Commentaire d'un poème
Posté : dim. 15 avr. 2012 12:44
Bonjour, mon professeur de Français nous a donné un poème (ci dessous) et nous a demandé de faire un commentaire sur celui-ci :
Vous ferez un commentaire, sur la forme et sur le fond, de ce poème de Rainer Maria Rilke.
Vous étudierez la forme du poème grâce à vos connaissances en versification et vous interprèterez ce que vous avez observé.
Vous étudierez comment le poète exprime la poésie est plus forte que l'amour.
Vous direz pourquoi ce poème peut-être qualifié de 'lyrique'.
Un dieu le peut. Mais comment, dis,
l’homme le suivrait-il sur son étroite lyre ?
Son esprit se bifurque. Au carrefour de deux
Chemins du cœur il n’est nul temple d’Apollon.
Le chant que tu enseignes n’est point désir :
ni un espoir, enfin comblé, de prétendant.
Chanter c’est être. C’est au dieu facile.
Mais quand sommes-nous ? Et quand
met-il en nous la terre et les étoiles ?
Non, ce n’est rien d’aimer, jeune homme, même si
ta voix force ta bouche, — mais apprends
à oublier le sursaut de ton cri. Il passe.
Chanter vraiment, ah ! c’est un autre souffle.
Un souffle autour de rien. Un vol en Dieu. Un vent.
Voici mon travail :
Il y a quatre strophes, les deux premières sont composées de quatre vers (quatrain) et les deux dernières de trois vers (tercet).
1er vers : octosyllabes
2e à 4e vers : alexandrin
5e vers : décasyllabe
6e vers : alexandrin
7e vers : 9
8e vers : 6
9e vers : décasyllabe
10e vers : décasyllabe
11e vers : 9
12e vers : alexandrin
13e vers : décasyllabe
14e vers : alexandrin
Ce sont des vers libre.
On distingue quatre enjambements :
-‘Au carrefour de deux chemins du cœur’ (vers 3-4)
-‘Et quand met-il en nous la terre et les étoiles’ (vers 8-9)
-‘même si ta voix force ta bouche’ (vers 10-11)
-‘mais apprends à oublier le sursaut’ (vers 11-12)
Il y a le chant lexical de l’amour : lyre, cœur, Apollon, désir, prétendant, aimer, ta bouche.
Mon problème est que je n'arrive pas à trouvé de nouvelles choses à dire (métaphore, allégories...) je bloque. De plus je n'arrive pas à trouver le fond du poème, car je n'arrive pas à comprendre ce poème
. Merci de votre aide :)
Vous ferez un commentaire, sur la forme et sur le fond, de ce poème de Rainer Maria Rilke.
Vous étudierez la forme du poème grâce à vos connaissances en versification et vous interprèterez ce que vous avez observé.
Vous étudierez comment le poète exprime la poésie est plus forte que l'amour.
Vous direz pourquoi ce poème peut-être qualifié de 'lyrique'.
Un dieu le peut. Mais comment, dis,
l’homme le suivrait-il sur son étroite lyre ?
Son esprit se bifurque. Au carrefour de deux
Chemins du cœur il n’est nul temple d’Apollon.
Le chant que tu enseignes n’est point désir :
ni un espoir, enfin comblé, de prétendant.
Chanter c’est être. C’est au dieu facile.
Mais quand sommes-nous ? Et quand
met-il en nous la terre et les étoiles ?
Non, ce n’est rien d’aimer, jeune homme, même si
ta voix force ta bouche, — mais apprends
à oublier le sursaut de ton cri. Il passe.
Chanter vraiment, ah ! c’est un autre souffle.
Un souffle autour de rien. Un vol en Dieu. Un vent.
Voici mon travail :
Il y a quatre strophes, les deux premières sont composées de quatre vers (quatrain) et les deux dernières de trois vers (tercet).
1er vers : octosyllabes
2e à 4e vers : alexandrin
5e vers : décasyllabe
6e vers : alexandrin
7e vers : 9
8e vers : 6
9e vers : décasyllabe
10e vers : décasyllabe
11e vers : 9
12e vers : alexandrin
13e vers : décasyllabe
14e vers : alexandrin
Ce sont des vers libre.
On distingue quatre enjambements :
-‘Au carrefour de deux chemins du cœur’ (vers 3-4)
-‘Et quand met-il en nous la terre et les étoiles’ (vers 8-9)
-‘même si ta voix force ta bouche’ (vers 10-11)
-‘mais apprends à oublier le sursaut’ (vers 11-12)
Il y a le chant lexical de l’amour : lyre, cœur, Apollon, désir, prétendant, aimer, ta bouche.
Mon problème est que je n'arrive pas à trouvé de nouvelles choses à dire (métaphore, allégories...) je bloque. De plus je n'arrive pas à trouver le fond du poème, car je n'arrive pas à comprendre ce poème
. Merci de votre aide :)