Résumé des "Contes de la bécasse"
Posté : sam. 17 mars 2012 23:20
Bonsoir, je suis très heureuse d'avoir trouvé ce site, parce que j'ai à faire pour demain tous les résumés du recueil de nouvelles " Les contes de la Bécasse ". Bien entendu nous n'avions pas à faire tous ces résumés la veille pour le lendemain. Je les ai faits, mais j'aimerais vraiment avoir votre avis. J'ai énormément de mal à faire des résumés, la plupart du temps j'en raconte beaucoup trop. J'aimerais beaucoup que vous me donniez des astuces et pointiez du doigt ce qui va et ce qui ne va pas. ( Celle que je pense avoir le moins réussie est "La peur" comme vous allez pouvoir vous en rendre compte en la lisant. )
Menuet
Tous les matins Jean Bridelle, se promenait dans la pépinière du Luxembourg. Mais il s'aperçut un jour, qu'il n'était pas le seul à aimer ces promenades matinales. Il rencontra un étrange vieillard. Il fut intrigué par cet homme, qu'il décida d'observer. C'est alors qu'un matin, se croyant seul, le vieil homme se mit à danser, d'une manière extrêmement élégante. D'abord surpris par cette attitude, il se risqua à lui parler. Il furent bientôt amis. Et il lui raconta qu'il avait été autrefois maître de danse à l'opéra et qu'il était mariée à la Castris. Et que ce jardin était leur plaisir, et leur vie. Il lui présenta sa femme, et ensemble, ils dansèrent un menuet tel que Jean Brodelle ne l'oublia jamais. Deux ans plus tard, lorsque Jean Bridelle revint à Paris, la pépinière avait disparu. Si ce jardin était leur vie, que sont devenus ces deux personnes ?
La peur
Le commandant, contait à ses hommes la peur qu'il avait eu lorsque son navire était resté 6 heures battu par la mer, un rocher le traversant. C'est alors qu'un des hommes, à la figure brûlée prit la parole d'une voix grave. Expliquant que lui avait réellement connu les peurs les plus terribles : la vraie peur. En effet, dans le désert, il avait cru entendre un tambour, battant la mesure. C'est à ce moment que son compagnon tomba de son cheval et s'écroula, terrassée par une insolation. Lorsqu'il tenta de réanimer son ami, le tambour résonnant toujours à ses oreilles, il avait senti la peur glisser dans ses os. Il apprit plus tard, que ce bruit n'était sans doute qu'un mirage du son. Une autre fois, alors qu'il allait souper chez un garde forestier, il avait été une seconde fois confontée à cette peur. En effet, ce garde forestier avait, auparavant tué un braconnier, cela faisait deux ans jour pour jour. Et celui-ci affirma que la victime allait comme l'année précédente venir les hanter. C'est alors que le chien se mit à hurler à la mort. L'homme au visage brun le vit ! Le fantôme par la fenêtre. Le garde forestier tira ! Et les cris s’arrêtèrent. Le garde forrestier avait en réalité tirer sur son chien, par erreur. L'homme à la figure brûlée conclua ses deux histoires en affirmant que lui, avait connu la véritable peur.
Farce Normande
On fêtait un mariage e Normandie. Celui de Jean Patu, riche fermier du pays, et Rosalie Roussel. La fête se passa fort bien : On but, on mangea, on blagua. Il sembla que quelques malins préparaient une farce. Vint alors le moment pour les mariés de vivre leur nuit nuptiale. La jeune femme se déshabilla et entra ans le lit. Alors qu'il cherchait ses lèvres, Jean entendit au loin un coup de feu. Il s'aprocha de la fenêtre et observa l'orizon. Sa toute jeune femme l'enlaça, lui demandant de ne pas penser aux braconniers qui pourraient éventuellement chasser dans ses contrées. Il céda, la saisit et au moment où il la posa sur le lit, entendit un nouveau coup de feu. C'en fut trop. Il se chaussa, prit son fusil et partit à la recherche des prétendus braconniers. Laissant ainsi sa femme seule. Le lendemain, on le retrouva à deux lieues d'ici, ficelé des pieds à la tête, son fusil tordu, sa culotte à l'envers et avec trois lièvres trépassés autour du coup. Une pancarte était sur sa poitrine. On pouvait y lire « Qui va à la chasse, perd sa place.»
