rédaction sur le cyclone Erica
Posté : sam. 28 janv. 2012 22:32
Bonjour, pouvez-vous m'aider pour ma rédaction ?
Voici le texte :
Vigilant, Dal le fut. Mais très vite il vécut sa première grande frayeur, un jour de cyclone, lorsque après un silence angoissant de tous les éléments, le vent commença à se lever et à souffler comme jamais il ne l’aurait imaginé. Le Snark était giflé et ballotté sur son bâbord puis sur son tribord, il piquait du nez dans les murs de vagues comme s’il sombrait. Les bois craquaient, la pluie cinglante et aveuglante ajoutait à la panique de l’équipage bousculé violemment dans un tangage indescriptible. Ce cauchemar durait depuis des heures lorsque tout à coup, étonnés, les hommes eurent l’impression que le calme et son silence étaient revenus. Dal comprit que le Snark se trouvait dans l’œil du cyclone et que cette accalmie serait de courte durée. Ne laissant pas à l’équipage le temps de souffler, il donna d’une voix sèche ses ordres comme un capitaine chevronné. Il savait que, pour maintenir le cap, il lui fallait un volontaire qu’il attacherait à la barre. Un garçon d’Ouvéa, aux muscles coulés dans le bronze leva la main. L’eau continuait à s’écraser violemment sur le pont. Le vent reprenait des forces. Ils avaient l’impression que tout l’océan cherchait à s’engouffrer dans la cale.
Douze heures durant, ils écopèrent à l’aide de récipients trouvés à bord. Douze heures durant, ils se relayèrent auprès du barreur enchaîné en essayant de lui faire partager par gestes leur espoir qu’ils s’en sortiraient. Tous étaient tellement appliqués, dans un automatisme devenu inconscient, à contrôler ce désordre de la nature que personne ne vit arriver l’accalmie au petit matin. L’épuisement des hommes avait alourdi leurs gestes. Lorsque enfin ils aperçurent l’une des îles Loyauté, ils jetèrent l’ancre comme on se débarrasse d’un mauvais sort, quittèrent le bord et se laissèrent tomber sur le sable tiède du rivage.
Denyse Anne Pentecost : « L’appel du Pacifique » ed. R. Laffont
Voici le sujet :
Comme Dal vous avez vécu un moment de cauchemar chez vous ou ailleurs lors du passage du cyclone Erica en 2002. Racontez cette épreuve difficile.
Votre texte devra comporter une vingtaine de lignes.
Consignes pour rédiger :
- Utilisez les temps du récit
- Ecrivez à la première personne (je ou nous)
- Décrivez le paysage extérieur de ce rude instant, ainsi que l’ambiance qui pouvait régner au sein de votre famille.
Pour l'instant je cherche, mais je n'ai pas d'idée.
Voici ma rédaction :
J'étais sous Erica.
Dans l'après midi, la force du vent a augmenté progressivement. La radio, la télévision ont donné l'alerte. On sentait que quelque chose de grave allait se passer, mais ce n'était pas la panique...
à toi pour la suite.
Le vent dans les arbres, les vagues pour ceux qui étaient en bord de mer, les branches cassées qui tombaient sur les toits, l’agitation de ceux qui calfeutraient les ouvertures, les bateaux amarrés plus solidement, pas d'oiseaux, l'angoisse dans l'obscurité des maisons, les affaires urgentes prêtes à être emportées en cas de fuite, les lampes à portée de main tous s’agités. Je sortis à toute vitesse dehors pour voir ce qu’il se passait et j’observais un grand cyclone qui était en train de se former. Je me réfugiais vite dans la maison et réveillais mes parents. Ils se réveillèrent tout de suite et s’habillèrent. Mes parents et moi, nous abritèrent à la cave. A l’extérieur, nous entendions des craquements, des cris. Tout d’un coup, la maison se détruisit et le cyclone emporta tout avec lui. Mes parents et moi avions beaucoup peur et même qu’à un moment ma mère se mit à pleurer et mon père était très triste car toute la maison était détruite. Lorsqu’il n’y eut plus de bruit, nous sortîmes de la cave. J’observais ce paysage détruit par ce cyclone, ces maisons, ces voiturent détruit. D’un côté nous étions triste car notre maison et tous nos biens avaient disparus, mais de l’autre côté, nous étions content car nous sommes vivant.
