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camille

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Message par camille » sam. 12 déc. 2015 21:28

bonsoir,
J'ai une rédaction à faire d'une activité en détail que j'ai apprécié pendant un séjour sportif fait avec le collège.
J'ai choisis l'escalade. Je dois utilisé six mots de trois sensations différentes et 10 mots de trois sentiments différents. En conclusion je dois dire ce que j'ai pensé de cette activité, de ce voyage et quel souvenir j'en garderez.

Voici mon travail
Je vais vous parlez de l'escalade, pratiqué pendant le séjour au Chambon.
Au début, j'appréhendais de faire de l'escalade puisque j'ai le vertige. On est partie chercher notre équipement dans le bâtiment de la structure artificielle afin de choisir un casque et un baudrier. Une fois tout le matériel pris, nous avons fait vingt minutes de marche pour nous rendre à la roche d'Empeyrate. Arrivée sur place, le moniteur nous a expliqué comment mettre le baudrier, le casque, il a effectué une vérification de chacun, puis il nous a expliqué comment faire un nœud en huit et on a du le reproduire plusieurs fois. Après avoir examiné chaque élève que le nœud était correctement fait, il nous a montré comment faire un double huit, et il a fallu le refaire plusieurs fois. Ensuite, il nous a dit :
« L'escalade est un sport dangereux, car il faut être très attentif, à l'écoute de son partenaire qui grimpe, mais aussi observer la roche. »
Tout ceci me terrorisait encore un peu plus. Ma partenaire ne voulait pas commencer, alors il a fallu que je monte la première ce qui ne m'arranger pas, car mon anxiété grandissait de plus en plus. Je commence à tâter la paroi rugueuse afin de pouvoir l'escalader. Après quelques mètres, je me suis rendue compte que la crainte avait disparu et avait laissé place à la joie, au plaisir de vouloir aller plus loin. Et quelle fierté, quand j'ai touché le sommet de la roche rugueuse. Mais, maintenant, il fallait redescendre. J'ai scruté en bas et j'étais ébahie d'avoir grimpé aussi haut. Par contre, la descente était épouvantable, comme avais peur, je voulais rester accrocher à la roche, donc, par ma maladresse, je me suis égratignée le coude. Arrivée en bas, nous avons procédé à l'échange ma collègue n'a pas voulu escalader plus d'un mètre ce qui m'a vexé, car je n'ai pas plus faire le rôle de l'assureur.
Pour conclure, j'ai apprécié l'escalade, de plus j'ai su contrôler mon effroi et faire confiance à ma coéquipière même ci, je n'ai pu la convaincre de grimper plus haut afin de jouer le rôle de l'assureur. Ce voyage m'a permis de découvrir d'autres sports très intéressant et de vivre en collectivité, merci aux organisateurs et accompagnateurs. Je garderais un excellent souvenir de ma semaine au centre de plein air au Chambon.

Pourriez vous me corriger merci
professeur 19
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Re: rédaction

