Bonjour,
Je voulais savoir si vous pouviez me donner votre avis sur deux nouvelles sorties tout droit de mon imagination !
Je vais vous conté l'histoire d'une femme riche, mais point n'importe quelle noble de seigneureries divers. Non, c'était la Duchesse d'Espagne. Elle était surtout connue pour sa grande avardise, malgré son immense richesse. Elle avait donc choisi un mari à sa mesure. Un pauvre jeune homme de son pays qui se content ai de presque rien.
Le mariage était pour bientôt. La Duchesse portait toujours de modestes robes, faites avec le moins onéreux tissu par le plus piètre tailleur de sa région. Alors, pour sa robe de cérémonie, elle ne fit point plus d'efforts. Une modestes tenue rouge pourpre avec un collier de fausses perles tombait sur sa poitrine et deux gros cailloux rouges pendés à ses oreilles. Elle demanda donc a son tailleur habituel de ne point rapporter la provenance de sa robe. Elle le paya et partie.
Le jour du mariage, les rires fusaient, les bavardes de la cour ricanaient, d'autres semblaient désolés d'une si piètre Duchesse. Le tailleur ne s'était point gardé, il semblait même avoir fait son possible pour que la région entière soit au courant. Il n'en avait que faire, après tout, il avait déjà était payé!
Quelques jours plus tard, il y eu un bruit qui courait disant que la Duchesse était morte de honte.
Un riche avare est un pauvre dépensé.
Ainsi que la deuxième et dernière nouvelle:
Laissée moi vous raconter l'histoire d'un trompeur s'étant fait voler la vie.
Il y avait non loin du village et un boucher que plus personne n'osait trompé. En effet, quelques années plus tôt, un voleur entrait dans le magasin, et des que le boucher eu le dos tourné, il vola un poulet, malheureusement, M. Jeanbon, le marchand, l'attrape par le col tel un rapace a la recherche de son déjeuner. Il l'emmena dans se qu'il disait être la chambre froide, et lui fit croire que, dans quelques jours, il le mangerait. Mais monsieur Jeanbon était bon, il avait une idée, il le laisserait un jour et une nuit, pour le faire croire a la supercherrie, puis le laisserai sortir. Ainsi, il retiendrai la leçon.
C'est comme sa que le voleur resta un jour et une nuit entre les carcasses de divers animaux. Quand le vendeur ouvrit la porte, l'homme tomba mort, de peur, car il pensait vivre ses dernières heures.
Alors voleurs, cessez vos tromperies ou le Diable vous prendras.
Voilà ! J'attend vos réponses!
Besoin de votre avis pour mes nouvelles !
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- Messages : 115
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Re: Besoin de votre avis pour mes nouvelles !
Bonsoir Lola,
dans quel cadre dois-tu réaliser ce travail ?
dans quel cadre dois-tu réaliser ce travail ?
Re: Besoin de votre avis pour mes nouvelles !
Bonsoir,
Il faut inventer une petite histoire où il y a quelque chose qui retombe sur le personnage même après qu'il est fait quelque chose de mal...
J'espère être assez claire mais je ne suis actuellement pas en possession de mes cahiers de cours...
Bonne soirée!
Il faut inventer une petite histoire où il y a quelque chose qui retombe sur le personnage même après qu'il est fait quelque chose de mal...
J'espère être assez claire mais je ne suis actuellement pas en possession de mes cahiers de cours...
Bonne soirée!
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Re: Besoin de votre avis pour mes nouvelles !
Bonsoir Lola,
dois-tu prendre exemple sur une nouvelle étudiée en classe pour inventer ton histoire ?
Par ailleurs il y a de nombreuses fautes d'orthographe à corriger. Je te fais apparaître en rouge tes erreurs, essaie de te corriger. Je te guiderai davantage par la suite si tu ne parviens pas à le faire.
Bon courage et à bientôt.
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Je vais vous conté l'histoire d'une femme riche, mais point n'importe quelle noble de seigneureries divers (la formulation est à revoir). Non, c'était la Duchesse d'Espagne. Elle était surtout connue pour sa grande avardise (ce mot n'existe pas), malgré son immense richesse. Elle avait donc choisi un mari à sa mesure. Un pauvre jeune homme de son pays qui se content ai de presque rien.
Le mariage était pour bientôt. La Duchesse portait toujours de modestes robes, faites avec le moins onéreux tissu par le plus piètre tailleur de sa région. Alors, pour sa robe de cérémonie, elle ne fit point plus d'efforts. Une modestes tenue rouge pourpre avec un collier de fausses perles tombait sur sa poitrine et deux gros cailloux rouges pendés à ses oreilles. Elle demanda donc a son tailleur habituel de ne point rapporter la provenance de sa robe. Elle le paya et partie.
