tronc d’arbre. Cette masse est couverte d’un sang qui coule encore. Une aiguille de métronome en plein cœur, quelle fin horrible pour un prof de solfège. Corentin n’est pas attendri par cet ancien ennemi qui ne respire plus, mais s’il l’a maintes fois maudit, il n’a jamais souhaité sa mort. M. Mouron abusait de son pouvoir et se servait du solfège comme d’un instrument de torture. Mais qui en voulait à ce point au prof sadique ? Combien de fois a-t-il poussé Célia la violoncelliste aux larmes ? Et la petite Natacha, n’a-t-elle pas juré que si elle le rencontrait une nuit de pleine lune, elle lui enfoncerait sa flûte dans la gorge ? Et Guillaume, si sublime au piano, garçon massif et fort qui s’est écroulé après avoir raté l’examen de fin d’année en hurlant : "Qu’il crève !" Mouron était aussi détesté par ses collègues du conservatoire. Mais nul ne le haïssait autant que la belle directrice, Madame Van den Blois, qui n’attendait que la retraite de ce croque-notes. L’a-t-elle hâtée ? Et si oui pourquoi ? Personne ne connaît le moindre détail de sa vie, mais avec l’arrivée de la police, on ne va pas tarder à être servi.
« Encore une journée à rester chez soi ! » clame une voix stridente à travers les enceintes de la radio. Derrière la fenêtre, qui reflète le brasier mourant de la cheminé, le ciel pleure de grosses gouttes tièdes. Le jour se couche. La coupole bleue dévoile, ce soir, une peinture écarlate, et dans le cabinet du commissaire Fouquet, un long soupir se fait entendre.
Merci d'avance
Marianne
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Bonjour Marianne,
Tout d'abord, je te félicite parce que tu t'y prends suffisamment tôt pour rédiger ton texte.
Je suppose également que vous avez dû/êtes en train de travailler sur le récit à chute dans votre 1ère séquence. Les consignes données par ton professeur dans les critères de notation sont aussi très claires : tu dois proposer une chute c''est à dire une fin inattendue à ton récit. Pour cela, tu dois distiller au fur et à mesure de ton récit des indices qui conduiront le lecteur à cette chute.
Avant toute chose, tu dois lire attentivement l'extrait donné, repérer toutes les informations données sur les personnages (traits physiques ou de caractère), afin d'éviter les contre-sens. Ensuite tu dois imaginer quelle sera la chute de cette nouvelle : en effet c'est en connaissant toi-même la fin de ton texte que tu pourras écrire ton récit. Donc quand tu auras écrit cette fin, tu pourras te mettre à rédiger le cœur de ton récit en prenant soin de l'organiser en paragraphes (c'est un critères de notation); dans ces paragraphes-là tu devras introduire un retour en arrière (c'est à dire faire un bond dans le passé) et une anticipation (c'est à dire un bond dans l'avenir).
Le travail que tu as à mener est complexe, il te faudra du temps pour le mener à terme. Dans un 1er temps, réfléchis à la chute que tu souhaites lui apporter et livre nous tes pistes de réflexion. Nous allons t'aider à mener à bien ce travail. Alors à toi de jouer !
Bon courage, et nous attendons de tes nouvelles
Tout d'abord, je te félicite parce que tu t'y prends suffisamment tôt pour rédiger ton texte.
Je suppose également que vous avez dû/êtes en train de travailler sur le récit à chute dans votre 1ère séquence. Les consignes données par ton professeur dans les critères de notation sont aussi très claires : tu dois proposer une chute c''est à dire une fin inattendue à ton récit. Pour cela, tu dois distiller au fur et à mesure de ton récit des indices qui conduiront le lecteur à cette chute.
Avant toute chose, tu dois lire attentivement l'extrait donné, repérer toutes les informations données sur les personnages (traits physiques ou de caractère), afin d'éviter les contre-sens. Ensuite tu dois imaginer quelle sera la chute de cette nouvelle : en effet c'est en connaissant toi-même la fin de ton texte que tu pourras écrire ton récit. Donc quand tu auras écrit cette fin, tu pourras te mettre à rédiger le cœur de ton récit en prenant soin de l'organiser en paragraphes (c'est un critères de notation); dans ces paragraphes-là tu devras introduire un retour en arrière (c'est à dire faire un bond dans le passé) et une anticipation (c'est à dire un bond dans l'avenir).
Le travail que tu as à mener est complexe, il te faudra du temps pour le mener à terme. Dans un 1er temps, réfléchis à la chute que tu souhaites lui apporter et livre nous tes pistes de réflexion. Nous allons t'aider à mener à bien ce travail. Alors à toi de jouer !
