Réécritures
Posté : lun. 9 avr. 2012 12:35
Bonjour,
J'ai des réécritures à faire pour Jeudi et je voudrais savoir si ce que j'ai fait c'est juste. Merci d'avance et bonne journée .
Exercice 1 : Récrivez le passage suivantà la troisième personne du singulier et en transformant « le petit garçon » par les petits garçons.
[ Je ne sais plus qui avait gagné, mais je sais qu'on avait passé un sacré bon moment, et qu'on se
sentait en sécurité. Comme si de faire tout simplement ce qui allait dans le bon sens dans la
cité nous rassurait et nous simplifiait la vie. La sécurité brune, ça pouvait avoir du bon. Bien
sûr je pensais au petit garçon que j'avais croisé sur le trottoir d'en face, et qui pleurait son
caniche blanc, mort à ses pieds. Mais après tout, s'il écoutait bien ce qu'on lui disait, les chiens
n'étaient pas interdits, il n'avait qu'à en chercher un brun. Même des petits, on en trouvait. Et
comme nous, il se sentirait en règle et oublierait vite l'ancien. ]
>>>> Il ne sait plus qui avait gagné, mais il savait qu’ils avaient passé un sacré bon moment, et qu’ils se sentaient en sécurité. Comme si de faire tout simplement ce qui allait dans le bon sens dans la cité les rassurait et leur simplifiait la vie. La sécurité brune, ça pouvait avoir du bon. Bien sûr, il pensait aux petits garçons qu’il avait croisé sur le trottoir d’en face, et qui pleuraient leur caniche blanc, mort à leurs pieds. Mais après tout, s’ils écoutaient bien ce qu’on leur disait, les chiens n’étaient pas interdits, ils n’avaient qu’à en chercher un brun. Même des petits, on en trouvait. Et comme eux, ils se sentiraient en règle et oublieraient vite l’ancien.
Exercice 2 : Récrivez ce passage à la troisième personne du pluriel et dans le système du passé.
[ Je n'ai pas dormi de la nuit. J'aurais dû me méfier des bruns dès qu'ils nous ont imposé leur première loi sur les animaux. Après tout, il était à moi mon chat, comme son chien pour Charlie, on aurait dû dire non. Résister davantage, mais comment ? Ça va si vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ?]
>>> Ils n’avaient pas dormi de la nuit. Ils auraient dû se méfier des Bruns dès qu’ils leur avaient imposé leur première loi sur les animaux. Après tout, il était à eux, leur chat, comme son chien pour Charlie, ils auraient dû dire non. Résister davantage, mais comment ? Ca allait si vite, il y avait le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissaient les bras pour être un peu tranquilles, non ?
Exercice 3 : Récrivez ce passage à la troisième personne du singulier et dans le système du passé.
[ Je n'ai pas dormi de la nuit. J'aurais dû me méfier des bruns dès qu'ils nous ont imposé leur première loi sur les animaux. Après tout, il était à moi mon chat, comme son chien pour Charlie, on aurait dû dire non. Résister davantage, mais comment ? Ça va si vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ?]
>>> Il n'avait pas dormi de la nuit. Il aurait dû se méfier des Bruns dés qu'ils lui avaient imposé leur première loi sur les animaux . Après tout, il était à lui, son chat, comme son chien pour Charlie, il aurait dû dire non. Résister d'avantage, mais comment ? Ca allait si vite, il y avait le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissaient les bras pour être un peu tranquilles, non ?
J'ai des réécritures à faire pour Jeudi et je voudrais savoir si ce que j'ai fait c'est juste. Merci d'avance et bonne journée .
Exercice 1 : Récrivez le passage suivantà la troisième personne du singulier et en transformant « le petit garçon » par les petits garçons.
[ Je ne sais plus qui avait gagné, mais je sais qu'on avait passé un sacré bon moment, et qu'on se
sentait en sécurité. Comme si de faire tout simplement ce qui allait dans le bon sens dans la
cité nous rassurait et nous simplifiait la vie. La sécurité brune, ça pouvait avoir du bon. Bien
sûr je pensais au petit garçon que j'avais croisé sur le trottoir d'en face, et qui pleurait son
caniche blanc, mort à ses pieds. Mais après tout, s'il écoutait bien ce qu'on lui disait, les chiens
n'étaient pas interdits, il n'avait qu'à en chercher un brun. Même des petits, on en trouvait. Et
comme nous, il se sentirait en règle et oublierait vite l'ancien. ]
>>>> Il ne sait plus qui avait gagné, mais il savait qu’ils avaient passé un sacré bon moment, et qu’ils se sentaient en sécurité. Comme si de faire tout simplement ce qui allait dans le bon sens dans la cité les rassurait et leur simplifiait la vie. La sécurité brune, ça pouvait avoir du bon. Bien sûr, il pensait aux petits garçons qu’il avait croisé sur le trottoir d’en face, et qui pleuraient leur caniche blanc, mort à leurs pieds. Mais après tout, s’ils écoutaient bien ce qu’on leur disait, les chiens n’étaient pas interdits, ils n’avaient qu’à en chercher un brun. Même des petits, on en trouvait. Et comme eux, ils se sentiraient en règle et oublieraient vite l’ancien.
Exercice 2 : Récrivez ce passage à la troisième personne du pluriel et dans le système du passé.
[ Je n'ai pas dormi de la nuit. J'aurais dû me méfier des bruns dès qu'ils nous ont imposé leur première loi sur les animaux. Après tout, il était à moi mon chat, comme son chien pour Charlie, on aurait dû dire non. Résister davantage, mais comment ? Ça va si vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ?]
>>> Ils n’avaient pas dormi de la nuit. Ils auraient dû se méfier des Bruns dès qu’ils leur avaient imposé leur première loi sur les animaux. Après tout, il était à eux, leur chat, comme son chien pour Charlie, ils auraient dû dire non. Résister davantage, mais comment ? Ca allait si vite, il y avait le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissaient les bras pour être un peu tranquilles, non ?
Exercice 3 : Récrivez ce passage à la troisième personne du singulier et dans le système du passé.
[ Je n'ai pas dormi de la nuit. J'aurais dû me méfier des bruns dès qu'ils nous ont imposé leur première loi sur les animaux. Après tout, il était à moi mon chat, comme son chien pour Charlie, on aurait dû dire non. Résister davantage, mais comment ? Ça va si vite, il y a le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissent les bras pour être un peu tranquilles, non ?]
>>> Il n'avait pas dormi de la nuit. Il aurait dû se méfier des Bruns dés qu'ils lui avaient imposé leur première loi sur les animaux . Après tout, il était à lui, son chat, comme son chien pour Charlie, il aurait dû dire non. Résister d'avantage, mais comment ? Ca allait si vite, il y avait le boulot, les soucis de tous les jours. Les autres aussi baissaient les bras pour être un peu tranquilles, non ?