Le jour du mariage, les rires fusaient, les bavardes de la cour ricanaient, d'autres semblaient désolés d'une si piètre Duchesse. Le tailleur ne s'était point gardé (attention, on dit "se garder de", il semblait même avoir fait son possible pour que la région entière soit au courant. Il n'en avait que faire, après tout, il avait déjà était payé!
Quelques jours plus tard, il y eu un bruit qui courait (un passé simple serait mieux ici) disant que la Duchesse était morte de honte.
Un riche avare est un pauvre dépensé.
Ainsi que la deuxième et dernière nouvelle:
Laissée moi vous raconter l'histoire d'un trompeur s'étant fait voler la vie.
Il y avait non loin du village et un boucher que plus personne n'osait trompé. En effet, quelques années plus tôt, un voleur entrait (il faut un plus-que-parfait ici, les autres temps seront donc ensuite à changer) dans le magasin, et des que le boucher eu le dos tourné, il vola un poulet, malheureusement, M. Jeanbon, le marchand, l'attrape par le col tel un rapace a la recherche de son déjeuner. Il l'emmena dans se qu'il disait être la chambre froide, et lui fit croire que, dans quelques jours, il le mangerait. Mais monsieur Jeanbon était bon, il avait une idée, il le laisserait (plutôt : il pensait le laisser) un jour et une nuit, pour le faire croire a la supercherrie, puis le laisserai (terminaison) sortir. Ainsi, il retiendrai (même chose) la leçon.
C'est comme sa que le voleur resta (là encore, il faut changer le temps) un jour et une nuit entre les carcasses de divers animaux. Quand le vendeur ouvrit (même chose) la porte, l'homme tomba mort, de peur, car il pensait vivre ses dernières heures.
Alors voleurs, cessez vos tromperies ou le Diable vous prendras.
dois-tu prendre exemple sur une nouvelle étudiée en classe pour inventer ton histoire ?
Par ailleurs il y a de nombreuses fautes d'orthographe à corriger. Je te fais apparaître en rouge tes erreurs, essaie de te corriger. Je te guiderai davantage par la suite si tu ne parviens pas à le faire.
Bon courage et à bientôt.
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Je vais vous conté l'histoire d'une femme riche, mais point n'importe quelle noble de seigneureries divers (la formulation est à revoir). Non, c'était la Duchesse d'Espagne. Elle était surtout connue pour sa grande avardise (ce mot n'existe pas), malgré son immense richesse. Elle avait donc choisi un mari à sa mesure. Un pauvre jeune homme de son pays qui se content ai de presque rien.
Le mariage était pour bientôt. La Duchesse portait toujours de modestes robes, faites avec le moins onéreux tissu par le plus piètre tailleur de sa région. Alors, pour sa robe de cérémonie, elle ne fit point plus d'efforts. Une modestes tenue rouge pourpre avec un collier de fausses perles tombait sur sa poitrine et deux gros cailloux rouges pendés à ses oreilles. Elle demanda donc a son tailleur habituel de ne point rapporter la provenance de sa robe. Elle le paya et partie.
Le jour du mariage, les rires fusaient, les bavardes de la cour ricanaient, d'autres semblaient désolés d'une si piètre Duchesse. Le tailleur ne s'était point gardé (attention, on dit "se garder de", il semblait même avoir fait son possible pour que la région entière soit au courant. Il n'en avait que faire, après tout, il avait déjà était payé!
Quelques jours plus tard, il y eu un bruit qui courait (un passé simple serait mieux ici) disant que la Duchesse était morte de honte.
Un riche avare est un pauvre dépensé.
Ainsi que la deuxième et dernière nouvelle:
Laissée moi vous raconter l'histoire d'un trompeur s'étant fait voler la vie.
Il y avait non loin du village et un boucher que plus personne n'osait trompé. En effet, quelques années plus tôt, un voleur entrait (il faut un plus-que-parfait ici, les autres temps seront donc ensuite à changer) dans le magasin, et des que le boucher eu le dos tourné, il vola un poulet, malheureusement, M. Jeanbon, le marchand, l'attrape par le col tel un rapace a la recherche de son déjeuner. Il l'emmena dans se qu'il disait être la chambre froide, et lui fit croire que, dans quelques jours, il le mangerait. Mais monsieur Jeanbon était bon, il avait une idée, il le laisserait (plutôt : il pensait le laisser) un jour et une nuit, pour le faire croire a la supercherrie, puis le laisserai (terminaison) sortir. Ainsi, il retiendrai (même chose) la leçon.
C'est comme sa que le voleur resta (là encore, il faut changer le temps) un jour et une nuit entre les carcasses de divers animaux. Quand le vendeur ouvrit (même chose) la porte, l'homme tomba mort, de peur, car il pensait vivre ses dernières heures.
Alors voleurs, cessez vos tromperies ou le Diable vous prendras.