question sur une lettre de poilu.
Posté : mar. 20 déc. 2011 21:18
bonjour, pouvez-vous m'aider pour mes questions ?
voilà les questions et le texte :
D'origine auvergnate Marin Guillaumont était instituteur avant La guerre. IL y fut blessé et gazé et mourut huit ans après la guerre en 1926. Sa femme Marguerite venait de donner naissance à leur fille Lucie Lorsqu'il lui écrivit cette lettre.
14 décembre 1914
8 heures du soir
Ma bien chérie
J'ai reçu ton télégramme. Que je suis content et inquiet!
Comment vas-tu, chérie, comment va notre fillette?
As-tu bien souffert ?
As-tu pu avoir un médecin?
Avais-tu trouvé une nourrice? Le télégramme est bien bref...
Que j'attends des détails
Je crains tant de choses. L'état d'esprit dans lequel tu vis depuis quatre mois et demi a pu avoir une influence malheureuse. Le souci peut lui nuire. Reste courageuse, ma chérie. Pense à notre fillette.
Comment l'appelles-tu?
Fais-moi vite savoir son nom. Qu'il me tarde de la voir, que je suis impatient de revenir. Mais mon retour est encore bien loin, plusieurs mois certainement...
Cause-moi longuement d'elle dès que tu pourras le faire. Dis-moi tout. J'espère la voir. Je veux la voir. Que je regrette gu'elle ne soit pas née un an plus tôt! Fais-moi envoyer beaucoup de papier à lettres pour que je puisse t'écrire longuement.
Toutes les fois que la chose ne sera pas possible, embrasse-la pour moi. Je ne dormirai sans doute pas de cette nuit. Mais sois tranquille, je ne serai pas malheureux, pourtant je suis inquiet: s'il y avait des complications, il ne t'est pas commode d'avoir un médecin et il n'y a guère de pharmaciens.
Ce soir j'ai reçu deux lettres de toi, une carte, une lettre d'Yvonne et une carte de Jean. J'ai tout brouillé et ne m'y reconnais plus. Il me sera une distraction de les relire demain; elles me sembleront encore fraîches.
Dis-moi que notre enfant vivra, il me tarde de savoir.
C'est si frêle, ces pauvres petits. Il faut si peu. J'espère.
De quelle couleur sont ses yeux?
Comment sont ses menottes?
Sera-t-elle jolie?
Que je voudrais qu'elle te ressemble. Hélas, je ne pourrai pas la voir toute petite. Je l'aime, vois-tu, je l'aime autant gue je t'aime. Dis-moi, fais-moi dire beaucoup de choses d'elle.
Pleure-t-elle beaucoup?
Toi, tu souffres, chérie?
As-tu pu rédiger le télégramme toi-même; non, sans doute on l'a signé de toi pour me rassurer.
Mais pourquoi cela irait-il?
N'avons-nous pas assez d'épreuves sans cela?
Tout va bien, n'est-ce pas?
Tu me donneras de bonnes nouvelles. Dès que tu pourras m'écrire, tu le feras longuement.
Où serai-je alors? quelquepart sur le front; il y a loin de la Suisse à la mer du Nord. Chacun n'est qu'un atome. Mais si tout va bien je vivrai, j'ai confiance. Je garde toujours mon sang-froid; nous serons bien heureux, va, plus tard; dans quelques mois, nous en achetons bien le droit. Je n'ai pas vu notre enfant, je veux le voir et j'ai l'intime conviction que je le verrai. Il le faut bien, n'est-ce pas?
Garde mes lettres, si je ne revenais pas, elle pourra les lire plus tard, elle saura que son papa l'a bien aimée.
Fais que notre enfant soit digne de toi et de ses grands parents: elle n'aura pas à rougir de son nom, dis-lui bien que si j'ai pu tirer dans ces affreux moments c'était par nécessité mais que je n'ai jamais sacrifié une vie inutilement, que je réprouve ces meurtres collectifs, que je les considère comme pires que des assassinats, que je n'ai haï que ceux qui les ont voulus.
