récit de vie

Retrouver tous les sujets résolus.

Modérateur : moderateur

yasmine

récit de vie

Message par yasmine » sam. 1 mars 2014 18:01

Bon, j'ai une expression écrite à rédiger. Le sujet est: Ecris un récit qui semble un récit de ta vie de ton enfance dans le genre que tu choisiras dans une dizaine de page.
Alors j'ai choisi le récit autobiographique. Puis-je vous envoyer mon brouillon ?
Au revoir
professeur 6
Messages : 636
Enregistré le : ven. 6 févr. 2009 08:27

Re: récit de vie

Message par professeur 6 » dim. 2 mars 2014 10:42

Bonjour,
Oui, bien sûr, tu peux nous envoyer ton brouillon. Mais revois le libellé du sujet car je doute que tu l'aies recopié avec exactitude.
À bientôt.
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » dim. 2 mars 2014 16:46

merci,le voilà:
Au premier étage de l’immeuble FOSTP que nous habitions, nous visitait chaque semaine notre tante nommée Najat. Elle avait un fils Ilyass et une fille Asmaa. Ces fils étaient élevés autrement que nous ; ils étaient bavards et pouvaient inventer des jeux originaux même du vide. Ils cherchaient querelle à tous le monde et pour une simple et banale raison ils provoquaient une immense bagatelle. Par opposition, mon frère et moi évitions toutes sortes de combats et de dangers.
Parmi les jeux que mes cousins ont inventés, un seul paraissait le plus dangereux : Lorsque l’obscurité avait envahi ma chambre et que nul rayon ne pénétrait, on s’asseyait tous au milieu de la pièce, on choisissait quelqu’un pour nous chasser, et puis, on courait dans tout les sens pour se cacher. Ce qui était évident, est qu’on se cognait les uns, les autres ; on tombait la plupart du temps, et parfois, on pleurait même de peur. Mais le plus dangereux est que personne ne connaissait ce jeu.
Un jour en s’amusant à crier et à se cacher, j’entendis soudain un assourdissant vacarme. Je me levai pour allumer la lumière mais une peur dont je ne me rappelle pas avoir vécu une semblable me gagna : J’arrivais à peine à respirer, mes cheveux se hérissaient, mon sang se glaça dans mes veines, mes dents claquaient et je n’arrivais plus à placer un seul mot. « Un bruit aussi sonore que celui-ci ne proviendrait que d’un voleur, d’un incendie, d’un tremblement de terre… » Toutes ces idées s’écroulèrent sur mes pensées et me bouleversèrent. Cependant, j’entendais mon frère sangloter et ma cousine gémir de douleur. Je ne savais quoi faire et sans m’apercevoir j’allumai la lumière.
Quelle surprise ! La tête du lit était par terre et ma cousine en serrant sa jambe gauche pleurait. On s’asseyait par terre essayant de comprendre, et puis en une difficulté extrême, Asmaa prononça : « Je…Je n’ai pas aperçu la…la tête du lit et je l’ai cassée par un coup de pied en essayant de sauter pour s’enfuir. Mon…Mon piiied fait male et je ne peux pas le faire bouger. »
Que faire maintenant ? Après plusieurs réflexions, Ilyass prononça soudainement : «On n’a pas autre solutions, on doit mentir, on va dire que c’était Youness (Mon petit frère qui était endormi) qui voulait se balancer et l’avait cassé, et pour Asmaa, elle essaya de marcher. »Mes cousins, mon frère et moi, tout le monde était d’accord pour cette unique et favorable solution.
Après quelques minutes d’attente, mes parents et ma tante se présentèrent et nous racontâmes notre récit imaginaire. Heureusement , nos paroles étaient convaincantes et mes parents nous ont crus. Pendant ce temps, Asmaa essayait de cacher sa douleur et réussit à persuader sa mère pour passer la nuit avec moi. Comme ceci, j’avais passé des heures et des heures à consoler Asmaa qui ne pouvait pas dormir. Elle tournait et retournait, elle posait sa jambe sur l’oreiller, sur un coussin, sur le bureau, elle se tenait droite, assise, couché sur le dos, sur un côté, la tête en bas… Aucune de ses positions ne lui convenait.
Le lendemain matin, quand les rayons de soleil se faufilaient entre les trous de la fenêtre, j’observais soudainement la jambe d’Asmaa qui avait pris un teint bleuâtre et semblait à un gros ballon bleu. Je la fis remarquer la nouvelle et nous nous mettions d’accord qu’elle resterait dans la chambre en prétendant d’être malade et qu’elle couverait ses pieds. Mais malheureusement, mes affectueux parents insistaient pour l’emmener à l’hôpital. Ils disaient que c’était une responsabilité et qu’ils doivent prendre soin d’elle.
Là, tous nos mensonges étaient révélés. On devait tout avouer, il n’y avait pas autre remède. Alors en tremblent et bégayant, je rendis compte de se qui s’est passé. En entendant ceci, maman était furieuse et elle appela ma tante pour tout lui raconter.
On emmena Asmaa vite à l’hôpital et puis, grâce à une radiographie, on a pu voir la fracture du pied, et par obligation, Asmaa s’est faite du plâtre.