Message par professeur 19 » dim. 13 déc. 2015 11:02

Bonjour Camille,

j'ai l'impression que tu as bien tenu compte des consignes, c'est bien. Voici ton texte, je fais apparaître tes fautes en rouge et j'ajoute un commentaire entre parenthèses pour t'aider à te corriger, je mets également quelques commentaires concernant des choses que tu peux améliorer. Tu peux nous le proposer pour une nouvelle lecture quand tu te seras corrigée.
Bon courage et à bientôt.
camille a écrit : Je vais vous parlez accord avec le sujet ! de l'escalade, pratiquéaccord avec le mot "escalade" pendant le séjour au Chambon.tu peux ici préciser l'époque, les circonstances : avec qui ? quand? pour quelles raisons ? etc...
Au début, j'appréhendais de faire de l'escalade puisque j'ai le vertige. On est partiequi est "on"? il faut être plus précis et utilise de préférence le pronom "nous" chercher notre équipement dans le bâtiment de la structure artificielle afin de choisir un casque et un baudrier. Une fois tout le matériel pris, nous avons fait vingt minutes de marche pour nous rendre à la roche d'Empeyrate. Arrivée qui est "arrivée"? Si vous êtes plusieurs, alors l'accord n'est pas le bon sur place, le moniteur nous a expliqué comment mettre le baudrier, le casque, il a effectué une vérification de chacun, puis il nous a expliqué comment faire un nœud en huit et on a du le participe passé du verbe devoir s'écrit : "dû"; là aussi préfère le pronom "nous" le reproduire plusieurs fois. Après avoir examiné chaque élève que le nœud était correctement fait mal dit, il nous a montré comment faire un double huit, et il a fallu le refaire plusieurs fois. Ensuite, il nous a dit :
« L'escalade est un sport dangereux, car il faut être très attentif, à l'écoute de son partenaire qui grimpe, mais aussi observer la roche. »
Tout ceci me terrorisait encore un peu plus. Ma partenaire ne voulait pas commencer, alors il a fallu que je monte la première ce qui ne m'arrangerconjugue ton verbe, c'est un récit au passé pas, car mon anxiété grandissait de plus en plus. Je commence temps du verbe à tâter la paroi rugueuse afin de pouvoir l'escalader. Après quelques mètres, je me suis rendue comptefaute d'accord, mais dis plutôt "j'ai compris", j'ai découvert" que la crainte avait disparu et avait laissé place à la joie, au plaisir de vouloir aller plus loin. Et quelle fierté, quand j'ai touché le sommet de la roche rugueuse. Mais, maintenant, il fallait écris plutôt "alors", "ensuite" et change le temps : passé composéredescendre. J'ai scruté en bas et j'étais ébahie d'avoir grimpé aussi haut. Par contre, la descente était utilise un passé composé épouvantable, comme j'avais peur, je voulais rester accrocher participe passé ici, qui s'accorde avec le sujetà la roche, donc, par ma maladresse, je me suis égratigné le coude. Arrivéevous êtes plusieurs, attentions à l'accord en bas, nous avons procédé à l'échange, ma collègue n'a pas voulu escalader plus d'un mètre ce qui m'a vexé, car je n'ai pas plus=> pu faire le rôle de l'assureur.
Pour conclure, j'ai apprécié l'escalade, de plus j'ai su contrôler mon effroi et faire confiance à ma coéquipière même cierreur d'homophone => si, je n'ai pu la convaincre de grimper plus haut afin de jouer le rôle de l'assureur. Ce voyage m'a permis de découvrir d'autres sports très intéressant attention, tu n'as découvert qu'un sport et de vivre en collectivité, merci aux organisateurs et accompagnateurs. Je garderais revoir la conjugaison du futur un excellent souvenir de ma semaine au centre de plein air au Chambon.
camille

Re: rédaction

Message par camille » dim. 13 déc. 2015 20:41

bonsoir,
Voici ma correction.
Nous sommes partis du 9 au 13 novembre 2015 pour un séjour sport en plein air au Chambon, avec toutes les classes de cinquième, les trois professeurs de sports et différents enseignants du collège. Nous avons pratiqué plusieurs activités sportive, mais je vais vous parlais de l'escalade que j'ai pratiquée le lundi après midi.
Au début, j'appréhendais de faire de l'escalade puisque j'ai le vertige. Nous sommes partis chercher notre équipement dans le bâtiment de la structure artificielle afin de choisir un casque et un baudrier. Une fois tout le matériel pris, nous avons fait vingt minutes de marche pour nous rendre à la roche d'Empeyrate. Le groupe arrivé sur place, le moniteur nous a expliqué comment mettre le baudrier, le casque, il a effectué une vérification de chacun, puis il nous a expliqué comment faire un nœud en huit et nous avons dû le reproduire plusieurs fois. Après avoir regardé que le nœud de chaque élève était correctement fait, il nous a montré comment faire un double huit, et il a fallu le refaire plusieurs fois. Ensuite, il nous a dit :
« L'escalade est un sport dangereux, car il faut être très attentif, à l'écoute de son partenaire qui grimpe, mais aussi observer la roche. »
Tout ceci me terrorisait encore un peu plus. Ma partenaire ne voulait pas commencer, alors il a fallu que je monte la première ce qui ne m'arrangeait pas, car mon anxiété grandissait de plus en plus. Je commençais à tâter la paroi rugueuse afin de pouvoir l'escalader. Après quelques mètres, j'ai compris que la crainte avait disparu et avait laissé place à la joie, au plaisir de vouloir aller plus loin. Et quelle fierté, quand j'ai touché le sommet de la roche rugueuse. Mais, ensuite, il a fallu redescendre. J'ai scruté en bas et j'étais ébahie d'avoir grimpé aussi haut. Par contre, la descente a été épouvantable, comme j'avais peur, je voulais rester accrochée à la roche, donc, par ma maladresse, je me suis égratigné le coude. Arrivée en bas, nous avons procédé à l'échange ma collègue n'a pas voulu escalader plus d'un mètre ce qui m'a vexé, car je n'ai pas pu faire le rôle de l'assureur.
Pour conclure, j'ai apprécié l'escalade, de plus j'ai su contrôler mon effroi et faire confiance à ma coéquipière même si, je n'ai pu la convaincre de grimper plus haut afin de jouer le rôle de l'assureur. Ce voyage m'a permis de découvrir d'autres sports très intéressants et de vivre en collectivité, merci aux organisateurs et accompagnateurs. Je garderai un excellent souvenir de ma semaine au centre de plein air au Chambon.