Enseigne-lui à être bonne et simple. Au fur et à mesure qu'elle grandira et pourra te comprendre, instruis-la en tout, ne crains pas de lui parler des laideurs de la vie, qu'elle ne soit pas désarmée et qu'elle ne fasse souffrir personne. Ne tolère jamais chez elle la médisance. Je voudrais qu'elle puisse faire de la musique et des langues étrangères, sans cela on n'est que des êtres incomplets. Mais pourquoi te dire tout cela, tu le sais aussi bien que moi et puis nous serons bien là tous les deux. En attendant mon retour, aime-la beaucoup, doublement pour toi et pour moi et fais moi vite savoir son nom. J'aimerais bien une Lucienne, Yvonne, Marguerite, Marcelle, Germaine...
Que sais-je, ou bien donne-lui un prénom anglais, il y en a de gentils.
Mais c'est déjà fait, je l'aime sous n'importe quel nom. Il me tarde de le savoir, c'est tout.
Que je voudrais être près de toi pour te soigner moi-même, pour la dorloter et dire qu'après mon retour il me faudra encore vivre loin d'elle, mais l'espoir de la conserver sera plus ferme. Je suis fou. Je m'arrête d'écrire pour dire que j'ai une fIlle. « J'ai une fille. » Que c'est bon à dire: je la
vois déjà grandelette, il me semble la voir lorsqu'elle reviendra de classe avec toi.
Vois-tu, si je ne reviens pas, j'aurai vécu toute sa vie. Il me semble déjà la suivre dans la vie. Mais lorsque cette lettre t'arrivera, que sera-t-elle?
Si tu étais à Paris je me ferais porter pour la voir.
S'il était possible d'en avoir une photo...
Que je voudrais la voir toute, toute petite! Si tout va bien, tu dois être bienheureuse: donne-toi tout entière à elle;
c'est à elle que tu te dois désormais, si je te manquais, tu n'aurais plus qu'elle pour adoucir ta vie: une mère et sa
fIlle lorsqu'elles s'aiment ne doivent et ne peuvent jamais être malheureuses. ,
Vous causerez de moi, mais je serai avec vous. Elle a bien besoin d'un petit frère pour la taquiner un .Reu. Je suis content que ce soit une fillette. Il est plus difficile de lui faire une situation; mais au moins elle n'est pas appelée à voir les horreurs qu'un homme peut voir. Je doute que les
nations soient assez sages pour aller après cette guerre, résolument au désarmement et à une paix durable. La pau
vre enfant est née en des heures bien tragiques.
N'es-tu pas née à peu près à cette époque de l'année?
Quel jour est-elle née, ton télégramme ne le dit pas.
Que l'on m'écrive longuement, J'attends vois-tu.....
Va, si je reviens, tu ne manqueras de rien, toi et notre enfant. Devrais-je pour cela me priver de tout et me faire terrassier en dehors des heures de classe. Si la fatalité voulait que je meure sans te revoir, sans la voir, sois ferme: toutes les forces ont un fruit.
Tu n'y as jamais songé n'est-ce pas, mais lorsque je pense à tout ce que j'aurais pu faire pour toi et que je n'ai pas fait!
Ne parlons plus de cela, tu me tirerais la langue coquine... Tu as toujours la robe que tu as brodée l'hiver dernier: il te faudra la mettre l'été prochain.
Je te causerai encore longuement demain. Tu ne liras pas toute ma lettre à la fois, cela te fatiguerait. Jet' écris allongé dans du foin, à la lumière d'une bougie. Je l'ai dit à Ferry, je l'ai dit au lieutenant. Joffre passerait je crois que je l'arrêterais pour le lui dire, mais il est loin quelque part vers le front, plus près des Boches que nous en ce moment.
Questions :
1) Relevez les indices qui permettent d'identifier la situation d'énonciation de ce texte.
Qui en est l'auteur ? Quelle est sa situation.
2) Quel est l'événement auquel réagit l'auteur de la lettre ?
En quoi le contexte dans lequel il l'apprend lui donne-t-il une signification particulière ?