Sur notre chemin à la maison, ma tante était en colère et elle ne cessait de poser des questions : Qui avait inventé le jeu ? Qui avait poussé Asmaa ? (Elle croyait qu’Asmaa n’était pas tombée comme ça et elle en était certaine) Qui avait allumé la lumière ?... On n’avait pas de réponse, mais soudain Ilyass répondit : «C’était Yasmine qui avait tout causé, elle avait inventé le jeu, elle avait poussé Asmaa et c’était moi qui avait allumé la lumière.
Surprise, ma gorge se noua. Et je regardais ce spectacle sans y intervenir. En entendant ces faux aveux, maman d’un regard furieux, dur, qui luit de colère m’annonçait ce qui m’attendait de punitions et je ne pus intervenir.
Qui aurait cru que mes cousins tant aimés allaient m’accuser de tout ceci !
Pendant plusieurs jours, j’étais victime et je ne cessais de couvrir mes cousins malgré tout. Pourquoi ? Je ne parvenais pas à y répondre. Je supportais les humiliations et je m’asseyais seule à lire « Tintin sur la lune », je ne jouais avec personne et je patientais. J’étais certaine qu’un jour justice serait rendue.

Et c’est ce qui s’est passé.

Après 25 jours, Asmaa s’est rerendue chez le docteur pour enlever finalement le plâtre et retourner à sa vie ordinaire. Elle était heureuse comme un oiseau dans l’air, et on pouvait voir un large sourire se dessiner sur son visage. Durant la séance, le docteur prononça : «Ah !! Tu t’es bien rétablie grâce à ta patience. La prochaine fois ne joue pas dans l’obscurité car si quelqu’un t’avait poussé je ne sais pas que ce qu’il t’aurait arrivé. »
En entendant ceci, ma tante Najat n’avait rien compris. Elle regardait sa fille avec curiosité. Alors en quittant le cabinet du docteur, elle interrogea Asmaa : «Ne crois tu pas que tu me dois des confessions ? » Asmaa pâlit de rougeur, tous ces mensonges ne peuvent pas être pardonnés simplement. Mais elle devait avouer.
Alors en arrivant à la maison, on interpella tout le monde pour assister à une réunion familiale. Tout le monde était étonné et on n’avait rien compris, on regardait les uns, les autres avec interrogation. Soudain Mamie articula : «N’allait vous rien dire ? ». Par ses mots, Asmaa prononça : «Maintenant que je ne mets plus de plâtre, il est temps que justice soit rendue. Ilyass n’as-tu pas d’aveux ? ». Etonné, surpris, Ilyass prononça : «Pardon Yasmine c’était de ma faute, écoutez tout le monde Yasmine est innocente, c’était Asmaa et moi qui avions inventé le jeu et Asmaa n’avait pas aperçu la tête du lit à cause de l’obscurité et l’avait cassé. Pardon. »
En entendant ces aveux, mon cœur sauta de joie, et maman, les larmes aux yeux me prenait dans ses bras en disant : «je savais que tu ne pourrais pas le faire, t’es ma fille, pardonne moi, je ne t’ai pas cru, pardonne moi ! »
Malgré ses aveux, Asmaa et Ilyass devrait être puni, alors on les priva de tout ce qui est sucré et ils devaient lire une bande dessinée et en rendre compte dans un résumé.
Comme ceci justice était rendue et on ne joua plus à cet extraordinaire jeu !





Fin
professeur 1
Messages : 906
Enregistré le : ven. 6 févr. 2009 08:26

Re: récit de vie

Message par professeur 1 » lun. 3 mars 2014 11:33

Bonjour Yasmine,
Comme l'a fait remarqué le professeur 6, tu n'as pas dû recopier le libellé EXACT et ENTIER du sujet. De plus, ton professeur a sûrement donné des consignes précises pour t'aider. Nous aimerions les connaître.
Peux-tu expliquer la différence entre un récit de vie et un récit autobiographique ?
Difficile pour le moment de te donner des conseils sans la réponse à nos questions.

