Rédaction de Francais - Exprimer des sentiments

[Marie]

Bonjour,

Nous avons une rédaction a faire en français. Le sujet est : En 10 lignes, exprimer deux sentiments.
J'ai essayé d'en écrire une mais j'ai beaucoup de mal.Je n'arrive pas a décrire les deux sentiments que j'ai choisi, la peur et honte de manière satisfaisante.
Merci d'avance pour vos conseils.

Marie

[professeur 13]

Bonjour,
Un question tout d'abord : la consigne est-elle "exprimez deux sentiments".
Pour traiter le sujet, imagine une situation où naîtraient la peur et la honte (expose-la en deux ou trois phrases), constitue la liste des mots que tu vas utiliser (pour établir ces champs lexicaux, utilise un dictionnaire), puis à partir de la situation inventée, décris les sentiments.
A toi d'écrire !

[Marie]

Bonjour,

Merci pour votre réponse, j'ai lu vos conseil et j'ai écris ceci :


Je contemplais la nuit, sombre et inquiétante, à travers la fenêtre de ma chambre quand j’entendis au loin une porte claquer. Un courant d’air froid me fit frissonner. Involontairement, mon cœur se serra. Que cette maison m’effrayait ! Avec ses murs en bois verni, orné de trophée de chasse, ses portes gravées de symboles étrange et de dessins anormaux. Ours, sanglier, cerf… Toute s’alignaient, triste et imperturbable sur les murs de chaque pièce tandis que sur les portes ses dessinaient des graffitis qui semblaient gravé de la main de Satan lui-même. Les pièces, elle, toutes plus grandes les unes que les autres, avec un grand feu de cheminée tout droit sortit des enfers…

Je me levai, pieds nus sur le froid carrelage à la couleur sale, m’approchai de la porte avec des pas de plus en plus lents. Devant, celle-ci, j’hésitais. Qui pouvait savoir, les horreurs qui pouvaient m’attendre derrière cette porte. Le cœur battant, je tournais la poignée avec une lenteur mesurée, et poussai le battant de la porte. Le chat de la maisonnée, Prince, se tenait seul dans le couloir.

Aussitôt, la honte m’enflamma les joues. Je pouvais sentir le sang bouillonnant donnant à mes joues, une couleur pivoine. Quelle sotte étais-je pour m’imaginer des choses pareilles ? Bien sur qu’il n’y avait rien à craindre, dans la grande demeure de mon oncle ! Prise d’un sentiment cuisant incroyable, je rentrai dans ma chambre et fermai la porte derrière moi.

Merci encore pour vos conseil!

Marie

[professeur 14]

Bonjour,

Tu exprimes bien deux sentiments différents dans un récit complet.
Tu trouveras soulignées les erreurs à corriger; entre parenthèses, se trouvent les conseils. Pense à bien accorder les adjectifs avec le nom qu'ils qualifient. Ce sont tes erreurs les plus fréquentes.

Je contemplais la nuit, sombre et inquiétante, à travers la fenêtre de ma chambre quand j’entendis au loin une porte claquer. Un courant d’air froid me fit frissonner. Involontairement, mon cœur se serra. Que cette maison m’effrayait ! Avec ses murs en bois verni, orné de trophée de chasse, ses portes gravées de symboles étrange(Attention à l'accord) et de dessins anormaux (Donne un autre adjectif:étrange, insolite,...): ours, sanglier, cerf… Toute s’alignaient ( A corriger, problème d'accord de "tout" et il manque au moins un mot), triste et imperturbable ( accord des adjectifs) sur les murs de chaque pièce tandis que sur les portes ses dessinaient des graffitis qui semblaient gravé (accord de l'adjectif) par la main de Satan lui-même. Les pièces, elle( accord), toutes plus grandes les unes que les autres, avec un grand feu de cheminée tout droit sortit )(accord à modifier) des enfers…

Je me levai, pieds nus sur le froid carrelage à la couleur sale, m’approchai de la porte avec des pas de plus en plus lents. Devant, celle-ci, j’hésitais( Le passé simple est préférable.). Qui pouvait savoir, (pas de virgule) les horreurs qui pouvaient m’attendre derrière cette porte(phrase interrogative). Le cœur battant, je tournais (passé simple)la poignée avec une lenteur mesurée, et poussai le battant de la porte. Le chat de la maisonnée, Prince, se tenait seul dans le couloir.

Aussitôt, la honte m’enflamma les joues(répétition à éviter: le visage par exemple). Je pouvais sentir le sang bouillonnant donnant à mes joues, une couleur pivoine. Quelle sotte étais-je pour m’imaginer des choses pareilles ? Bien sur(confusion: sûr) qu’il n’y avait rien à craindre, dans la grande demeure de mon oncle ! Prise d’un sentiment cuisant incroyable ( expression à reformuler: insiste sur le ridicule de la situation), je rentrai dans ma chambre et fermai la porte derrière moi.

Bon courage et à bientôt sur ce forum.

[Marie]

Merci pour tous vos conseils!