Re: Rédaction
Posté : mar. 4 mai 2010 14:17
Bonjour Marie,
Voilà ton texte à nouveau corrigé :
Un jour que Laila était sortie acheter des légumes pour sa maîtresse, une jeune femme d'une vingtaine d'années l'aborda, et lui demanda son chemin.
Elle était arrivée il y a deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus.Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait 2 cicatrices sur le front, Laila se demandait d'ou elle provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue l'a vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez vous ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez vous hésité ?
-je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez vous donc ?
-j'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendrez (conditionnel plutôt : vous viendriez) avec moi
-Venir avec vous ! mais je vous connait à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterai pas ! Je vais te raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes 2 cicatrices sur les front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mis à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour ça que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont morte au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit, j’avais 17 ans (à supprimer). Après c'est une autre histoire que je te raconterai peut-être un jour, si tu viens avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous ait arriver, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelque vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemples, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personnes. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! se serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travaillée donc cela ne change rien à être esclave et être libre. (mal dit et argument à revoir : travailler, avoir un métier, cela n'a rien à voir avec l'esclavage !)
Les esclaves n'étaient pas payés : c'est sans doute une différence essentielle avec le fait d'avoir un métier. Tu pourrais développer cet argument.
De plus, les esclaves subissaient des brimades, étaient maltraités, ce qui n'est pas le cas dans une vie professionnelle normale !
J'espère que tu vas corriger les dernières fautes (j'en avais déjà soulignées que tu n'as n'as pas corrigées..) et tenir compte de mes remarques.
A bientôt.
Voilà ton texte à nouveau corrigé :
Un jour que Laila était sortie acheter des légumes pour sa maîtresse, une jeune femme d'une vingtaine d'années l'aborda, et lui demanda son chemin.
Elle était arrivée il y a deux jours au Maroc et ne n'était pas très familiarisée avec les rues.
Le lendemain, Laila revit l'inconnue, assise sur un banc non loin d'une fontaine. Elle semblait songeuse.
La veille, Laila n'avait pas eu le temps de bien regarder l'inconnue.
Elle avait à peu près son âge, était un peu plus âgée qu'elle peut-être, mais pas beaucoup plus.Son visage fin et délicat la faisait ressembler à une de ces anciennes statues greques. Elle avait de grands yeux marron, perçants et avait l'air déterminée.
L'inconnue était belle mais avait 2 cicatrices sur le front, Laila se demandait d'ou elle provenaient.
Elle en était là de ses réflexions lorsque la belle inconnue l'a vit et lui fit signe de venir s'asseoir auprès d'elle.
"Je tenais à vous remercier à nouveau pour l'aide que vous m'avez apportée hier.
-Oh ! cela n'est pas grand chose. Je vis depuis longtemps ici et je sais que losque que l' on ne connaît pas, l'on se perd facilement, la moindre des choses était de vous indiquer le chemin.
-Ah ! depuis combien de temps habitez vous ?
-Euh je... depuis dix ans.
-Pourquoi avez vous hésité ?
-je suis une esclave.
-Une esclave ? Quel âge avez vous donc ?
-j'ai dix-sept ans.
-Et vous n’avez jamais pensé à vous enfuir ?
-M'enfuir moi ? Cela ne m'a jamais traversé l'esprit. Et où irais-je donc ?
-Vous viendrez (conditionnel plutôt : vous viendriez) avec moi
-Venir avec vous ! mais je vous connait à peine, et puis d’abord pourquoi partirais-je ?
-Pour être libre, ne plus faire les corvées ! Je ne sais pas ce que vous faites au juste mais ne plus recevoir d'ordres de personne ! Bon sang moi je n'hésiterai pas ! Je vais te raconter mon histoire : J’ai été enlevée à quatorze ans et amenée à Rome, j’ai été gladiateur, je me suis battue contre des femmes et des fauves, c'est cela qui m'a valu mes 2 cicatrices sur les front. Un jour j’ai essayé de m’enfuir, mais les soldats m'ont rattrapée, alors ils m’ont mis à part, dans une pièce avec juste une fenêtre et un lit. Je pense que c’est à cause de cette tentative de fuite qu'on ne me faisait plus combattre et c'est pour ça que je suis encore en vie. Bon nombre de mes amies sont morte au combat en combattant contre des animaux.
Un jour, comme j’avais froid et que le lit était placé sous la fenêtre, je l’ai déplacé, et c’est là que j’ai découvert un passage dans le sol. Je suis rentrée pour voir jusqu’où il allait. Il aboutissait sur le mont Palatin Je suis revenue sur mes pas et j’ai attendu la nuit, j’avais 17 ans (à supprimer). Après c'est une autre histoire que je te raconterai peut-être un jour, si tu viens avec moi.
-Oh c’est affreux ce qui vous ait arriver, mais moi je suis bien traitée, je mange à ma faim, l’on m’habille correctement, il faut juste que je fasse les courses, que je range et que je lave quelque vêtements. Franchement, que rêver de mieux ?
-La Liberté ! Faire ce que vous voulez, lire des livres par exemples, se baigner dans la mer, se lever le matin en se disant que l’on ne doit obéir à personnes. Et même peut-être aller dans d’autres pays, parcourir le monde !
-Parcourir le monde ! se serait fantastique ! mais même si je suis libre, comment ferais-je le tour du monde ? Avec quel argent ?
-Vous travaillerez et …
-Voilà je devrais travaillée donc cela ne change rien à être esclave et être libre. (mal dit et argument à revoir : travailler, avoir un métier, cela n'a rien à voir avec l'esclavage !)
Les esclaves n'étaient pas payés : c'est sans doute une différence essentielle avec le fait d'avoir un métier. Tu pourrais développer cet argument.
De plus, les esclaves subissaient des brimades, étaient maltraités, ce qui n'est pas le cas dans une vie professionnelle normale !
J'espère que tu vas corriger les dernières fautes (j'en avais déjà soulignées que tu n'as n'as pas corrigées..) et tenir compte de mes remarques.
A bientôt.