Néanmoins, à la première lecture de ton devoir, nous pouvons déjà te conseiller de revoir l'emploi des temps des verbes et les fautes d'orthographe. Quand tu nous en auras dit plus sur le sujet lui-même, nous pourrons t'aider à travailler dans le contenu.
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » lun. 3 mars 2014 18:02

Bonjour professeur,
Voilà la consigne: Écris un récit de vie basé sur ton enfance dans le genre que tu choisirais. (autobiographie, journal...)
Pour la différence entre le récit de vie et le récit autobiographique, voici ce que nous a expliqué notre professeur: un récit autobiographique est un écrit où l'auteur s'inspire de sa propre vie pour écrire son récit de vie, c'est à dire, où fiction et réalité se croisent (si on permet l'expression)
Finalement, je souhaite que vous m'indiquiez mes fautes.
Merci
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » lun. 3 mars 2014 21:40

Bonjour, répondez moi vite, j'attends votre réponse. merci.
professeur 4
Messages : 231
Enregistré le : ven. 6 févr. 2009 08:27

Re: récit de vie

Message par professeur 4 » mar. 4 mars 2014 13:56

Bonjour
Je ne comprends pas quelle est ta question. Commence ta rédaction, nous pourrons t'aider ensuite.
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » mar. 4 mars 2014 17:37

Voici mon brouillon:
Merci, le voilà:
Au premier étage de l’immeuble FOSTP que nous habitions, nous visitait chaque semaine notre tante nommée Najat. Elle avait un fils Ilyass et une fille Asmaa. Ces fils étaient élevés autrement que nous ; ils étaient bavards et pouvaient inventer des jeux originaux même du vide. Ils cherchaient querelle à tous le monde et pour une simple et banale raison ils provoquaient une immense bagatelle. Par opposition, mon frère et moi évitions toutes sortes de combats et de dangers.
Parmi les jeux que mes cousins ont inventés, un seul paraissait le plus dangereux : Lorsque l’obscurité avait envahi ma chambre et que nul rayon ne pénétrait, on s’asseyait tous au milieu de la pièce, on choisissait quelqu’un pour nous chasser, et puis, on courait dans tout les sens pour se cacher. Ce qui était évident, est qu’on se cognait les uns, les autres ; on tombait la plupart du temps, et parfois, on pleurait même de peur. Mais le plus dangereux est que personne ne connaissait ce jeu.
Un jour en s’amusant à crier et à se cacher, j’entendis soudain un assourdissant vacarme. Je me levai pour allumer la lumière mais une peur dont je ne me rappelle pas avoir vécu une semblable me gagna : J’arrivais à peine à respirer, mes cheveux se hérissaient, mon sang se glaça dans mes veines, mes dents claquaient et je n’arrivais plus à placer un seul mot. « Un bruit aussi sonore que celui-ci ne proviendrait que d’un voleur, d’un incendie, d’un tremblement de terre… » Toutes ces idées s’écroulèrent sur mes pensées et me bouleversèrent. Cependant, j’entendais mon frère sangloter et ma cousine gémir de douleur. Je ne savais quoi faire et sans m’apercevoir j’allumai la lumière.
Quelle surprise ! La tête du lit était par terre et ma cousine en serrant sa jambe gauche pleurait. On s’asseyait par terre essayant de comprendre, et puis en une difficulté extrême, Asmaa prononça : « Je…Je n’ai pas aperçu la…la tête du lit et je l’ai cassée par un coup de pied en essayant de sauter pour s’enfuir. Mon…Mon piiied fait male et je ne peux pas le faire bouger. »
Que faire maintenant ? Après plusieurs réflexions, Ilyass prononça soudainement : «On n’a pas autre solutions, on doit mentir, on va dire que c’était Youness (Mon petit frère qui était endormi) qui voulait se balancer et l’avait cassé, et pour Asmaa, elle essaya de marcher. »Mes cousins, mon frère et moi, tout le monde était d’accord pour cette unique et favorable solution.
Après quelques minutes d’attente, mes parents et ma tante se présentèrent et nous racontâmes notre récit imaginaire. Heureusement, nos paroles étaient convaincantes et mes parents nous ont crus. Pendant ce temps, Asmaa essayait de cacher sa douleur et réussit à persuader sa mère pour passer la nuit avec moi. Comme ceci, j’avais passé des heures et des heures à consoler Asmaa qui ne pouvait pas dormir. Elle tournait et retournait, elle posait sa jambe sur l’oreiller, sur un coussin, sur le bureau, elle se tenait droite, assise, couché sur le dos, sur un côté, la tête en bas… Aucune de ses positions ne lui convenait.
Le lendemain matin, quand les rayons de soleil se faufilaient entre les trous de la fenêtre, j’observais soudainement la jambe d’Asmaa qui avait pris un teint bleuâtre et semblait à un gros ballon bleu. Je la fis remarquer la nouvelle et nous nous mettions d’accord qu’elle resterait dans la chambre en prétendant d’être malade et qu’elle couverait ses pieds. Mais malheureusement, mes affectueux parents insistaient pour l’emmener à l’hôpital. Ils disaient que c’était une responsabilité et qu’ils doivent prendre soin d’elle.
Là, tous nos mensonges furent (étaient) révélés. On (devait) dut tout avouer, il n’y avait pas autre remède. Alors en tremblent et bégayant, je me rendis compte de se qui s’est passé. En entendant ceci, maman était furieuse et elle appela ma tante pour tout lui raconter.
On emmena Asmaa vite à l’hôpital et puis, grâce à une radiographie, on a pu voir la fracture du pied, et par obligation, Asmaa s’est faite du plâtre.

