Histoire des arts: A l'ouest rien de nouveau.
Posté : dim. 12 mai 2013 09:53
Bonjour,
J'ai comme sujet pour mon histoire des arts le roman d'Erich Maria Remarque A l'ouest rien de nouveau sur 2 extraits précis:
Chapitre 1 : La mort de Behm
Chose curieuse, Behm fut un des premiers qui tombèrent. Lors d'une attaque il reçut un coup de feu dans les yeux et nous le laissâmes pour mort sur le terrain. Nous ne pûmes pas l'emporter avec nous, parce que nous fûmes obligés de reculer précipitamment. L'après-midi, nous l'entendîmes tout à coup appeler et nous le vîmes qui essayait de ramper en avant des tranchées. Il ne s'était qu’évanoui. Mais, comme il n'y voyait plus et que ses souffrances le rendaient fou, il négligea de s'abriter, de sorte qu'il fut tué, avant que quelqu'un eût pu s'approcher pour le ramener.
ET
Chapitre 6 : Les gaz
Mais le feu est plus fort que tout. Il anéantit les sens ; je m'enfonce encore davantage sous le cercueil, il faut qu'il m'abrite, même s'il renferme la Mort. Devant moi, l'entonnoir est béant. Je le saisis des yeux, comme si je l'empoignais. Il faut enfin que je m'y glisse d'un saut. Mais quelque chose me frappe au visage et une main s'accroche à mon épaule. Le mort glisse d'un saut. Mais quelque chose me frappe au visage et une main s'accroche à mon épaule. Le mort s'est-il réveillé ? La main me secoue. Je tourne la tête et une seconde lueur me fait apercevoir la figure de Katczinsky ; il a la bouche grande ouverte et il hurle quelque chose. Je n'entends rien ; il me secoue, il s’approche. Dans un moment d’accalmie sa voix me parvient. « Les gaz... gaaaz... gaaaz... Faites passer !... »
à rendre pour jeudi mais j'ais déjà fait la présentation l'oeuvre et de l'auteur
J'ai comme sujet pour mon histoire des arts le roman d'Erich Maria Remarque A l'ouest rien de nouveau sur 2 extraits précis:
Chapitre 1 : La mort de Behm
Chose curieuse, Behm fut un des premiers qui tombèrent. Lors d'une attaque il reçut un coup de feu dans les yeux et nous le laissâmes pour mort sur le terrain. Nous ne pûmes pas l'emporter avec nous, parce que nous fûmes obligés de reculer précipitamment. L'après-midi, nous l'entendîmes tout à coup appeler et nous le vîmes qui essayait de ramper en avant des tranchées. Il ne s'était qu’évanoui. Mais, comme il n'y voyait plus et que ses souffrances le rendaient fou, il négligea de s'abriter, de sorte qu'il fut tué, avant que quelqu'un eût pu s'approcher pour le ramener.
ET
Chapitre 6 : Les gaz
Mais le feu est plus fort que tout. Il anéantit les sens ; je m'enfonce encore davantage sous le cercueil, il faut qu'il m'abrite, même s'il renferme la Mort. Devant moi, l'entonnoir est béant. Je le saisis des yeux, comme si je l'empoignais. Il faut enfin que je m'y glisse d'un saut. Mais quelque chose me frappe au visage et une main s'accroche à mon épaule. Le mort glisse d'un saut. Mais quelque chose me frappe au visage et une main s'accroche à mon épaule. Le mort s'est-il réveillé ? La main me secoue. Je tourne la tête et une seconde lueur me fait apercevoir la figure de Katczinsky ; il a la bouche grande ouverte et il hurle quelque chose. Je n'entends rien ; il me secoue, il s’approche. Dans un moment d’accalmie sa voix me parvient. « Les gaz... gaaaz... gaaaz... Faites passer !... »
à rendre pour jeudi mais j'ais déjà fait la présentation l'oeuvre et de l'auteur