Bon courage, et nous attendons de tes nouvelles
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
La fin de mon récit serait qu'il soit mort d'une crise Cardiaque.
Corentin s’étonne de n’être pas plus impressionné. Remarquez, il ne s’est jamais évanoui de sa vie. Mais il n’a jamais rencontré de cadavre non plus. Monsieur Mouron est étendu dans toute sa rondeur. Il porte son costume trois pièces et son éternel nœud papillon. Ce gros dandy cachait ses bourrelets sous des vêtements impeccables. Par terre, tas flasque comme une flaque de boue, il a l’air paisible. Son rictus s’est transformé en sourire d’ange grassouillet. Chacune de ses cuisses est un tronc d’arbre. Cette masse est couverte d’un sang qui coule encore. Une aiguille de métronome en plein cœur, quelle fin horrible pour un prof de solfège. Corentin n’est pas attendri par cet ancien ennemi qui ne respire plus, mais s’il l’a maintes fois maudit, il n’a jamais souhaité sa mort. M. Mouron abusait de son pouvoir et se servait du solfège comme d’un instrument de torture. Mais qui en voulait à ce point au prof sadique ? Combien de fois a-t-il poussé Célia la violoncelliste aux larmes ? Et la petite Natacha, n’a-t-elle pas juré que si elle le rencontrait une nuit de pleine lune, elle lui enfoncerait sa flûte dans la gorge ? Et Guillaume, si sublime au piano, garçon massif et fort qui s’est écroulé après avoir raté l’examen de fin d’année en hurlant : "Qu’il crève !" Mouron était aussi détesté par ses collègues du conservatoire. Mais nul ne le haïssait autant que la belle directrice, Madame Van den Blois, qui n’attendait que la retraite de ce croque-notes. L’a-t-elle hâtée ? Et si oui pourquoi ? Personne ne connaît le moindre détail de sa vie, mais avec l’arrivée de la police, on ne va pas tarder à être servi.
Ainsi donc Monsieur Mouron venait d’être assassiné, du moins pouvait-on le supposer !
Ce gros homme, professeur de solfège, détesté de tous, il n’inspirait pas plus d’émotion qu’un rat mort.
Toutefois, les choses ne pouvaient rester en l’état et une enquête allait être ouverte pour
élucider ce mystère. Découvrirait-on le meurtrier parmi tous ceux (très nombreux) qui
souhaitaient en terminer avec Monsieur Mouron ?
L’inspecteur Brunneti venait d’arriver tout droit des services de la Police Judiciaire. On le
savait déterminé à mener son enquête. D’autant plus qu’il fallait qu’il fasse ses preuves vu qu’il venait de monter de grade.
« Je vais interroger chacun d’entre vous, déclara-t-il à l’assemblée des professeurs et des
élèves qui se trouvait là, et ceci aussi longtemps qu’il le faudra jusqu’à ce que je découvre la vérité sur la mort de Monsieur Mouron »
Corentin s’étonne de n’être pas plus impressionné. Remarquez, il ne s’est jamais évanoui de sa vie. Mais il n’a jamais rencontré de cadavre non plus. Monsieur Mouron est étendu dans toute sa rondeur. Il porte son costume trois pièces et son éternel nœud papillon. Ce gros dandy cachait ses bourrelets sous des vêtements impeccables. Par terre, tas flasque comme une flaque de boue, il a l’air paisible. Son rictus s’est transformé en sourire d’ange grassouillet. Chacune de ses cuisses est un tronc d’arbre. Cette masse est couverte d’un sang qui coule encore. Une aiguille de métronome en plein cœur, quelle fin horrible pour un prof de solfège. Corentin n’est pas attendri par cet ancien ennemi qui ne respire plus, mais s’il l’a maintes fois maudit, il n’a jamais souhaité sa mort. M. Mouron abusait de son pouvoir et se servait du solfège comme d’un instrument de torture. Mais qui en voulait à ce point au prof sadique ? Combien de fois a-t-il poussé Célia la violoncelliste aux larmes ? Et la petite Natacha, n’a-t-elle pas juré que si elle le rencontrait une nuit de pleine lune, elle lui enfoncerait sa flûte dans la gorge ? Et Guillaume, si sublime au piano, garçon massif et fort qui s’est écroulé après avoir raté l’examen de fin d’année en hurlant : "Qu’il crève !" Mouron était aussi détesté par ses collègues du conservatoire. Mais nul ne le haïssait autant que la belle directrice, Madame Van den Blois, qui n’attendait que la retraite de ce croque-notes. L’a-t-elle hâtée ? Et si oui pourquoi ? Personne ne connaît le moindre détail de sa vie, mais avec l’arrivée de la police, on ne va pas tarder à être servi.
Ainsi donc Monsieur Mouron venait d’être assassiné, du moins pouvait-on le supposer !