Les sabots
Pendant la messe, un curé d'un petit village normand annonça que M.Césaire Omont recherchait une servante. Les Malandain, décidèrent d'envoyer leur fille de vingts ans, niaise et peu dégourdie. Elle fut engagée pour le lendemain. Elle, docile, fait tout ce que doit faire une bonne servante. Mais monsieur Césaire Omont veut tout partager avec elle, son thé, son repas, son café … Et même sa couche ! 6 mois après qu'elle ai été employé alors qu'elle allait manger ses parents, son père se rendit compte qu'elle était enceinte ! Il avait mêlé leurs sabots. Sa mère l'insulta alors de trainée … Son père quant à lui, était surpris par sa sottise. Elle ne savait absolument pas ce qu'elle faisait, ne mesurait aucunement les conséquence de cet acte. Il alla donc voir monsieur Césaire Omont. Et quelques jours plus tard, on annonçait les bans de monsieur Onufre-Césaire Omont avec Céleste-Adelaïde Malandain.
La rempailleuse
Onze chasseurs, huit jeunes femmes et le médecin du pays étaient assis atour d'une grande table illuminée. Arriva l'éternelle question de savoir si l'on peut aimer passionnément plusieurs fois ou seulement une. Le médecin, lorsqu'on lui demanda son avis, répondit en racontant une histoire d'amour dont il avait eu connaissance. Il avait été appelé, il y a trois mois auprès de cette vieille femme, à son lit de mort. Et comme testament, elle lui raconta sa vie. Elle n'avait jamais eu de logis planté en terre, ses deux parents était rempailleur. Petite, elle errait dans les rues. Lorsqu'elle fut plus grande on l'envoya faire la récolte des fonds de sièges avariés. C'est alors qu'à 11 ans, elle rencontra le petit Chouquet, qui pleurait parce qu'on lui avait volé ses sous. Elle dut boulversée, et lui offrit toutes ses économies. Elle, folle de joie, prit l'audace de l'embrasser. Il se laissa faire, omnibulé par sa monnaie. Pendant 4 ans, la même histoire se répétait, elle lui donnait ses économies en échange de baisers. Puis, elle apprit qu'on l'avait mis au collège. Déchirée, elle réussi à convaincre ses parents de changer d'itinéraire et les faire passer ici pendant les vacances. Lorsqu'ils se croisaient, il feignait de ne pas la voir. Désespérée elle pleura pendant des jours. Jusqu'au jour où il le croisa en compagnie d'une jeune femme. Qui était sa bien-aimée. Elle tenta de se sucider, en se jetant dans la mare mais fut repêchée par un ivrogne qui l'amena à la pharmacie de Chouquet. Il la soigna. Et elle demeura tout le reste de sa vie folle de lui. Ses dernières volontés était de donner toutes ses économies au pharmacien. Le médecin s'en chargea, et, lorsqu'il raconta l'histoire de cette pauvre rempailleuse, monsieur Chouquet fut outré et indigné du fait d'avoir été aimé par une « gueuse». Sa femme était du même avis. Mais, voyant l'argent, il l'empochèrent tout de même, ainsi que sa voiture.
Je vous remercie d'avance.
Menuet
Tous les matins Jean Bridelle, se promenait dans la pépinière du Luxembourg. Mais il s'aperçut un jour, qu'il n'était pas le seul à aimer ces promenades matinales. Il rencontra un étrange vieillard. Il fut intrigué par cet homme, qu'il décida d'observer. C'est alors qu'un matin, se croyant seul, le vieil homme se mit à danser, d'une manière extrêmement élégante. D'abord surpris par cette attitude, il se risqua à lui parler. Il furent bientôt amis. Et il lui raconta qu'il avait été autrefois maître de danse à l'opéra et qu'il était mariée à la Castris. Et que ce jardin était leur plaisir, et leur vie. Il lui présenta sa femme, et ensemble, ils dansèrent un menuet tel que Jean Brodelle ne l'oublia jamais. Deux ans plus tard, lorsque Jean Bridelle revint à Paris, la pépinière avait disparu. Si ce jardin était leur vie, que sont devenus ces deux personnes ?
La peur
Le commandant, contait à ses hommes la peur qu'il avait eu lorsque son navire était resté 6 heures battu par la mer, un rocher le traversant. C'est alors qu'un des hommes, à la figure brûlée prit la parole d'une voix grave. Expliquant que lui avait réellement connu les peurs les plus terribles : la vraie peur. En effet, dans le désert, il avait cru entendre un tambour, battant la mesure. C'est à ce moment que son compagnon tomba de son cheval et s'écroula, terrassée par une insolation. Lorsqu'il tenta de réanimer son ami, le tambour résonnant toujours à ses oreilles, il avait senti la peur glisser dans ses os. Il apprit plus tard, que ce bruit n'était sans doute qu'un mirage du son. Une autre fois, alors qu'il allait souper chez un garde forestier, il avait été une seconde fois confontée à cette peur. En effet, ce garde forestier avait, auparavant tué un braconnier, cela faisait deux ans jour pour jour. Et celui-ci affirma que la victime allait comme l'année précédente venir les hanter. C'est alors que le chien se mit à hurler à la mort. L'homme au visage brun le vit ! Le fantôme par la fenêtre. Le garde forestier tira ! Et les cris s’arrêtèrent. Le garde forrestier avait en réalité tirer sur son chien, par erreur. L'homme à la figure brûlée conclua ses deux histoires en affirmant que lui, avait connu la véritable peur.