3) Quel champ lexical traduit le lien qui existe entre l'auteur et le destinataire de la lettre ?
Dans quel passage la fierté du soldat éclate-t-elle ?
4) Comment l'auteur de la lettre manifeste-t-il sa curiosité ? A l'égard de quoi ?
5) Quels sont les sentiments exprimés à l'égard de la femme et de l'enfant ? Le soldat s'apitoie-t-il sur son sort ? Pourquoi ?
6) Quels sont les regrets successifs exprimés ? En quoi la guerre est-elle responsable de ces regrets ?
7) Quels sont les enjeux de cette lettre ? Quel intérêt sa publication présente-t-elle ?
( N'oubliez pas de citer le texte et d'indiquer les lignes )
8) Réecriture de "Cause-moi" L14 à "pour moi" L18.
REPONSES :
1) L'auteur est "Marin Guillaumont" paratexte. Le destinataire est sa femme "Marguerite" paratexte. Il est à la guerre "je l'ai dit au lieutenant" L43 , " plus près des Boches" L45. Il est inquiet car il vient d'avoir une petite fille qui s'appelle "Lucile" paratexte, "Comment l'appelles-tu ?" L11. Il pose beaucoup de questions à sa femme pour avoir le maximum de renseignements possibles sur sa fille, sa femme et leur mode de vie.
2) L'événement auquel il réagit, c'est à la naissance de sa fille. "Comment l'appelles-tu ?" L11.
J'ai pas trouvé.
3) Le champ lexical est celui de l'amour "Ma bien chérie" L1 , "chérie" L5, "je t'aime" L29-30. Pas trouvé.
4) Il pose beaucoup de questions, par des phrases interrogatives "Comment vas-tu, chérie, comment va notre fillette ?" L4-5. Pas trouvé
5) La peine et l'amour. Pas trouvé
6) De ne pas être à côté d'elle lors de sa naissance. Il ne peut pas quitté l'armée en temps de guerre. Pas trouvé
7) Pas trouvé
pour la réecriture je suis en train de la faire.
Merci davance pour vos réponses.
voilà les questions et le texte :
D'origine auvergnate Marin Guillaumont était instituteur avant La guerre. IL y fut blessé et gazé et mourut huit ans après la guerre en 1926. Sa femme Marguerite venait de donner naissance à leur fille Lucie Lorsqu'il lui écrivit cette lettre.
14 décembre 1914
8 heures du soir
Ma bien chérie
J'ai reçu ton télégramme. Que je suis content et inquiet!
Comment vas-tu, chérie, comment va notre fillette?
As-tu bien souffert ?
As-tu pu avoir un médecin?
Avais-tu trouvé une nourrice? Le télégramme est bien bref...
Que j'attends des détails
Je crains tant de choses. L'état d'esprit dans lequel tu vis depuis quatre mois et demi a pu avoir une influence malheureuse. Le souci peut lui nuire. Reste courageuse, ma chérie. Pense à notre fillette.
Comment l'appelles-tu?
Fais-moi vite savoir son nom. Qu'il me tarde de la voir, que je suis impatient de revenir. Mais mon retour est encore bien loin, plusieurs mois certainement...
Cause-moi longuement d'elle dès que tu pourras le faire. Dis-moi tout. J'espère la voir. Je veux la voir. Que je regrette gu'elle ne soit pas née un an plus tôt! Fais-moi envoyer beaucoup de papier à lettres pour que je puisse t'écrire longuement.
Toutes les fois que la chose ne sera pas possible, embrasse-la pour moi. Je ne dormirai sans doute pas de cette nuit. Mais sois tranquille, je ne serai pas malheureux, pourtant je suis inquiet: s'il y avait des complications, il ne t'est pas commode d'avoir un médecin et il n'y a guère de pharmaciens.
Ce soir j'ai reçu deux lettres de toi, une carte, une lettre d'Yvonne et une carte de Jean. J'ai tout brouillé et ne m'y reconnais plus. Il me sera une distraction de les relire demain; elles me sembleront encore fraîches.