Ce gros homme, professeur de solfège, détesté de tous, il n’inspirait pas plus d’émotion qu’un rat mort.
Toutefois, les choses ne pouvaient rester en l’état et une enquête allait être ouverte pour
élucider ce mystère. Découvrirait-on le meurtrier parmi tous ceux (très nombreux) qui
souhaitaient en terminer avec Monsieur Mouron ?
L’inspecteur Brunneti venait d’arriver tout droit des services de la Police Judiciaire. On le
savait déterminé à mener son enquête. D’autant plus qu’il fallait qu’il fasse ses preuves vu qu’il venait de monter de grade.
« Je vais interroger chacun d’entre vous, déclara-t-il à l’assemblée des professeurs et des
élèves qui se trouvait là, et ceci aussi longtemps qu’il le faudra jusqu’à ce que je découvre la vérité sur la mort de Monsieur Mouron »
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Bonjour,
La fin de mon récit serait qu'il est mort d'une crise Cardiaque.
Corentin s’étonne de n’être pas plus impressionné. Remarquez, il ne s’est jamais évanoui de sa vie. Mais il n’a jamais rencontré de cadavre non plus. Monsieur Mouron est étendu dans toute sa rondeur. Il porte son costume trois pièces et son éternel nœud papillon. Ce gros dandy cachait ses bourrelets sous des vêtements impeccables. Par terre, tas flasque comme une flaque de boue, il a l’air paisible. Son rictus s’est transformé en sourire d’ange grassouillet. Chacune de ses cuisses est un tronc d’arbre. Cette masse est couverte d’un sang qui coule encore. Une aiguille de métronome en plein cœur, quelle fin horrible pour un prof de solfège. Corentin n’est pas attendri par cet ancien ennemi qui ne respire plus, mais s’il l’a maintes fois maudit, il n’a jamais souhaité sa mort. M. Mouron abusait de son pouvoir et se servait du solfège comme d’un instrument de torture. Mais qui en voulait à ce point au prof sadique ? Combien de fois a-t-il poussé Célia la violoncelliste aux larmes ? Et la petite Natacha, n’a-t-elle pas juré que si elle le rencontrait une nuit de pleine lune, elle lui enfoncerait sa flûte dans la gorge ? Et Guillaume, si sublime au piano, garçon massif et fort qui s’est écroulé après avoir raté l’examen de fin d’année en hurlant : "Qu’il crève !" Mouron était aussi détesté par ses collègues du conservatoire. Mais nul ne le haïssait autant que la belle directrice, Madame Van den Blois, qui n’attendait que la retraite de ce croque-notes. L’a-t-elle hâtée ? Et si oui pourquoi ? Personne ne connaît le moindre détail de sa vie, mais avec l’arrivée de la police, on ne va pas tarder à être servi.
Ainsi donc Monsieur Mouron venait d’être assassiné, du moins pouvait-on le supposer !
Ce gros homme, professeur de solfège, détesté de tous, il n’inspirait pas plus d’émotion qu’un rat mort.
Toutefois, les choses ne pouvaient rester en l’état et une enquête allait être ouverte pour
élucider ce mystère. Découvrirait-on le meurtrier parmi tous ceux (très nombreux) qui
souhaitaient en terminer avec Monsieur Mouron ?
L’inspecteur Brunneti venait d’arriver tout droit des services de la Police Judiciaire. On le
savait déterminé à mener son enquête. D’autant plus qu’il fallait qu’il fasse ses preuves vu qu’il venait de monter de grade.
« Je vais interroger chacun d’entre vous, déclara-t-il à l’assemblée des professeurs et des
élèves qui se trouvait là, et ceci aussi longtemps qu’il le faudra jusqu’à ce que je découvre la vérité sur la mort de Monsieur Mouron »
La fin de mon récit serait qu'il est mort d'une crise Cardiaque.