Merci
professeur 19
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Re: rédaction

Message par professeur 19 » lun. 14 déc. 2015 07:09

Bonjour Camille,

tu as bien travaillé, je te félicite !
Voici ton texte avec les dernières petites fautes corrigées cette fois-ci car il en reste peu.

Bonne semaine et à bientôt sur le forum.

camille a écrit :bonsoir,
Voici ma correction.
Nous sommes partis du 9 au 13 novembre 2015 pour un séjour sport en plein air au Chambon, avec toutes les classes de cinquième, les trois professeurs de sports et différents enseignants du collège. Nous avons pratiqué plusieurs activités sportives, mais je vais vous parlerde l'escalade que j'ai pratiquée le lundi après midi.
Au début, j'appréhendais de faire de l'escalade puisque j'ai le vertige. Nous sommes partis chercher notre équipement dans le bâtiment de la structure artificielle afin de choisir un casque et un baudrier. Une fois tout le matériel pris, nous avons fait vingt minutes de marche pour nous rendre à la roche d'Empeyrate. Le groupe arrivé sur place, le moniteur nous a expliqué comment mettre le baudrier, le casque, il a effectué une vérification de chacun, puis il nous a expliqué comment faire un nœud en huit et nous avons dû le reproduire plusieurs fois. Après avoir regardé que le nœud de chaque élève était correctement fait, il nous a montré comment faire un double huit, et il a fallu le refaire plusieurs fois. Ensuite, il nous a dit :
« L'escalade est un sport dangereux, car il faut être très attentif, à l'écoute de son partenaire qui grimpe, mais aussi observer la roche. »
Tout ceci me terrorisait encore un peu plus. Ma partenaire ne voulait pas commencer, alors il a fallu que je monte la première ce qui ne m'arrangeait pas, car mon anxiété grandissait de plus en plus. J'ai commencé à tâter la paroi rugueuse afin de pouvoir l'escalader. Après quelques mètres, j'ai compris que la crainte avait disparu et avait laissé place à la joie, au plaisir de vouloir aller plus loin. Et quelle fierté, quand j'ai touché le sommet de la roche rugueuse! Mais, ensuite, il a fallu redescendre. J'ai scruté en bas et j'étais ébahie d'avoir grimpé aussi haut. Par contre, la descente a été épouvantable, comme j'avais peur je voulais rester accrochée à la roche, donc, par ma maladresse, je me suis égratigné le coude. Arrivées en bas, nous avons procédé à l'échange, ma collègue n'a pas voulu escalader plus d'un mètre ce qui m'a vexée, car je n'ai pas pu faire le rôle de l'assureur.
Pour conclure, j'ai apprécié l'escalade, de plus j'ai su contrôler mon effroi et faire confiance à ma coéquipière même si je n'ai pu la convaincre de grimper plus haut afin de jouer le rôle de l'assureur. Ce voyage m'a permis de découvrir d'autres sports très intéressants et de vivre en collectivité, merci aux organisateurs et accompagnateurs. Je garderai un excellent souvenir de ma semaine au centre de plein air au Chambon.

Merci
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