Dis-moi que notre enfant vivra, il me tarde de savoir.
C'est si frêle, ces pauvres petits. Il faut si peu. J'espère.
De quelle couleur sont ses yeux?
Comment sont ses menottes?
Sera-t-elle jolie?
Que je voudrais qu'elle te ressemble. Hélas, je ne pourrai pas la voir toute petite. Je l'aime, vois-tu, je l'aime autant gue je t'aime. Dis-moi, fais-moi dire beaucoup de choses d'elle.
Pleure-t-elle beaucoup?
Toi, tu souffres, chérie?
As-tu pu rédiger le télégramme toi-même; non, sans doute on l'a signé de toi pour me rassurer.
Mais pourquoi cela irait-il?
N'avons-nous pas assez d'épreuves sans cela?
Tout va bien, n'est-ce pas?
Tu me donneras de bonnes nouvelles. Dès que tu pourras m'écrire, tu le feras longuement.
Où serai-je alors? quelquepart sur le front; il y a loin de la Suisse à la mer du Nord. Chacun n'est qu'un atome. Mais si tout va bien je vivrai, j'ai confiance. Je garde toujours mon sang-froid; nous serons bien heureux, va, plus tard; dans quelques mois, nous en achetons bien le droit. Je n'ai pas vu notre enfant, je veux le voir et j'ai l'intime conviction que je le verrai. Il le faut bien, n'est-ce pas?
Garde mes lettres, si je ne revenais pas, elle pourra les lire plus tard, elle saura que son papa l'a bien aimée.
Fais que notre enfant soit digne de toi et de ses grands parents: elle n'aura pas à rougir de son nom, dis-lui bien que si j'ai pu tirer dans ces affreux moments c'était par nécessité mais que je n'ai jamais sacrifié une vie inutilement, que je réprouve ces meurtres collectifs, que je les considère comme pires que des assassinats, que je n'ai haï que ceux qui les ont voulus.
Enseigne-lui à être bonne et simple. Au fur et à mesure qu'elle grandira et pourra te comprendre, instruis-la en tout, ne crains pas de lui parler des laideurs de la vie, qu'elle ne soit pas désarmée et qu'elle ne fasse souffrir personne. Ne tolère jamais chez elle la médisance. Je voudrais qu'elle puisse faire de la musique et des langues étrangères, sans cela on n'est que des êtres incomplets. Mais pourquoi te dire tout cela, tu le sais aussi bien que moi et puis nous serons bien là tous les deux. En attendant mon retour, aime-la beaucoup, doublement pour toi et pour moi et fais moi vite savoir son nom. J'aimerais bien une Lucienne, Yvonne, Marguerite, Marcelle, Germaine...
Que sais-je, ou bien donne-lui un prénom anglais, il y en a de gentils.
Mais c'est déjà fait, je l'aime sous n'importe quel nom. Il me tarde de le savoir, c'est tout.
Que je voudrais être près de toi pour te soigner moi-même, pour la dorloter et dire qu'après mon retour il me faudra encore vivre loin d'elle, mais l'espoir de la conserver sera plus ferme. Je suis fou. Je m'arrête d'écrire pour dire que j'ai une fIlle. « J'ai une fille. » Que c'est bon à dire: je la
vois déjà grandelette, il me semble la voir lorsqu'elle reviendra de classe avec toi.
Vois-tu, si je ne reviens pas, j'aurai vécu toute sa vie. Il me semble déjà la suivre dans la vie. Mais lorsque cette lettre t'arrivera, que sera-t-elle?
Si tu étais à Paris je me ferais porter pour la voir.
S'il était possible d'en avoir une photo...