Corentin s’étonne de n’être pas plus impressionné. Remarquez, il ne s’est jamais évanoui de sa vie. Mais il n’a jamais rencontré de cadavre non plus. Monsieur Mouron est étendu dans toute sa rondeur. Il porte son costume trois pièces et son éternel nœud papillon. Ce gros dandy cachait ses bourrelets sous des vêtements impeccables. Par terre, tas flasque comme une flaque de boue, il a l’air paisible. Son rictus s’est transformé en sourire d’ange grassouillet. Chacune de ses cuisses est un tronc d’arbre. Cette masse est couverte d’un sang qui coule encore. Une aiguille de métronome en plein cœur, quelle fin horrible pour un prof de solfège. Corentin n’est pas attendri par cet ancien ennemi qui ne respire plus, mais s’il l’a maintes fois maudit, il n’a jamais souhaité sa mort. M. Mouron abusait de son pouvoir et se servait du solfège comme d’un instrument de torture. Mais qui en voulait à ce point au prof sadique ? Combien de fois a-t-il poussé Célia la violoncelliste aux larmes ? Et la petite Natacha, n’a-t-elle pas juré que si elle le rencontrait une nuit de pleine lune, elle lui enfoncerait sa flûte dans la gorge ? Et Guillaume, si sublime au piano, garçon massif et fort qui s’est écroulé après avoir raté l’examen de fin d’année en hurlant : "Qu’il crève !" Mouron était aussi détesté par ses collègues du conservatoire. Mais nul ne le haïssait autant que la belle directrice, Madame Van den Blois, qui n’attendait que la retraite de ce croque-notes. L’a-t-elle hâtée ? Et si oui pourquoi ? Personne ne connaît le moindre détail de sa vie, mais avec l’arrivée de la police, on ne va pas tarder à être servi.
Ainsi donc Monsieur Mouron venait d’être assassiné, du moins pouvait-on le supposer !
Ce gros homme, professeur de solfège, détesté de tous, il n’inspirait pas plus d’émotion qu’un rat mort.
Toutefois, les choses ne pouvaient rester en l’état et une enquête allait être ouverte pour
élucider ce mystère. Découvrirait-on le meurtrier parmi tous ceux (très nombreux) qui
souhaitaient en terminer avec Monsieur Mouron ?
L’inspecteur Brunneti venait d’arriver tout droit des services de la Police Judiciaire. On le
savait déterminé à mener son enquête. D’autant plus qu’il fallait qu’il fasse ses preuves vu qu’il venait de monter de grade.
« Je vais interroger chacun d’entre vous, déclara-t-il à l’assemblée des professeurs et des
élèves qui se trouvait là, et ceci aussi longtemps qu’il le faudra jusqu’à ce que je découvre la vérité sur la mort de Monsieur Mouron »
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- Messages : 851
- Enregistré le : mer. 16 sept. 2009 10:38
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Bonjour Marianne,
D'accord pour la crise cardiaque, mais comment expliquer au lecteur de façon crédible l'aiguille de métronome dans le coeur ?
Attention : un paragraphe = 8 à 10 lignes d'un seul bloc.
D'accord pour la crise cardiaque, mais comment expliquer au lecteur de façon crédible l'aiguille de métronome dans le coeur ?
Attention : un paragraphe = 8 à 10 lignes d'un seul bloc.
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Eh bien je ne sais pas, j'y ai passé la matinée de samedi mais je n'ai pas avancé du tout.
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Avez-vous des idées idées juste pour le début ?
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- Messages : 636
- Enregistré le : ven. 6 févr. 2009 08:27
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Marianne,
Il faut avant tout que tu relises attentivement l'incipit qui t'est proposé. Le cadavre découvert par Corentin est un professeur de musique qui a la réputation d'être sadique et d'utiliser le solfège "comme d'un instrument de torture". De plus, il a été tué d'une façon particulière : quelqu'un lui a enfoncé "une aiguille de métronome en plein coeur"(la crise cardiaque ne convient donc pas). Qui a pu lui en vouloir au point de le tuer ? Un de ses élèves ? Plusieurs élèves complices ? Ses collègues qui le détestent aussi ? La directrice ?
Il faut que tu répondes à toutes ces questions afin de trouver des idées et d'organiser ton récit.
Nous attendons tes réponses, tes idées, et nous t'aiderons ensuite à les organiser.
Il faut avant tout que tu relises attentivement l'incipit qui t'est proposé. Le cadavre découvert par Corentin est un professeur de musique qui a la réputation d'être sadique et d'utiliser le solfège "comme d'un instrument de torture". De plus, il a été tué d'une façon particulière : quelqu'un lui a enfoncé "une aiguille de métronome en plein coeur"(la crise cardiaque ne convient donc pas). Qui a pu lui en vouloir au point de le tuer ? Un de ses élèves ? Plusieurs élèves complices ? Ses collègues qui le détestent aussi ? La directrice ?
Il faut que tu répondes à toutes ces questions afin de trouver des idées et d'organiser ton récit.
Nous attendons tes réponses, tes idées, et nous t'aiderons ensuite à les organiser.
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Oui, mais dans le début de texte que la prof nous a donné, on ne sait pas qu'il a été tué par une aiguille de métronome.
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- Messages : 636
- Enregistré le : ven. 6 févr. 2009 08:27
Re: Expression écrite pour le 15 Octobre
Relis bien le texte Marianne ! A la 4ème ligne, il est bien écrit : "Une aiguille de métronome en plein cœur, quelle fin horrible pour un prof de solfège."