Matin Brun HDA
Posté : sam. 6 avr. 2013 11:52
Bonjour, c'est encore pour l'histoire des arts. J’estime avoir terminé mon travail mais au niveau du résumé de l'histoire je me demandais si je n'avais pas trop détaillé? Et si le tout est intéressant?
"Matin Brun"
Franck Pavloff est un auteur Français, né à Nîmes en 1940. Il est l'auteur de nombreux roman dont certains des romans jeunesse,des nouvelles et également quelques poésies. Franck Pavloff est un grand psychologue auprès des cour d'appel.
C'est en 1998, qu'il a écrit « Matin Brun » et qui a été publié a Cheyne. Ce fut un succès international qui est toujours d'actualité, avec environ 1 millions 900.000 exemplaires en France ainsi que 25 traductions.
Le genre littéraire de « Matin Brun » est une nouvelle, dont son histoire se situe à peu près dans les années 2000 dans un lieu inconnue mais qui est apparemment moderne. Dans cette nouvelle, on distingue deux personnages, le narrateur et son ami, Charlie. Il y a aussi les chiens et les chats qui sont majoritairement présent dans l'histoire.
Au début de l'histoire, le narrateur et son ami, Charlie, mènent une vie paisible, quand une loi vient troubler leur quotidien,L’ État Brun, c'est une sorte de régime totalitaire, qui consiste à éliminer tout d'abord tout les animaux bruns. Alors L’État mets a disposition des boulettes d'arsenic pour empoisonné les animaux non-bruns car soit-disant ces animaux là causerait des problèmes à la vie citadine. Le narrateur et Charlie se plient aux exigences et empoisonne alors leurs animaux non-brun. Cependant tout les livres, les magasines ont été brûlés, ils ne leur reste plus que : « les Nouvelles brunes ».Ils pensaient alors être tranquille mais cette loi ne s'arrête pas là, elle oblige maintenant à emprisonner toutes les personnes ayant eu un animal non-brun auparavant. Mais quand le narrateur voit son ami se faire arrêté, ils décident de montée à l'étage plus haut. Seulement ces voisins sont au courant qu'il avait possédé un animal non-brun comme Charlie. Tous ces événements font penser à une dictature.
Franck Pavloff n'a pas donner de précision sur le lieu, les personnages, mais on comprends qu'ils sont un peu lâches. Le narrateur raconte l'histoire au présent, à l'imparfait ce qui nous donne un effet de réalité.
« Matin brun » est une nouvelle dans laquelle un loi pour les animaux à été élue, on parle plutôt d'une dictature. J'ai aimé cette nouvelle car je trouve le contexte dans lequel est introduit cette loi est intéressant car cela souligne bien que dans toute dictature des lois inutiles sont imposées. Ici c'est la loi de « L' État brun » qui démontre clairement l'inutilité de cette loi par l’État. Le thème est présent du début à la fin de l'histoire, on distingue bien que cette nouvelle est pour faire réfléchir, et je trouve la manière d'exploiter le sujet en seulement 11 pages, hormis que c'est une nouvelle, est un bon choix car finalement je pense que le but de l'auteur n'était pas que l'on s’intéresse trop aux personnages mais au thème dont cette nouvelle dénonce, celui de la dictature. Et en ne décrivant pas les personnages, l'auteur nous à laissé le choix d'imaginer le lieu, comment était les personnages et à suscité en nous une certaine curiosité à approfondir le contenu de la nouvelle dont et à ce poser des questions face à cette manière de vouloir obliger tout une population à suivre des lois stupides.
Malgré le peu de pages, ont arrive à comprendre la visée et je trouve que c'est plus intéressant de lire une nouvelle dont on comprend le but dans laquelle un sujet réel est relaté avec un nombre restreint de pages que de lire une nouvelle avec un certains nombres de page et ne pas comprendre ce que celle-ci dénonce.
"Matin Brun"
Franck Pavloff est un auteur Français, né à Nîmes en 1940. Il est l'auteur de nombreux roman dont certains des romans jeunesse,des nouvelles et également quelques poésies. Franck Pavloff est un grand psychologue auprès des cour d'appel.
C'est en 1998, qu'il a écrit « Matin Brun » et qui a été publié a Cheyne. Ce fut un succès international qui est toujours d'actualité, avec environ 1 millions 900.000 exemplaires en France ainsi que 25 traductions.
Le genre littéraire de « Matin Brun » est une nouvelle, dont son histoire se situe à peu près dans les années 2000 dans un lieu inconnue mais qui est apparemment moderne. Dans cette nouvelle, on distingue deux personnages, le narrateur et son ami, Charlie. Il y a aussi les chiens et les chats qui sont majoritairement présent dans l'histoire.
Au début de l'histoire, le narrateur et son ami, Charlie, mènent une vie paisible, quand une loi vient troubler leur quotidien,L’ État Brun, c'est une sorte de régime totalitaire, qui consiste à éliminer tout d'abord tout les animaux bruns. Alors L’État mets a disposition des boulettes d'arsenic pour empoisonné les animaux non-bruns car soit-disant ces animaux là causerait des problèmes à la vie citadine. Le narrateur et Charlie se plient aux exigences et empoisonne alors leurs animaux non-brun. Cependant tout les livres, les magasines ont été brûlés, ils ne leur reste plus que : « les Nouvelles brunes ».Ils pensaient alors être tranquille mais cette loi ne s'arrête pas là, elle oblige maintenant à emprisonner toutes les personnes ayant eu un animal non-brun auparavant. Mais quand le narrateur voit son ami se faire arrêté, ils décident de montée à l'étage plus haut. Seulement ces voisins sont au courant qu'il avait possédé un animal non-brun comme Charlie. Tous ces événements font penser à une dictature.
Franck Pavloff n'a pas donner de précision sur le lieu, les personnages, mais on comprends qu'ils sont un peu lâches. Le narrateur raconte l'histoire au présent, à l'imparfait ce qui nous donne un effet de réalité.
« Matin brun » est une nouvelle dans laquelle un loi pour les animaux à été élue, on parle plutôt d'une dictature. J'ai aimé cette nouvelle car je trouve le contexte dans lequel est introduit cette loi est intéressant car cela souligne bien que dans toute dictature des lois inutiles sont imposées. Ici c'est la loi de « L' État brun » qui démontre clairement l'inutilité de cette loi par l’État. Le thème est présent du début à la fin de l'histoire, on distingue bien que cette nouvelle est pour faire réfléchir, et je trouve la manière d'exploiter le sujet en seulement 11 pages, hormis que c'est une nouvelle, est un bon choix car finalement je pense que le but de l'auteur n'était pas que l'on s’intéresse trop aux personnages mais au thème dont cette nouvelle dénonce, celui de la dictature. Et en ne décrivant pas les personnages, l'auteur nous à laissé le choix d'imaginer le lieu, comment était les personnages et à suscité en nous une certaine curiosité à approfondir le contenu de la nouvelle dont et à ce poser des questions face à cette manière de vouloir obliger tout une population à suivre des lois stupides.
Malgré le peu de pages, ont arrive à comprendre la visée et je trouve que c'est plus intéressant de lire une nouvelle dont on comprend le but dans laquelle un sujet réel est relaté avec un nombre restreint de pages que de lire une nouvelle avec un certains nombres de page et ne pas comprendre ce que celle-ci dénonce.