Merci d'avance pour vos réponses.
Voici le texte :
Vigilant, Dal le fut. Mais très vite il vécut sa première grande frayeur, un jour de cyclone, lorsque après un silence angoissant de tous les éléments, le vent commença à se lever et à souffler comme jamais il ne l’aurait imaginé. Le Snark était giflé et ballotté sur son bâbord puis sur son tribord, il piquait du nez dans les murs de vagues comme s’il sombrait. Les bois craquaient, la pluie cinglante et aveuglante ajoutait à la panique de l’équipage bousculé violemment dans un tangage indescriptible. Ce cauchemar durait depuis des heures lorsque tout à coup, étonnés, les hommes eurent l’impression que le calme et son silence étaient revenus. Dal comprit que le Snark se trouvait dans l’œil du cyclone et que cette accalmie serait de courte durée. Ne laissant pas à l’équipage le temps de souffler, il donna d’une voix sèche ses ordres comme un capitaine chevronné. Il savait que, pour maintenir le cap, il lui fallait un volontaire qu’il attacherait à la barre. Un garçon d’Ouvéa, aux muscles coulés dans le bronze leva la main. L’eau continuait à s’écraser violemment sur le pont. Le vent reprenait des forces. Ils avaient l’impression que tout l’océan cherchait à s’engouffrer dans la cale.
Douze heures durant, ils écopèrent à l’aide de récipients trouvés à bord. Douze heures durant, ils se relayèrent auprès du barreur enchaîné en essayant de lui faire partager par gestes leur espoir qu’ils s’en sortiraient. Tous étaient tellement appliqués, dans un automatisme devenu inconscient, à contrôler ce désordre de la nature que personne ne vit arriver l’accalmie au petit matin. L’épuisement des hommes avait alourdi leurs gestes. Lorsque enfin ils aperçurent l’une des îles Loyauté, ils jetèrent l’ancre comme on se débarrasse d’un mauvais sort, quittèrent le bord et se laissèrent tomber sur le sable tiède du rivage.
Denyse Anne Pentecost : « L’appel du Pacifique » ed. R. Laffont
Voici le sujet :
Comme Dal vous avez vécu un moment de cauchemar chez vous ou ailleurs lors du passage du cyclone Erica en 2002. Racontez cette épreuve difficile.
Votre texte devra comporter une vingtaine de lignes.
Consignes pour rédiger :
- Utilisez les temps du récit
- Ecrivez à la première personne (je ou nous)
- Décrivez le paysage extérieur de ce rude instant, ainsi que l’ambiance qui pouvait régner au sein de votre famille.
Pour l'instant je cherche, mais je n'ai pas d'idée.
Voici ma rédaction :
J'étais sous Erica.
Dans l'après midi, la force du vent a augmenté progressivement. La radio, la télévision ont donné l'alerte. On sentait que quelque chose de grave allait se passer, mais ce n'était pas la panique...
à toi pour la suite.
Le vent dans les arbres, les vagues pour ceux qui étaient en bord de mer, les branches cassées qui tombaient sur les toits, l’agitation de ceux qui calfeutraient les ouvertures, les bateaux amarrés plus solidement, pas d'oiseaux, l'angoisse dans l'obscurité des maisons, les affaires urgentes prêtes à être emportées en cas de fuite, les lampes à portée de main tous s’agités. Je sortis à toute vitesse dehors pour voir ce qu’il se passait et j’observais un grand cyclone qui était en train de se former. Je me réfugiais vite dans la maison et réveillais mes parents. Ils se réveillèrent tout de suite et s’habillèrent. Mes parents et moi, nous abritèrent à la cave. A l’extérieur, nous entendions des craquements, des cris. Tout d’un coup, la maison se détruisit et le cyclone emporta tout avec lui. Mes parents et moi avions beaucoup peur et même qu’à un moment ma mère se mit à pleurer et mon père était très triste car toute la maison était détruite. Lorsqu’il n’y eut plus de bruit, nous sortîmes de la cave. J’observais ce paysage détruit par ce cyclone, ces maisons, ces voiturent détruit. D’un côté nous étions triste car notre maison et tous nos biens avaient disparus, mais de l’autre côté, nous étions content car nous sommes vivant.
Merci d'avance pour vos réponses.