point de vue
Posté : sam. 19 nov. 2011 17:21
Bonjour,
j'ai une question à poser : mon prof me demande de dire quel point de vue est employé dans un extrait de roman qui présente la ville de New York.
Comme si j’avais su où j’allais, j’ai eu l’air de choisir encore et j’ai changé de route, j’ai pris sur ma droite une autre rue, mieux éclairée, « Broadway »1 qu’elle s’appelait. Le nom je l’ai lu sur une plaque. Bien au-dessus des derniers étages, en haut, restait du jour avec des mouettes et des morceaux du ciel. Nous, on avançait dans la lueur d’en bas, malade comme celle de la forêt et si grise que la rue en était pleine comme un gros mélange de coton sale.
C’était comme une plaie triste la rue qui n’en finissait plus, avec nous au fond, nous autres, d’un bord à l’autre, d’une peine à l’autre, vers le bout qu’on ne voit jamais, le bout de toutes les rues du monde.
Les voitures ne passaient pas, rien que des gens et des gens encore.
C’était le quartier précieux, qu’on m’a expliqué plus tard, le quartier pour l’or : Manhattan. On n’y entre qu’à pied, comme à l’église. C’est le beau cœur en Banque du monde d’aujourd’hui. Il y en a pourtant qui crachent par terre en passant. Faut être osé.
Je ne suis pas sûre de ma réponse : j'ai dit que c'était un point de vue interne car on voit la ville à travers les yeux du narrateur qui dit je. il dit : "j'ai eu l'air de choisir encore et j'ai changé de route". On sait ce qu'il pense de la ville. On a l'impression qu'il parle à la fin : "faut être osé".
Est-ce que ça va ? Merci de m'aider s'il vous plait, parce que j'ai du mal à faire la différence avec le point de vue externe.
Merci
Lison
j'ai une question à poser : mon prof me demande de dire quel point de vue est employé dans un extrait de roman qui présente la ville de New York.
Comme si j’avais su où j’allais, j’ai eu l’air de choisir encore et j’ai changé de route, j’ai pris sur ma droite une autre rue, mieux éclairée, « Broadway »1 qu’elle s’appelait. Le nom je l’ai lu sur une plaque. Bien au-dessus des derniers étages, en haut, restait du jour avec des mouettes et des morceaux du ciel. Nous, on avançait dans la lueur d’en bas, malade comme celle de la forêt et si grise que la rue en était pleine comme un gros mélange de coton sale.
C’était comme une plaie triste la rue qui n’en finissait plus, avec nous au fond, nous autres, d’un bord à l’autre, d’une peine à l’autre, vers le bout qu’on ne voit jamais, le bout de toutes les rues du monde.
Les voitures ne passaient pas, rien que des gens et des gens encore.
C’était le quartier précieux, qu’on m’a expliqué plus tard, le quartier pour l’or : Manhattan. On n’y entre qu’à pied, comme à l’église. C’est le beau cœur en Banque du monde d’aujourd’hui. Il y en a pourtant qui crachent par terre en passant. Faut être osé.
Je ne suis pas sûre de ma réponse : j'ai dit que c'était un point de vue interne car on voit la ville à travers les yeux du narrateur qui dit je. il dit : "j'ai eu l'air de choisir encore et j'ai changé de route". On sait ce qu'il pense de la ville. On a l'impression qu'il parle à la fin : "faut être osé".
Est-ce que ça va ? Merci de m'aider s'il vous plait, parce que j'ai du mal à faire la différence avec le point de vue externe.
Merci
Lison