Les points de vue.
Posté : lun. 21 nov. 2011 02:12
Bonjour, alors voilà j'ai des exercices a faire mais j'ai du mal, si vous pouviez m'aider ça me soulagerait énormément :
_Ex 1 : a. De qui le lecteur partage-t-il les sentiments ? Justifiez. b.Quel est le point de vue dans cet extrait ?
La jeune femme,interdite par l'étrange accueil des Lorilleux, mal à l'aise sous leurs regards obliques, avait un bourdonnement d'oreilles qui l’empêchait d’entendre. Elle trouvait la femme très vieille pour trente ans, l'air revêche, malpropre avec ses cheveux queue de vache, roulés sur une camisole défaite. Le mari d'une année plus âgé seulement, lui semblait un vieillard, aux minces lèvres méchantes.
_Ex 2: Pour chaque extrait, de quel point de vue s’agit-il ?
1- L’homme était parti de Paris vers deux heures. Une seule idée occupait sa tête
vide d’ouvrier sans travail, l’espoir que le froid serait moins vif après le lever
du jour. (Germinal, de Zola)
2- Le 15 Septembre 1840, vers Six heures du matin, le bateau, prêt à partir,
fumait à gros tourbillons devant le quai Saint Bernard. Des gens arrivaient hors
d’haleine ; des barriques, des câbles, des corbeilles de linge gênaient la
circulation (L’Education sentimentale, Flaubert)
3- Un jeune homme, beau comme était le jour de ce jour-là, mis avec goût, aisé
dans ses manières (disons le secret), un enfant de l’amour, le fils naturel de
Lord Dudley et de la célèbre Marquise de Vordac, se promenait dans la grande
allée des Tuileries. (La fille aux yeux d’or, Balzac)
_Ex 3: Relevez les verbes exprimant les pensées et les sentiments. Quel est le
point de vue adopté ? Quel est l’effet produit sur le lecteur ?
Dès lors Félicité pensa exclusivement à son neveu. Les jours de soleil, elle se
tourmentait de la soif ; quand il faisait de l’orage, craignait pour lui la foudre. En
écoutant le vent qui grondait dans la cheminée et emportait les ardoises, elle le voyait
battu par cette même tempête, au sommet d’un mât fracassé. (Un cœur simple, de
Flaubert)
_Ex 4: a. Le lecteur connait-il les sentiments des personnages ? b.La bagarre est-elle racontée du pont de vue d'un personnage ? c.Quel est le point de vue adopté ?
La bataille recommença, muette, sans un cri, sans une injure. Elles ne se prenaient pas corps à corps, s’attaquaient à la figure, les mains ouvertes et crochues, pinçant, griffant ce qu’elles empoignaient. Le ruban rouge et le filet en chenille bleue de la grande brune furent arrachés ; son corsage, craqué au cou, montra sa peau, tout un bout d’épaule
_Ex 5: Qui le pronom personnel "je" désigne-t-il ? De quel point de vue s'agit-il ? Quel est le genre littéraire de ce texte ?
Rarement, je passai des heures, je ne dirai pas aussi joyeuse ( car j'éprouvais une sorte de gène à m’abandonner à la gaieté), mais aussi plaisantes et heureuse que les quatre jours que dura notre voyage.
_Ex 1 : a. De qui le lecteur partage-t-il les sentiments ? Justifiez. b.Quel est le point de vue dans cet extrait ?
La jeune femme,interdite par l'étrange accueil des Lorilleux, mal à l'aise sous leurs regards obliques, avait un bourdonnement d'oreilles qui l’empêchait d’entendre. Elle trouvait la femme très vieille pour trente ans, l'air revêche, malpropre avec ses cheveux queue de vache, roulés sur une camisole défaite. Le mari d'une année plus âgé seulement, lui semblait un vieillard, aux minces lèvres méchantes.
_Ex 2: Pour chaque extrait, de quel point de vue s’agit-il ?
1- L’homme était parti de Paris vers deux heures. Une seule idée occupait sa tête
vide d’ouvrier sans travail, l’espoir que le froid serait moins vif après le lever
du jour. (Germinal, de Zola)
2- Le 15 Septembre 1840, vers Six heures du matin, le bateau, prêt à partir,
fumait à gros tourbillons devant le quai Saint Bernard. Des gens arrivaient hors
d’haleine ; des barriques, des câbles, des corbeilles de linge gênaient la
circulation (L’Education sentimentale, Flaubert)
3- Un jeune homme, beau comme était le jour de ce jour-là, mis avec goût, aisé
dans ses manières (disons le secret), un enfant de l’amour, le fils naturel de
Lord Dudley et de la célèbre Marquise de Vordac, se promenait dans la grande
allée des Tuileries. (La fille aux yeux d’or, Balzac)
_Ex 3: Relevez les verbes exprimant les pensées et les sentiments. Quel est le
point de vue adopté ? Quel est l’effet produit sur le lecteur ?
Dès lors Félicité pensa exclusivement à son neveu. Les jours de soleil, elle se
tourmentait de la soif ; quand il faisait de l’orage, craignait pour lui la foudre. En
écoutant le vent qui grondait dans la cheminée et emportait les ardoises, elle le voyait
battu par cette même tempête, au sommet d’un mât fracassé. (Un cœur simple, de
Flaubert)
_Ex 4: a. Le lecteur connait-il les sentiments des personnages ? b.La bagarre est-elle racontée du pont de vue d'un personnage ? c.Quel est le point de vue adopté ?
La bataille recommença, muette, sans un cri, sans une injure. Elles ne se prenaient pas corps à corps, s’attaquaient à la figure, les mains ouvertes et crochues, pinçant, griffant ce qu’elles empoignaient. Le ruban rouge et le filet en chenille bleue de la grande brune furent arrachés ; son corsage, craqué au cou, montra sa peau, tout un bout d’épaule
_Ex 5: Qui le pronom personnel "je" désigne-t-il ? De quel point de vue s'agit-il ? Quel est le genre littéraire de ce texte ?
Rarement, je passai des heures, je ne dirai pas aussi joyeuse ( car j'éprouvais une sorte de gène à m’abandonner à la gaieté), mais aussi plaisantes et heureuse que les quatre jours que dura notre voyage.