Farce Normande
On fêtait un mariage e Normandie. Celui de Jean Patu, riche fermier du pays, et Rosalie Roussel. La fête se passa fort bien : On but, on mangea, on blagua. Il sembla que quelques malins préparaient une farce. Vint alors le moment pour les mariés de vivre leur nuit nuptiale. La jeune femme se déshabilla et entra ans le lit. Alors qu'il cherchait ses lèvres, Jean entendit au loin un coup de feu. Il s'aprocha de la fenêtre et observa l'orizon. Sa toute jeune femme l'enlaça, lui demandant de ne pas penser aux braconniers qui pourraient éventuellement chasser dans ses contrées. Il céda, la saisit et au moment où il la posa sur le lit, entendit un nouveau coup de feu. C'en fut trop. Il se chaussa, prit son fusil et partit à la recherche des prétendus braconniers. Laissant ainsi sa femme seule. Le lendemain, on le retrouva à deux lieues d'ici, ficelé des pieds à la tête, son fusil tordu, sa culotte à l'envers et avec trois lièvres trépassés autour du coup. Une pancarte était sur sa poitrine. On pouvait y lire « Qui va à la chasse, perd sa place.»
Les sabots
Pendant la messe, un curé d'un petit village normand annonça que M.Césaire Omont recherchait une servante. Les Malandain, décidèrent d'envoyer leur fille de vingts ans, niaise et peu dégourdie. Elle fut engagée pour le lendemain. Elle, docile, fait tout ce que doit faire une bonne servante. Mais monsieur Césaire Omont veut tout partager avec elle, son thé, son repas, son café … Et même sa couche ! 6 mois après qu'elle ai été employé alors qu'elle allait manger ses parents, son père se rendit compte qu'elle était enceinte ! Il avait mêlé leurs sabots. Sa mère l'insulta alors de trainée … Son père quant à lui, était surpris par sa sottise. Elle ne savait absolument pas ce qu'elle faisait, ne mesurait aucunement les conséquence de cet acte. Il alla donc voir monsieur Césaire Omont. Et quelques jours plus tard, on annonçait les bans de monsieur Onufre-Césaire Omont avec Céleste-Adelaïde Malandain.
La rempailleuse
Onze chasseurs, huit jeunes femmes et le médecin du pays étaient assis atour d'une grande table illuminée. Arriva l'éternelle question de savoir si l'on peut aimer passionnément plusieurs fois ou seulement une. Le médecin, lorsqu'on lui demanda son avis, répondit en racontant une histoire d'amour dont il avait eu connaissance. Il avait été appelé, il y a trois mois auprès de cette vieille femme, à son lit de mort. Et comme testament, elle lui raconta sa vie. Elle n'avait jamais eu de logis planté en terre, ses deux parents était rempailleur. Petite, elle errait dans les rues. Lorsqu'elle fut plus grande on l'envoya faire la récolte des fonds de sièges avariés. C'est alors qu'à 11 ans, elle rencontra le petit Chouquet, qui pleurait parce qu'on lui avait volé ses sous. Elle dut boulversée, et lui offrit toutes ses économies. Elle, folle de joie, prit l'audace de l'embrasser. Il se laissa faire, omnibulé par sa monnaie. Pendant 4 ans, la même histoire se répétait, elle lui donnait ses économies en échange de baisers. Puis, elle apprit qu'on l'avait mis au collège. Déchirée, elle réussi à convaincre ses parents de changer d'itinéraire et les faire passer ici pendant les vacances. Lorsqu'ils se croisaient, il feignait de ne pas la voir. Désespérée elle pleura pendant des jours. Jusqu'au jour où il le croisa en compagnie d'une jeune femme. Qui était sa bien-aimée. Elle tenta de se sucider, en se jetant dans la mare mais fut repêchée par un ivrogne qui l'amena à la pharmacie de Chouquet. Il la soigna. Et elle demeura tout le reste de sa vie folle de lui. Ses dernières volontés était de donner toutes ses économies au pharmacien. Le médecin s'en chargea, et, lorsqu'il raconta l'histoire de cette pauvre rempailleuse, monsieur Chouquet fut outré et indigné du fait d'avoir été aimé par une « gueuse». Sa femme était du même avis. Mais, voyant l'argent, il l'empochèrent tout de même, ainsi que sa voiture.
Je vous remercie d'avance.