Sur notre chemin à la maison, ma tante était en colère et elle ne cessait de poser des questions : Qui avait inventé le jeu ? Qui avait poussé Asmaa ? (Elle croyait qu’Asmaa n’était pas tombée comme ça et elle en était certaine) Qui avait allumé la lumière ?... On n’avait pas de réponse, mais soudain Ilyass répondit : «C’était Yasmine qui avait tout causé, elle avait inventé le jeu, elle avait poussé Asmaa et c’était moi qui avait allumé la lumière.
Surprise, ma gorge se noua. Et je regardais ce spectacle sans y intervenir. En entendant ces faux aveux, maman d’un regard furieux, dur, qui luit de colère m’annonçait ce qui m’attendait de punitions et je ne pus intervenir.
Qui aurait cru que mes cousins tant aimés allaient m’accuser de tout ceci !
Pendant plusieurs jours, j’étais victime et je ne cessais de couvrir mes cousins malgré tout. Pourquoi ? Je ne parvenais pas à y répondre. Je supportais les humiliations et je m’asseyais seule à lire « Tintin sur la lune », je ne jouais avec personne et je patientais. J’étais certaine qu’un jour justice serait rendue.

Et c’est ce qui s’est passé.

Après 25 jours, Asmaa s’est rerendue chez le docteur pour enlever finalement le plâtre et retourner à sa vie ordinaire. Elle était heureuse comme un oiseau dans l’air, et on pouvait voir un large sourire se dessiner sur son visage. Durant la séance, le docteur prononça : «Ah !! Tu t’es bien rétablie grâce à ta patience. La prochaine fois ne joue pas dans l’obscurité car si quelqu’un t’avait poussé je ne sais pas que ce qu’il t’aurait arrivé. »
En entendant ceci, ma tante Najat n’avait rien compris. Elle regardait sa fille avec curiosité. Alors en quittant le cabinet du docteur, elle interrogea Asmaa : «Ne crois tu pas que tu me dois des confessions ? » Asmaa pâlit de rougeur, tous ces mensonges ne peuvent pas être pardonnés simplement. Mais elle devait avouer.
Alors en arrivant à la maison, on interpella tout le monde pour assister à une réunion familiale. Tout le monde était étonné et on n’avait rien compris, on regardait les uns, les autres avec interrogation. Soudain Mamie articula : «N’allait vous rien dire ? ». Par ses mots, Asmaa prononça : «Maintenant que je ne mets plus de plâtre, il est temps que justice soit rendue. Ilyass n’as-tu pas d’aveux ? ». Etonné, surpris, Ilyass prononça : «Pardon Yasmine c’était de ma faute, écoutez tout le monde Yasmine est innocente, c’était Asmaa et moi qui avions inventé le jeu et Asmaa n’avait pas aperçu la tête du lit à cause de l’obscurité et l’avait cassé. Pardon. »
En entendant ces aveux, mon cœur sauta de joie, et maman, les larmes aux yeux me (prenait) prit dans ses bras en disant : «je savais que tu ne pourrais pas le faire, t’es ma fille, pardonne moi, je ne t’ai pas cru, pardonne moi ! »
Malgré ses aveux, Asmaa et Ilyass devrait être puni, alors on les priva de tout ce qui est sucré et ils devaient lire une bande dessinée et en rendre compte dans un résumé.
Comme ceci justice était rendue et on ne joua plus à cet extraordinaire jeu !





Fin

yasmine
yasmine

Re: récit de vie

Message par yasmine » mar. 4 mars 2014 18:24

Je souhaite que vous m'indiquiez mes fautes. Merci
professeur 12
Messages : 851
Enregistré le : mer. 16 sept. 2009 10:38

Re: récit de vie

Message par professeur 12 » mar. 4 mars 2014 18:59

Bonsoir Yasmine,
Ta rédaction étant longue, nous allons corriger méthodiquement chaque paragraphe. Commençons par le premier : sont soulignés les mots que tu dois remplacer ou corriger. Envoie-nous ainsi ce paragraphe réécrit correctement, et nous passerons au suivant. D'accord ?
Remarquons aussi que tu parles d'un garçon et d'une fille invités, et qu'ensuite tu dis : "ces fils", le lecteur ne comprend plus de qui il s'agit exactement...
Verrouillé