Que je voudrais la voir toute, toute petite! Si tout va bien, tu dois être bienheureuse: donne-toi tout entière à elle;
c'est à elle que tu te dois désormais, si je te manquais, tu n'aurais plus qu'elle pour adoucir ta vie: une mère et sa
fIlle lorsqu'elles s'aiment ne doivent et ne peuvent jamais être malheureuses. ,
Vous causerez de moi, mais je serai avec vous. Elle a bien besoin d'un petit frère pour la taquiner un .Reu. Je suis content que ce soit une fillette. Il est plus difficile de lui faire une situation; mais au moins elle n'est pas appelée à voir les horreurs qu'un homme peut voir. Je doute que les
nations soient assez sages pour aller après cette guerre, résolument au désarmement et à une paix durable. La pau
vre enfant est née en des heures bien tragiques.
N'es-tu pas née à peu près à cette époque de l'année?
Quel jour est-elle née, ton télégramme ne le dit pas.
Que l'on m'écrive longuement, J'attends vois-tu.....
Va, si je reviens, tu ne manqueras de rien, toi et notre enfant. Devrais-je pour cela me priver de tout et me faire terrassier en dehors des heures de classe. Si la fatalité voulait que je meure sans te revoir, sans la voir, sois ferme: toutes les forces ont un fruit.
Tu n'y as jamais songé n'est-ce pas, mais lorsque je pense à tout ce que j'aurais pu faire pour toi et que je n'ai pas fait!
Ne parlons plus de cela, tu me tirerais la langue coquine... Tu as toujours la robe que tu as brodée l'hiver dernier: il te faudra la mettre l'été prochain.
Je te causerai encore longuement demain. Tu ne liras pas toute ma lettre à la fois, cela te fatiguerait. Jet' écris allongé dans du foin, à la lumière d'une bougie. Je l'ai dit à Ferry, je l'ai dit au lieutenant. Joffre passerait je crois que je l'arrêterais pour le lui dire, mais il est loin quelque part vers le front, plus près des Boches que nous en ce moment.
Questions :
1) Relevez les indices qui permettent d'identifier la situation d'énonciation de ce texte.
Qui en est l'auteur ? Quelle est sa situation.
2) Quel est l'événement auquel réagit l'auteur de la lettre ?
En quoi le contexte dans lequel il l'apprend lui donne-t-il une signification particulière ?
3) Quel champ lexical traduit le lien qui existe entre l'auteur et le destinataire de la lettre ?
Dans quel passage la fierté du soldat éclate-t-elle ?
4) Comment l'auteur de la lettre manifeste-t-il sa curiosité ? A l'égard de quoi ?
5) Quels sont les sentiments exprimés à l'égard de la femme et de l'enfant ? Le soldat s'apitoie-t-il sur son sort ? Pourquoi ?
6) Quels sont les regrets successifs exprimés ? En quoi la guerre est-elle responsable de ces regrets ?
7) Quels sont les enjeux de cette lettre ? Quel intérêt sa publication présente-t-elle ?
( N'oubliez pas de citer le texte et d'indiquer les lignes )
8) Réecriture de "Cause-moi" L14 à "pour moi" L18.
REPONSES :
1) L'auteur est "Marin Guillaumont" paratexte. Le destinataire est sa femme "Marguerite" paratexte. Il est à la guerre "je l'ai dit au lieutenant" L43 , " plus près des Boches" L45. Il est inquiet car il vient d'avoir une petite fille qui s'appelle "Lucile" paratexte, "Comment l'appelles-tu ?" L11. Il pose beaucoup de questions à sa femme pour avoir le maximum de renseignements possibles sur sa fille, sa femme et leur mode de vie.
2) L'événement auquel il réagit, c'est à la naissance de sa fille. "Comment l'appelles-tu ?" L11.
J'ai pas trouvé.
3) Le champ lexical est celui de l'amour "Ma bien chérie" L1 , "chérie" L5, "je t'aime" L29-30. Pas trouvé.
4) Il pose beaucoup de questions, par des phrases interrogatives "Comment vas-tu, chérie, comment va notre fillette ?" L4-5. Pas trouvé
5) La peine et l'amour. Pas trouvé
6) De ne pas être à côté d'elle lors de sa naissance. Il ne peut pas quitté l'armée en temps de guerre. Pas trouvé
7) Pas trouvé
pour la réecriture je suis en train de la faire.
Merci davance pour vos réponses.